La conception juridique de l'étatL. Larose et Forcel, 1899 - 185 Seiten |
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Häufige Begriffe und Wortgruppen
absolue action aptitudes Aristote attributions autodétermination Bluntschli Borel capacité chapitre Cicéron Combothecra communauté politique compétence conception concret s'affirme confédération d'Etats constitutionnel contre-aptitudes coopération corps maître-sujet corps muni définition déterminé doit éléments de l'Etat entité essence État Etats particuliers force publique effective force suprême Gareis Gerber Gierke gouvernement Haenel Hauriou humaine immatérielle individus international interne Jellinek l'appelons personne l'ensemble de l'Etat l'essence l'Etat abstrait l'Etat fédératif l'Etat souverain l'Etat unitaire l'Etat vassal l'organisme législateur Leipzig Lingg loi positive membres de l'Etat ment mi-sensé morale nécessairement nisme non-humain non-souverain objective obligations organisme vivant Pennsylvanie personnalité personne abstraite personne collective personne juridique peuple Preuss priori propre volonté public raineté réalité Recht relation sociale Rosin saurait science sociale sens seul Seydel simple ou collective société souve souveraineté souveraineté de l'Etat Staat Staatslehre Staatsrecht subdivisions territoriales subjective simple sujet tence territoire théorie organique tion Tübingen unité volonté de l'individu volonté générale Westerkamp Worms καὶ
Beliebte Passagen
Seite 39 - Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout.
Seite 29 - LA société est un contrat par lequel deux ou plusieurs personnes conviennent de mettre quelque chose en commun , dans la vue de partager le bénéfice qui pourra en résulter.
Seite 90 - Comme la nature donne à chaque homme un pouvoir absolu sur tous ses membres, le pacte social donne au corps politique un pouvoir absolu sur tous les siens; et c'est ce même pouvoir qui, dirigé par la volonté générale, porte, comme j'ai dit, le nom de souveraineté.
Seite 132 - On doit concevoir les nations sur la terre comme des individus hors du lien social, ou, comme l'on dit, dans l'état de nature. L'exercice de leur volonté est libre et indépendant de toutes formes civiles. N'existant que dans l'ordre naturel, leur volonté, pour sortir tout son effet, n'a besoin que de porter les caractères naturels d'une volonté. De quelque manière qu'une nation veuille, il suffit qu'elle veuille : toutes les formes sont bonnes, et sa volonté est toujours la loi...
Seite 39 - Cette personne publique, qui se forme ainsi par l'union de toutes les autres, prenait autrefois le nom de cité...
Seite 87 - ... est ainsi appelé pour ce que la souveraineté est le comble et période de la puissance où il faut que l'État s'arrête etétablisse
Seite 112 - ... s'exerce en fait que si elle est obéie par 'les citoyens ou sujets. Or, cette obéissance ne peut être obtenue que de deux manières : ou par l'emploi de la force ou par l'adhésion de l'opinion publique. La force ne peut point maintenir d'une façon durable la souveraineté légale, si ce n'est dans des conditions tout à fait exceptionnelles. Cela peut se produire chez une nation inférieure ou dégénérée, conquise par une race supérieure ou plus forte.
Seite 88 - C'est, dit-il, un droit gouvernement de plusieurs ménages, et de ce qui leur est commun avec puissance souveraine (2).
Seite 29 - Code fédéral déclare, en effet, que « la société est un contrat par lequel deux ou plusieurs personnes conviennent d'unir leurs efforts oulevn ressources en vue d'atteindre un but commun.
Seite 87 - La puissance souveraine c'est celle dont les actes sont indépendants de tout autre pouvoir supérieur, en sorte qu'ils ne peuvent être annulés par aucune autre volonté humaine...