L'Europe et la revolution francaise..E. Plon, Nourrit et Cie, 1892 |
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Seite 73 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité, sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.
Seite 63 - Parce qu'il sait bien qu'on ne peut, sans impudeur, défendre Lacroix. Il a parlé de Danton parce qu'il croit sans doute qu'à ce nom est attaché un privilège. Non, nous n'en voulons point de privilèges ; non, nous n'en voulons point d'idoles.
Seite 116 - J'ai vu se former l'armée du nouveau Cromwell , et je me suis armé d'un poignard pour lui percer le sein , si la convention nationale n'avait pas le courage de le décréter d'accusation...
Seite 233 - Il ya peu de danger à tenir en captivité les individus de la famille Capet; il y en a beaucoup à les expulser. L'expulsion des tyrans a presque toujours préparé leur rétablissement, et si Rome eût retenu les Tarquins, elle n'aurait pas eu à les combattre.
Seite 115 - Il est temps de dire la vérité tout entière: un seul homme paralysait la volonté de la Convention nationale; cet homme est celui qui vient de faire le discours, c'est Robespierre; ainsi jugez.
Seite 280 - Prusse située sur la rive gauche du Rhin. Tout arrangement définitif à l'égard de ces provinces sera renvoyé jusqu'à la pacification générale entre la France et l'empire germanique.
Seite 324 - Considérant : Que les départements de l'Ouest sont dévastés depuis deux ans par une guerre désastreuse ; que les troubles qui les agitent, prennent leur source dans la clôture des temples et l'interruption du paisible exercice de tout culte quelconque ; Que les hommes, auteurs de ces maux et de ces désordres, sont ceux qui ont voulu plonger la France dans l'anarchie et qui, en persécutant, ont cherché à établir un culte particulier, dont ils...
Seite 73 - Manlius, qui invoque en vain trente victoires effacées par ses trahisons. Quand on a douze armées sous la tente, ce n'est pas seulement la défection qu'on doit craindre et prévenir; l'influence militaire et l'ambition d'un chef entreprenant, qui sort tout à coup de la ligne, sont également à redouter. » Cet avertissement donné aux armées, Robespierre s'occupa d'intéresser les prolétaires à la cité de ses rêves.
Seite 111 - morale bienfaisante et saine » du discours de prairial ; il compara l'orateur à « Orphée enseignant aux hommes les principes de la civilisation et de la morale » . Les modérés faisaient acte d'orthodoxie et se mettaient en règle avec le saint-office. Ils s'en tinrent là, ayant lieu de craindre qu'après les avoir entraînés à des engagements téméraires, les factions rivales ne fissent la paix à leurs dépens.