Ouevres complètes, Band 2

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Adolphe Delahays, 1860
 

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Seite 633 - Je ne me soutiens plus : ma force m'abandonne. Mes yeux sont éblouis du jour que je revoi, Et mes genoux tremblants se dérobent sous moi.
Seite 171 - Oui, c'est elle en effet. LISETTE : N'en doutez nullement : et, pour prouver le fait, Ne vous souvient-il pas que, pour certaine affaire, Vous m'avez dit tantôt d'aller chez le notaire 10 ? GÉRONTE : Oui.
Seite 209 - Un bruit assez étrange est venu jusqu'à moi, Seigneur, je l'ai jugé trop peu digne de foi, On dit, et sans horreur je ne puis le redire', Qu'aujourd'hui par votre ordre Iphigénie expire, Que vous-même, étouffant tout sentiment humain, Vous l'allez à Calchas livrer de votre main.
Seite 96 - II y fait rire, il badine avec grâce, 11 est aisé. Sans le secours des charmes de l'acteur, Le Légataire aura chez le lecteur Le même sort. Malgré toi, vile race, Bas envieux, chose rare au Parnasse, Outre qu'en tout Regnard est bon auteur, II est aisé. AUTRE AVERTISSEMENT ». On sait qu'un fait véritable a donné l'idée de la pièce du Légataire.
Seite 631 - ... l'enfant de famille sur les frontières de l'orchestre fait la moue à l'usurier, qui ne saurait lui demander ni le principal, ni les intérêts; le fils, mêlé avec les acteurs, rit de voir son père avaricieux faire le pied de grue dans le parterre, 1iour lui laisser quinze sous de plus après sa mort.
Seite 419 - En effet, messieurs, une jeune femme qui épouse un vieillard, dans l'espérance de l'enterrer six mois après, n'est-elle pas en droit de lui demander raison de son retardement ; et n'est-elle pas bien fondée à faire rompre son mariage, puisque son mari n'a pas satisfait à l'article le plus essentiel du contrat, par lequel il s'est obligé tacitement à ne pas passer l'année?
Seite 172 - Fut présent devant nous, dont les noms sont au bas, » Maître Mathieu Géronte, en son fauteuil à bras...
Seite 172 - Que, pour vous venger de leur emportement, Vous m'avez promis place en votre testament, Ou quelque bonne rente au moins pendant ma vie ? GÉRONTE. Je ne m'en souviens point. CRISPIN. C'est votre léthargie.
Seite 211 - D'Iphigénie encor je respecte le père. Peut-être, sans ce nom, le chef de tant de rois M'aurait osé braver pour la dernière fois. Je ne dis plus qu'un mot; c'est à vous de m'entendre. J'ai votre fille ensemble et ma gloire à défendre : Pour aller jusqu'au cœur que vous voulez percer, Voilà par quels chemins vos coups doivent passer.
Seite 171 - J'ai fait mon testament? CRISPIN. On ne peut pas vous dire Qu'on vous l'ait vu tantôt absolument écrire ; Mais je suis très certain qu'aux lieux où vous voilà , Un homme , à peu près mis comme vous êtes là , Assis dans un fauteuil, auprès de deux notaires, A dicté mot à mot ses volontés dernières. Je n'assurerai pas que ce fût vous : pourquoi?

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