Oeuvres de Barthélemy et Méry...

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Furne et Cie, libraires-éditeurs, 1838 - 883 Seiten
 

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Beliebte Passagen

Seite 206 - Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes.
Seite 338 - Allons, enfants de la Patrie, Le jour de gloire est arrivé, Contre nous, de la tyrannie, L'étendard sanglant est levé, bis.
Seite 356 - France qu'il avait formé une liste de proscription ; je n'ai' pas voulu récriminer ; mais j'ai vu hier la séance des jacobins ; j'ai frémi pour la patrie ! J'ai vu se former l'armée du nouveau Cromwel , et je me suis armé d'un poignard pour lui percer le sein si la Convention nationale n'avait pas le courage de le décréter d'accusation,^( Marques d'approbation réitérées.
Seite 221 - Cincinnatus, couleur de la liberté d'Amérique et de la démocratie ? » Des voix s'élevèrent : « — Le vert, couleur de l'espérance ! — Alors je m'écriai : — Amis ! le signal est donné : voici les espions et les satellites de la police qui me regardent en face. Je ne tomberai pas du moins vivant entre leurs mains.
Seite 88 - Les Anglais ont frémi de nous voir occuper l'Egypte. Nous montrions à l'Europe le vrai moyen de les priver de l'Inde. Ils ne sont pas encore bien rassurés; et ils ont raison. Si quarante ou cinquante mille familles...
Seite 160 - Éteinte dans ce cadre au milieu d'un fond noir, Elle était immobile, et l'on aurait cru voir Un tableau de Rembrandt chargé de teintes sombres, Où la blancheur des chairs se détache des ombres. Je sentis...
Seite 161 - Voyant cet œil rapide où brille la pensée, Ce teint blanc de Louise et sa taille élancée, Ces vifs tressaillements, ces mouvements nerveux, Ce front saillant et large, orné de blonds cheveux ; Oui, ce corps, cette tête où la tristesse est peinte, Du sang qui les forma portent la double empreinte ! Je ne sais toutefois... je ne puis sans douleur Contempler ce visage éclatant de pâleur; On dirait que la vie à la mort s'y mélange ! Voyez- vous comme moi cette couleur étrange?
Seite 10 - Comme un camp voyageur peuplé de bataillons, Qui dans l'immense plaine étend ses pavillons, A la brise du Nord, une flotte docile Sillonnait lentement les eaux de la Sicile ; Sur les canons de bronze et sur les poupes d'or, Brille un premier soleil du brûlant messidor : Où vont-ils ? on l'ignore ; en ces mers étonnées Un bras mystérieux pousse leurs destinées, Et le pilote même, au gouvernail assis, Promène à l'horizon des regards indécis.
Seite 171 - A minuit , de sa tombe Le tambour se lève et sort , Fait sa tournée et marche Battant la caisse bien fort. De ses bras décharnés Remue conjointement Les baguettes , bat la retraite , Réveil et roulement. La caisse sonne étrange , Fortement elle retentit , Dans leur fosse en ressuscitent Les vieux soldats péris...
Seite 22 - Dieu très haut ! j'atteste qu'il n'ya point de Dieu, sinon Dieu ; j'atteste que Mohammed est le prophète de Dieu! Venez à la prière, venez au temple du salut ! Grand Dieu ! il n'ya point de Dieu, sinon Dieu!

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