L'enseignement supérieur en France: 1789-1889Armand Colin et Cie, éditeurs, 1888 - 996 Seiten |
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Seite 384 - Constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le Roi », et lesdits sieurs Prévost et Muidebled : « je jure de remplir mes fonctions avec exactitude, d'être fidèle à la Nation, à la Loi et au Roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et sanctionnée par le Roi.
Seite 213 - Nationale, afin que ces établissements soient mis en activité au 1er novembre prochain; et en conséquence les collèges de plein exercice et les facultés de théologie, de médecine, des arts et de droit sont supprimés sur toute la surface de la République ». Seul Coupé de l'Oise avait fait des objections.
Seite 236 - Il ya, pour toute la République, un institut national chargé de recueillir les découvertes, de perfectionner les arts et les sciences.
Seite 119 - Il sera créé et organisé une instruction publique, commune à tous les citoyens, gratuite à l'égard des parties d'enseignement indispensables pour tous les hommes, et dont les établissements seront distribués graduellement, dans un rapport combiné avec la division du royaume.
Seite 108 - II est malheureusement trop reconnu que l'éducation est dans le plus déplorable état, et qu'il est indispensablement nécessaire de prendre les moyens les plus prompts et les plus efficaces pour l'amélioration,
Seite 134 - Du premier nous ne dirons qu'un mot : il doit être commun à tous, et ne saurait comprendre «que des documents généraux applicables à toutes les conditions. » Le second degré correspond à notre enseignement secondaire ; il est caractérisé et défini par sa destination. « Il doit exister, non plus pour tous, mais pour un grand nombre, une instruction qui tende à donner un plus grand développement aux facultés et éclairer chaque élève sur sa destination particulière.
Seite 241 - Indépendamment de l'organisation générale de l'instruction, la République entretient des écoles relatives aux différentes professions uniquement consacrées au service public, et qui exigent des connaissances dans les sciences et les arts.
Seite 264 - La Convention nationale, voulant accélérer l'époque où elle pourra faire répandre d'une manière uniforme, dans toute la République, l'instruction nécessaire à des citoyens français...
Seite 234 - Il ya dans la République des écoles primaires où les élèves apprennent à lire, à écrire, les éléments du calcul et ceux de la morale. La République pourvoit aux frais de logement des instituteurs préposés à ces écoles.
Seite 105 - On entre ignorant à l'école, on en sort écolier; on se fait maître soi-même en portant toute sa capacité naturelle et toute son application sur un objet particulier.