Oeuvres complètes, Band 20Furne, 1837 |
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100 de l'indemnité amendement anglois article aujourd'hui auroit avoient avoit budget Buonaparte Cahors Caisse d'amortissement censure Cent-Jours Cham Chambre des députés Chambre des pairs Charles X Charte chose clergé commission connoître conscription constitution constitutionnel couronne créan crime déclaré déja dire discours ecclésiastiques électeurs élections étoient étoit faudroit finances fonds force François François Ier gouvernement guerre guerre d'Espagne hommes inamovible intérêts j'ai journaux juges justice l'amendement l'Angleterre l'article l'autorité l'Église l'Espagne l'État l'honneur l'in l'intérêt l'opinion liberté liquidation loi d'indemnité lois Louis XVI malheurs ment messieurs milliard millions de rentes ministre mœurs monarchie monarchie constitutionnelle nation noble duc noble pair opinions ordonnance parler patrie pension peuple police politique pourroit pouvoir préfet premier présente presse prêtres mariés principe projet de loi propriété publique qu'un raison religion rentiers reste révolution rien royale s'il saint Louis séditieux sera seroient seroit seul sommes sorte système tion toyens tribunaux tribune trône trouve Voilà vote
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Seite 166 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; toi^t citoyen peut donc parler, écrire , imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Seite 125 - Les Français ont le droit de publier et de faire imprimer leurs opinions, en se conformant aux lois qui doivent réprimer les abus de cette liberté.
Seite 542 - Très bien : vous proclamez la souveraineté de la force. Alors gardez soigneusement cette force, car si dans quelques mois elle vous échappe, vous serez mal venus à vous plaindre. Telle est la nature humaine ! Les esprits les plus éclairés et les plus justes ne s'élèvent pas toujours au-dessus d'un succès.
Seite 319 - Ce n'est pas moi qui lui contesterai le droit d'examiner la question de la paix et de la guerre, moi qui ai soutenu et qui soutiens encore les principes que j'ai posés de la sorte : « La doctrine sur la prérogative royale est : Que rien ne procède directement du roi dans les actes du gouvernement; que tout est l'œuvre du ministère.
Seite 539 - ... de la poudre , et qu'il fallait plus de quatre soldats et un caporal pour les réduire. Un siècle n'aurait pas autant mûri les destinées d'un peuple que les trois derniers soleils qui viennent de briller sur la France.
Seite 539 - Mais lorsque après avoir menti jusqu'à la dernière heure, on a tout à coup sonné la servitude; quand la conspiration de la bêtise et de l'hypocrisie a soudainement éclaté; quand une terreur de château organisée par des eunuques, a cru pouvoir remplacer la terreur de la république et le joug de fer de l'empire, alors ce peuple s'est armé de son intelligence et de son courage; il s'est trouvé que ces boutiquiers respiraient assez facilement la fumée de la poudre, et qu'il fallait plus...
Seite 532 - Lumière , quand elle se mêle aux facultés intellectuelles , sentiment, quand elle s'associe aux mouvements de l'âme, la religion chrétienne croît avec la civilisation et marche avec le temps. Un des caractères de la perpétuité qui lui est promise c'est d'être toujours du siècle qu'elle voit passer, sans passer elle-même. — La morale évangélique , raison divine , appuie la raison humaine dans ses progrès vers un but qu'elle n'a point encore atteint. .Après avoir traversé les âges...
Seite 540 - IV jusqu'à celui du jeune Henri, que je plaide une cause où tout se tournerait de nouveau contre moi, si elle triomphait. Je ne vise ni au roman, ni à la chevalerie, ni au martyre; je ne crois pas au droit divin de la royauté, et je crois à la puissance des révolutions et des faits.
Seite 71 - Gengis-Kan qui ont dévasté l'Asie : et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens, que la nature humaine ne saurait assez reconnaître.
Seite 541 - ... contre moi si elle triomphait. Je ne vise ni au roman, ni à la chevalerie, ni au martyre. Je ne crois pas au droit divin de la royauté, et je crois à la puissance des révolutions et des faits. Je n'invoque pas même la Charte, je prends mes idées plus haut : je les tire de la sphère philosophique, de l'époque où ma vie expire. Je propose le duc de Bordeaux tout simplement comme une nécessité d'un meilleur aloi que celle dont on argumente.