Oeuvres de J.J. Rousseau, Band 17Werdet et Lequien, 1826 |
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26 décembre Adieu aimer amis assez auroit avez avoit BARONNE DE WARENS besoin Bonjour bonne amie bonté Chenonceaux cher père cher Vernes chère maman chose cœur connoissez connoître consolation croire crois d'Alembert d'autres d'en d'être desire Devin du village Diderot Dieu dire dois donner écrire écrit état êtes étoit falloit Genève gens goût grace homme honnête j'ai j'aurois j'avois j'en j'espère j'étois jamais jours juger l'amitié l'Hermitage l'honneur là-dessus laisse lettre libraire livre long-temps m'avez m'en m'est Mably madame d'Épinay madame d'Houdetot madame de Warens madame la maréchale MARÉCHALE DE LUXEMBOURG maux ment mieux moi-même monde monsieur Montmorency Montpellier Moultou musique n'ai n'en n'étoit parceque pardon parler paroît passer peine penser personne peut-être plaisir pourroit prendre qu'à qu'un raison reconnoissance reçu remerciements réponse reste rien s'il sais santé saurois savoir sens sentiments sera seroit seul soin souf sûr tion tort trouve vérité veux Voilà vois Voltaire voudrois vouloir
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Seite 122 - Il ne faut pas faire des enfants quand on ne peut pas les nourrir ? Pardonnez-moi, madame, la nature veut qu'on en fasse, puisque la terre produit de quoi nourrir tout le monde; mais c'est l'état des Riches, c'est votre état qui vole au mien le pain de mes enfants.
Seite 185 - C'est à moi, Monsieur, de vous remercier à tous égards. En vous offrant l'ébauche de mes tristes rêveries, je n'ai point cru vous faire un présent digne de vous, mais m'acquitter d'un devoir et vous rendre un hommage que nous vous devons tous comme à notre chef.
Seite 246 - ... et, si le corps ou le cœur souffre, vous avez Tronchin pour médecin et pour ami : vous ne trouvez pourtant que mal sur la terre. Et moi , homme obscur , pauvre , et tourmenté d'un mal sans remède , je médite avec plaisir dans ma retraite , et trouve que tout est bien.
Seite 121 - Enfants-Trouvés ; j'ai chargé de leur entretien l'établissement fait pour cela. Si ma. misère et mes maux m'ôtent le pouvoir de remplir un soin si cher,, c'est un malheur dont il faut me plaindre, et non pas un crime à me reprocher.
Seite 188 - ... on cherche moins à vous faire du mal qu'à vous détourner de bien faire. Plus on vous critiquera, plus vous devez vous faire admirer.
Seite 397 - D'ailleurs, mes chers Genevois, on travaille à vous mettre tous sur un si bon ton , et l'on y réussit si bien , que je vous trouve trop avancés pour moi. Vous voilà tous si élégants, si brillants , si agréables ; que feriez-vous de ma bizarre ANNÉE 1769. figure et de mes maximes gothiques? Que deviendrois-je au milieu de vous, à présent que vous avez un maître en plaisanteries qui vous instruit si bien?
Seite 228 - Combien de malheureux ont péri dans ce désastre pour vouloir prendre l'un ses habits, l'autre ses papiers, l'autre son argent ! Ne sait-on pas que la personne de chaque homme est devenue la moindre partie de lui-même et que ce n'est presque pas la peine de la sauver quand on a perdu tout le reste. Vous auriez voulu que le tremblement se fût fait au fond d'un désert plutôt qu'à Lisbonne.
Seite 241 - Si Dieu existe , il est parfait; s'il est parfait, il est sage, puissant, et juste; s'il est sage et puissant, tout est bien ; s'il est juste et puissant, mon âme est immortelle...
Seite 98 - II ya quinze ans que je travaille pour me rendre digne de vos regards et des soins dont vous favorisez les jeunes muses en qui vous découvrez quelque talent. Mais, pour avoir fait la musique d'un opéra, je me trouve, je ne sais comment, métamorphosé en musicien.
Seite 27 - ... mais ne croyez pas que je vous taxe d'être insensible, en effet. Non, votre cœur n'est pas moins fait pour l'amour que votre visage. Mon désespoir est que ce n'est pas moi qui devais le toucher. Je sais de science certaine que vous avez eu des liaisons , je sais même le nom de cet heureux mortel qui trouva l'art de se faire écouter ; et , pour vous donner une idée de ma façon de penser, c'est...