Les Deux Bourgognes: études provinciales, Bände 8-10Bureau de la Revue., 1838 |
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Seite 288 - Des vents sur les guérets, ces immenses coups d'ailes Qui donnent aux épis leurs sonores frissons; L'aubépine neigeant sur les nids des buissons; Les verts étangs rasés du vol des hirondelles; Les vergers allongeant leur grande ombre du soir; Les foyers des hameaux ravivant leurs lumières; Les arbres morts couchés près du seuil des chaumières, Où les couples viennent...
Seite 297 - L'important est qu'il y ait des Frères Prêcheurs français , qu'un peu de ce sang généreux coule sous le vieil habit de saint Dominique. Quant au sol , il aura son tour ; ,car la France arrivera tôt ou tard au rendezvous prédestiné où la Providence l'attend. Ce qu'a prédit M. de Maistre s'accomplira : La France sera chrétienne , l'Angleterre catholique , et l'Europe chantera la messe à Sainte-Sophie.
Seite 182 - Ils font vivre dans la faim, la douleur et la nudité, vos pauvres qui les cultivent. Ils les font périr par les tourments et par le glaive... Votre...
Seite 297 - S'il ne le veut pas , nous irons nous établir à ses frontières , sur quelque terre plus avancée vers le pôle de l'avenir, et nous y attendrons patiemment le jour de Dieu et de la France. L'important est qu'il y ait des Frères Prêcheurs français , qu'un peu de ce sang généreux coule sous le vieil habit de saint Dominique.
Seite 149 - C'est maintenant qu'est venu le salut, et la force, et le règne de notre Dieu, et la puissance de son Christ; car l'accusateur de nos frères, qui les accusait, jour et nuit, devant notre Dieu, a été précipité.
Seite 222 - Dieu n'eust délaissé ledit duc, il n'est pas apparent qu'il se fust mis en péril, pour si peu de chose, vu les offres qui luy avoient esté faites, et contre quelles gens il avoit à faire, où il n'y pouvoit avoir nul acquest, ni nulle gloire; car pour lors les Suisses n'estoient point...
Seite 173 - Tous les gentilshommes • étoient partout également exposés à la jalousie des villes ; mais ceux qui vivoient dans les plaines, n'ayant presque aucun moyen de fortifier leurs châteaux , furent très-promptement obligés de se soumettre aux républiques ; d'y demander le droit de bourgeoisie ; et d'y former un ordre de citoyens , séparé il est vrai , mais subordonné aux magistrats.
Seite 65 - Messieurs les conseillers de Castille, il importe, Afin qu'aucun de nous de sa sphère ne sorte, De bien régler nos droits et de faire nos parts. Le revenu d'Espagne en cent mains est épars. C'est un malheur public, il y faut mettre un terme. Les uns n'ont pas assez, les autres trop. La ferme Du tabac est à vous, Ubilla. L'indigo Et le musc sont à vous, marquis de Priego. Camporeal perçoit l'impôt des huit mille hommes, L'almojarifa2go , le sel, mille autres sommes, Le quint du cent de l'or,...
Seite 197 - Retournez sans délai à Rennes, que votre service soit repris dès le premier jour de votre rentrée, je vous l'ordonne expressément. Je ne répondrai au reste que quand vous m'aurez obéi, c'est le seul moyen de mériter le retour de ma bienveillance
Seite 197 - J'ai lu vos remontrances, elles sont écrites « avec une chaleur que je désapprouve et j'en « défends toute impression. Vous y dites que je « n'ai pas été instruit, rien n'est plus faux : j'ai « lu tout ce que vous avez fait, et on ne vous a « rien adressé que je n'aie ordonné moi-même. « Retournez sans délai à Rennes, que votre ser« vice soit repris dès le premier jour de votre « rentrée, je vous l'ordonne expressément.