| Louis Abel de Bonafous (Abbé de Fontenay.) - 1777 - 620 Seiten
...aum loin de la vérité. Enfin parut en France un génie puiffant & hardi, qui entreprit de fecouer le joug du prince de l'école. Cet homme nouveau vint dire aux autres hommes , que pour être philofophes il ne fuffifoit .pas de croire , mais qu'il falloit penfer. A cette parole, toutes les... | |
| Claude Sixte Sautreau de Marsy - 1789 - 422 Seiten
...de la véricé. v • , Enfin, parut en France un génie piaffant & hardi, qui entreprit de fecouec le joug du Prince de l'école... Cet homme nouveau vint dire aux autres hommes , que , pour être Philofophes, il ne fuffifoit pas de croire, mais qu'il falloir penier. A cette parole, toutes les écoles... | |
| Jean François Michel Noël - 1808 - 624 Seiten
...dans l'univers ; et l'esprit humain, après s'être traîné mille ans sur les vestiges d'Aristote , se trouvait encore aussi loin de la vérité. Enfin...pas de croire , mais qu'il fallait penser. A cette parole, toutes les écoles se troublèrent; une vieille maxime régnait encore : ipse ctixit,\e maître... | |
| Jean-Sifrein Maury - 1810 - 742 Seiten
...ans sur les vestiges d'Aristote se trou» voit eucore aussi loin de la vérité. Enfin » parut eu France un génie puissant et hardi » qui entreprit de secouer le joug du Prince » de l'Ecole. Cet Homme nouveau vint dire » aux autres Hommes, que pour être Philo» sophe , il ne suffisoit... | |
| René Descartes - 1811 - 674 Seiten
...persuadés qu'ils nous en sauront gré : «Enfin parut en France un génie puis« sant et liardi , qui entreprit de secouer le joug du prince de « l'école....nouveau vint dire aux autres hommes , « que pour être philosophe , il ne suifisoit pas de croire , mais « qu'il falloi.t penser. A cette parole , toutes... | |
| Jean-François de La Harpe - 1813 - 458 Seiten
...après s'être traîné mille ans sur n les vestiges d'Aristote, se trouvait encore » aussi loin dela vérité. Enfin parut en France » un génie puissant...nouveau vint dire aux autres hommes, » que, pour être philosophe, il ne suffisait pas » de croire, mais qu'il fallait penser. A cette » -parole, toutes... | |
| Jean-François de La Harpe - 1821 - 500 Seiten
...l'u«nivers; et l'esprit humain, après s'être traîné « mille ans sur les vestiges d'Aristote, se trouvait « encore aussi loin de la vérité. Enfin...France un génie puissant et hardi, qui entreprit et de secouer le joug du prince de l'école. Cet «homme nouveau vint dire aux autres hommes, «que,... | |
| Jean Siffrein Maury - 1827 - 398 Seiten
...lettres. « L'esprit humain , après s'être traîné « deux mille ans sur les vestiges d'Aristote , a se trouvait encore aussi loin de la vérité. « Enfin...vint dire aux autres hommes , que , pour « être philosophe , il ne suffîsoit pas de « croire , mais qu'il falloit penser. A cette « parole toutes... | |
| Jean Siffrein Maury - 1827 - 388 Seiten
...Lettres. « L'esprit humain, après s'être traîné deux mille » ans sur les vestiges d'Aristote se trouvait encore » aussi loin de la vérité. Enfin...hardi qui entreprit de secouer le joug » du Prince de l'Ecole. Cet homme nouveau vint di» re aux autres Hommes que pour être Philosophe, » il ne suffisait... | |
| Jean Siffrein Maury - 1827 - 458 Seiten
...mille ans sur les vestiges d'Aristole, se trou« voit encore aussi loin de la vérité. Enfin pa« rut en France un génie puissant et hardi qui « entreprit de secouer le joug du prince de l'é« cole. Cet homme nouveau vint dire aux au« tres hommes, que, pour être philosophe, il « ne... | |
| |