La France sous ses rois: essai historique sur les causes qui ont préparé et consommé la chute des trois premières dynasties, Band 2;Bände 1285-1574

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Mme. J. Buynand née Bruyset, 1810
 

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Seite 495 - N'a eu de moi que la moitié : Une part te reste... elle est tienne : Je la fie à ton amitié, Pour que de l'autre il te souvienne.
Seite 168 - Gentille Agnès plus d'honneur en mérite, La cause étant de France recouvrer, Que ce que peut dedans un cloître ouvrer Close nonnain ou bien dévot ermite...
Seite 549 - Ma tête répondra de la désobéis-» « sance : ceux que vous voulez égorger, sont mes brebis: «ce sont, il est vrai, des brebis égarées; mais je travaille à «les faire rentrer dans la bergerie. Je ne vois pas, dans « l'Évangile , que le pasteur doive laisser répandre le sang « de ses brebis; j'y lis, au contraire, qu'il doit verser le sien
Seite 524 - Béarn, qui, s'avançant d'un air guerrier, dit : « Je jure de défendre la religion, et de persévérer dans la cause commune, jusqu'à ce que la mort ou la victoire nous ait rendu à tous la liberté que nous désirons.
Seite 532 - Daubigné , n'avait de femme que le sexe , l'âme entière aux choses viriles , l'esprit puissant aux grandes affaires , le cœur invincible aux grandes adversités...
Seite 375 - Monseigneur, je vous remercie; il « n'ya point de pitié en moi qui meurs en homme de bien, « servant mon roi ; il faut avoir pitié de vous qui portez les « armes contre votre prince , votre patrie, et votre serment.
Seite 171 - Dieu , je te prie que tu fasses aujourd'hui pour La Hire autant « que tu voudrois que La Hire fît pour toi , s'il étoit Dieu et que tu « fusses La Hire ! — Et il cuidoit très-bien prier et dire.
Seite 533 - J'ai trouvé votre lettre fort à mon gré, je la montrerai à Madame (Marguerite) si je puis. Quant à sa peinture, je l'enverrai quérir à Paris. Elle est belle, bien avisée, et de bonne grâce, mais nourrie en la plus maudite et corrompue compagnie qui fut jamais : car je n'en vois point qui ne s'en sente.
Seite 335 - ... bien qu'il fauld'ra que nous donnions une bataille aux Espaignolz entre cy et ung moys, et si ainsi estoit, j'aymerois mieulx avoir perdu tout mon vaillant que n'y feussiez, tant j'ay grant fiance en vous. » Le bon chevalier respondit : « Croyez, monseigneur, que s'il est ainsi qu'il y ait bataille, tant pour le service du roy mon maistre que pour l'amour de vous, et pour mon honneur qui va devant, je m'y feroye plustost porter en lictière que je n'y feusse.
Seite 517 - François premier prédit ce point , Que ceux de la maison de Guise Mettroient ses enfans en pourpoint Et son pauvre peuple en chemise.

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