Revue des deux mondesAu bureau de la Revue des deux mondes., 1879 |
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... s'était juré d'être brave et de demander carrément une ex- plication à son père ; mais une fois sous le regard dur et impassible de M. Maugars , il s'aperçut que la chose était plus facile à conce- voir qu'à exécuter . Le banquier avait ...
... s'était juré d'être brave et de demander carrément une ex- plication à son père ; mais une fois sous le regard dur et impassible de M. Maugars , il s'aperçut que la chose était plus facile à conce- voir qu'à exécuter . Le banquier avait ...
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... s'était pas défendu , mais il se glorifiait de gagner de l'argent à un pareil mé- tier , et il se moquait audacieusement des mépris de la foule . Étienne sentait un atroce déchirement intérieur en songeant qu'il portait un nom exécré ...
... s'était pas défendu , mais il se glorifiait de gagner de l'argent à un pareil mé- tier , et il se moquait audacieusement des mépris de la foule . Étienne sentait un atroce déchirement intérieur en songeant qu'il portait un nom exécré ...
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... s'était levé ; elle se rapprocha de la toile : Comme c'est joli ce que vous faites ! continua - t - elle , tout y est : l'eau , le ciel , les arbres , et jusqu'à ce nénufar blanc qui s'ouvre au milieu de ses trois feuilles rondes ...
... s'était levé ; elle se rapprocha de la toile : Comme c'est joli ce que vous faites ! continua - t - elle , tout y est : l'eau , le ciel , les arbres , et jusqu'à ce nénufar blanc qui s'ouvre au milieu de ses trois feuilles rondes ...
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... s'était rembruni , et Thérèse , comme si elle eût deviné la pensée qui tourmentait le jeune homme , semblait à son tour confuse du rôle qu'elle avait joué , Elle détournait les yeux et arrachait distraitement les feuilles de scolopendre ...
... s'était rembruni , et Thérèse , comme si elle eût deviné la pensée qui tourmentait le jeune homme , semblait à son tour confuse du rôle qu'elle avait joué , Elle détournait les yeux et arrachait distraitement les feuilles de scolopendre ...
Seite 17
... s'était passé qui pût les éclairer sur cette modification de leurs sentimens . Étienne était d'un caractère trop honnête et trop droit pour abuser de la confiance que lui té- moignait la jeune fille , et Thérèse de son côté , nature ...
... s'était passé qui pût les éclairer sur cette modification de leurs sentimens . Étienne était d'un caractère trop honnête et trop droit pour abuser de la confiance que lui té- moignait la jeune fille , et Thérèse de son côté , nature ...
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Alcibiade assez Athéniens avaient banquier Brossard C'était Callicratidas Catherine de Parthenay Célestin chef chose citoyen cœur comité central commandement commune conseil côté coup cour cypriote d'Henri délégués demande Desroches devant dire donner Égypte Émile Ollivier enfans établissemens Étienne eût faisait fédérés femme fille flotte force général gens gouvernement Grecs guerre heures hommes j'ai jamais jeune Joubardière jour juges Jules Ferry jury justice Kléber l'armée l'enseignement l'esprit l'état l'Hôtel laisser lettre liberté liberté d'enseignement Lysandre main maison maître Maugars membres ment ministre Montesquieu Montlosier n'avait n'était parler passer pays pendant pensée père personne peuple peut-être Pharnabaze police politique porte pouvait premier Pressigny prince projet public publique qu'un question Raoul Rigault république reste rien Rohan Russie s'est s'était Saint-Clémentin Samos sang semble sentiment serait seul siècle soldats sorte Soubise tête teutoniques Théophile Ferré Thérèse Thiers Thrasybule tion Tissapherne trières trouver vaisseaux Vian voix yeux
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Seite 174 - C'est comme une mer répandue sur une vaste contrée : les sommets des montagnes s'élèvent au-dessus des eaux, et forment des îles fertiles et cultivées. Si cette mer vient à s'écouler, à mesure qu'elle descend, les terrains en pente, puis les plaines et les vallons, paraissent et se couvrent de productions de toute espèce. Il sulïi! que l'eau monte ou s'abaisse d'un pied pour inonder ou pour rendre à la culture des plages immenses.
Seite 294 - L'unité, telle qu'elle nous a été imposée jusqu'à ce jour par l'Empire, la monarchie et le parlementarisme, n'est que la centralisation despotique, inintelligente, arbitraire ou onéreuse. L'unité politique, telle que la veut Paris, c'est l'association volontaire de toutes les initiatives locales, le concours spontané et libre de toutes les énergies individuelles en vue d'un but commun, le bien-être, la liberté et la sécurité de tous.
Seite 213 - Elles doivent être relatives au physique du pays, au climat glacé, brûlant ou tempéré ; à la qualité du terrain , à sa situation , à sa grandeur au genre de vie des peuples , laboureurs , chasseurs ou pasteurs : elles doivent se rapporter au...
Seite 296 - C'est à la France à désarmer Versailles par la manifestation solennelle de son irrésistible volonté Appelée à bénéficier de nos conquêtes, qu'elle se déclare solidaire de nos efforts ; qu'elle soit notre alliée dans ce combat qui ne peut finir que par le triomphe de l'idée communale ou par la ruine de Paris...
Seite 375 - Art. 300. Les citoyens ont le droit de former des établissements particuliers d'éducation et d'instruction, ainsi que des sociétés libres, pour concourir au progrès des sciences, des lettres et des arts.
Seite 295 - L'intervention permanente des citoyens dans les affaires communales par la libre manifestation de leurs idées, la libre défense de leurs intérêts : garanties données à ces manifestations par la Commune, seule chargée de surveiller et d'assurer...
Seite 154 - Croyez au désir que j'ai de vous voir promptement rétabli, et au prix que j'attache à votre estime et à votre amitié. Je crains que nous ne soyons un peu brouillés: vous seriez injuste si vous doutiez de la peine que j'en éprouverais. Sur le sol de l'Egypte , les nuages...
Seite 295 - C'est la fin du vieux monde gouvernemental et clérical, du militarisme, du fonctionnarisme, de l'exploitation, de l'agiotage , des monopoles, des privilèges, auxquels le prolétariat doit son servage, la patrie ses malheurs et ses désastres.
Seite 68 - 1.Le roi joint ses prières et ses exhortations, pour engager les princes et les Français émigrés à ne point faire perdre à la guerre actuelle, par un concours hostile et offensif de leur part, le caractère de guerre étrangère faite de puissance à puissance...
Seite 627 - Mais, sur toute chose, ce qui me plaît en lui, et en quoi il suit mon exemple, c'est qu'il s'attache aveuglément aux opinions de nos anciens , et que jamais il n'a voulu comprendre ni écouter les raisons et les expériences des prétendues découvertes de notre siècle touchant la circulation du sang, et autres opinions de même farine.