Mémoire sur le commerce maritime de Rouen, depuis les temps les plus reculés jusqu 'à la fin du xvio siècle, Band 1

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Seite 79 - Lamblardie (Jacq.-EHe de.) Mémoire sur les Côtes de la HauteNormandie comprises entre l'embouchure de la Seine et celle de la Somme, considérées relativement au galet qui remplit les ports situés dans cette partie de la Manche; Havre, Imp. de P.-J.-D.-G. Faure, 1789, in-4
Seite xii - Limousin nous pourvéoient, et nous amenoient en notre châtel les blés , la farine, le pain tout cuit, l'avoine pour les chevaux et la litière , les bons vins, les bœufs, les brebis, et les moutons tous gras, la poulaille et la volaille. Nous étions gouvernés et étoffés , comme rois; et quand nous chevauchions, tout le pays trembloit devant nous.
Seite 34 - Sequentes consuetudinem praedecessorum nostrorum, sicut in illorum capitulis invenitur, constituimus, ut in nullo loco alio in omni regno nostro moneta fiat, nisi in palatio nostro et in Quentovico ac Rotomago, quae moneta ad Quentovicum ex antiqua consuetudine pertinet, et in Remis et in Senonis et in Parisio et in Aurelianis et in Cavillono et in Metullo et in Narbona.
Seite 90 - Helga, Haraldssonar (Heimskringla, t. II, p. 263, 264). (2) « Notre commerce avec les Anglo-Saxons est fort ancien; il devait être considérable, car ce peuple produisait peu et demandait beaucoup à ses voisins. Nous connaissons un règlement du roi Ethelred I1?
Seite 312 - Brùment, 1857, tom. ip 310. Comme le remarque le savant et consciencieux Fréville, le sieur de Bellefond ne cite malheureusement pas ses autorités, mais cette négligence s'explique par la forme de son récit et les usages du temps. D'un autre côté, le personnage auquel il s'adresse est une garantie de véracité. « On ne vient point faire des histoires à un ministre » tout-puissant qui vous emploie, qui peut faire vérifier » vos assertions et vous envoyer à la Bastille pour l'avoir »...
Seite 73 - Saint-Wandrille, p. 8 et 9. que l'île en litige avait appartenu au duc toutes. les fois qu'elle avait reparu. « Peu après, une autre île s'étant montrée, les moines recommencèrent le débat, que l'Echiquier mit à néant. Ils s'adressèrent alors au roi Jean, qui n'était encore que duc de Normandie, et obtinrent de lui, en 1349, la déclaration que cette seconde île leur avait toujours appartenu. Evidemment, l'acte de 1349 ne fut aux yeux des moines qu'un commencement de restitution, car...
Seite 122 - Marion , t. 1, appendice à lu aux coutumes des moulins de Rouen, porte : « Lorsque Robec • rompt ses digues, tous les foulons et teinturiers qui habitent • sur cette rivière et qui y possèdent des cuves à fouler et « des chaudières doivent se rendre en personne ou envoyer • un de leurs serviteurs sur le lieu du dégât, pour aider les « meuniers à le réparer '. » Les nations étrangères, et particulièrement les Italiens, ne tardèrent pas à nous emprunter nos laines et nos tissus...
Seite 347 - L'assurance est un contrat par lequel on promet indemnité des choses qui sont transportées par mer, moyennant un prix convenu entre l'assuré qui fait ou fait faire le transport et l'assureur qui prend le péril sur soi et se charge de l'événement
Seite 72 - L'obstination des moines, dit cet auteur, à nommer Belcinac et à réclamer tous les bancs qui se formaient entre Caudebec et Vatteville, a trompé les auteurs modernes : tous voulaient faire durer l'île de Saint-Condède au moins jusqu'à la fin du xive siècle.
Seite 331 - Pensée, à un pilote nommé Thomas Aubert, pour aller fonder un établissement à Terre-Neuve. Aubert reconnut qu'on pouvait faire sur cette côte un grand commerce de pelleteries, et...

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