... vis-à-vis de moi; si je le touche, signe de salut; si je le manque, signe de damnation. Tout en disant ainsi, je jette ma pierre d'une main tremblante et avec un horrible battement de cœur, mais si heureusement, qu'elle va frapper au beau milieu... Œuvres complètes - Seite 357von Pierre Jean de Béranger - 1834Vollansicht - Über dieses Buch
| Jean-Jacques Rousseau - 1798 - 422 Seiten
...milieu de l'arbre; ce qui véritable162 LES CONFESSIONS, ment n'était pas difficile, car j'avais eir soin de le choisir fort gros et fort près. Depuis lors je n'ai plus douté de mon salut. Je ne sais, en me rappelant ce trait, si je dois rire ou «'émir sur moimême.... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 454 Seiten
...qu'elle va frapper au beau milieu de l'arbre; ce qui véritablement n'étoit pas difficile, car j'avois eu soin de le choisir fort gros et fort près. Depuis lors je n'ai plus douté de mon salut. Je ne sais, en me rappelant ce trait, si je dois rire ou gémir sur moi-même.... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 458 Seiten
...qu'elle va frapper au beau milieu de l'arbre ; ce qui véritablement n'étoit pas difficile, car j'avois eu soin de le choisir fort gros et fort près. Depuis lors je n'ai plus douté de mon salut. Je ne sais, en me rappelant ce trait, si je dois rire ou gémir sur moi-même.... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 494 Seiten
...cœur , mais si heureusement , qu'elle va frapper au beau milieu de l'arbre ; ce qui véritablement n'était pas difficile, car j'avais eu soin de le...fort gros et fort près. Depuis lors je n'ai plus douté de mon salut. Je ne sais, en me rappelant ce trait, si je dois rire ou gémir sur moimême.... | |
| L. Meynier - 1830 - 176 Seiten
...de cœur, mais si heureusement, qu'elle va frapper au beau milieu de l'arbre ; ce qui veritablement n'était pas difficile, car j'avais eu soin de le...fort gros et fort près. Depuis lors je n'ai plus douté de mon salut. Je ne sais, en me rappelant ce trait, si je dois rire ou gémir sur moi-même.... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1146 Seiten
...cœur, mais si heureusement, qu'elle va frapper au beau milieu de l'arbre -, ce qui véritablement n'était pas difficile, car j'avais eu soin de le...fort gros et fort près. Depuis lors je n'ai plus douté de mon salut. Je ne sais , en me rappelant ce trait , si je dois rire ou gémir sur moimême.... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1832 - 412 Seiten
...qu'elle va frapper au beau milieu de l'arbre ; ce qui véritablement n'étoit pas difficile, car j'avois eu soin de le choisir fort gros et fort près. Depuis lors je n'ai plus douté de mon salut. Je ne sais , en me rappelant ce trait, si je dois rire ou gémir sur moi-même.... | |
| Pierre-Jean de Béranger - 1834 - 428 Seiten
...«des arbres, et cela avec mou adresse ordinaire, « c'est-à-dire sans presque en toucher aucun. Tout au « milieu de ce bel exercice, je m'avisai de m'en...messieurs, reprend M" Barthe, voilà la courte-paille de Bérauger, voilà l'inquiétude du pauvre perclus: « Notre littérature est pleine de saillies de... | |
| Pierre Jean de Béranger - 1836 - 464 Seiten
...ma pierre d'une main tremblante, et « avec un horrible battement de cœur, mais si heureuse« ment qu'elle va frapper au beau milieu de l'arbre ; ce...salut. » ( On rit. ) « Voilà, messieurs, reprend M e Bai-the, voilà la courte-paille de Béranger, voilà l'inquiétude du pauvre perclus. « Notre littérature... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 818 Seiten
...qu'elle va frapper au beau milieu de l'arbre; ce qui véritablement n'étoit pas difficile , car j'avois eu soin de le choisir fort gros et fort près. Depuis lors je n'ai plus douté de mon salut. Je ne sais , en me rappelant ce trait , si je dois rire ou gémir sur moi-même.... | |
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