Bulletin de l'Ancienne société d'agriculture, sciences, arts et belles-lettres du Département de l'Eure |
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Seite 55 - ALFANA vient d'equus sans doute, Mais il faut avouer aussi Qu'en venant de là jusqu'ici II a bien changé sur la route, est une des plus souvent citées, si je ne me trompe.
Seite 284 - L'étage qui se trouve immédiatement au-dessous dela salle d'entrée est éclairé par des croisées de la même forme , de la même grandeur et de la même dimension que celles de l'étage supérieur.
Seite 162 - C'est à l'acide carbonique qu'il faut attribuer la cause principale du méphitisme des puits , des marnières et des cavités profondes : le gaz , comme on sait, est impropre à la combustion et à la respiration ; il existe tout formé dans la nature , il s'y développe sans cesse par la décomposition des matières végétales et animales...
Seite 163 - ... remonte au bout de quelques instans , en l'agitant le moins possible. On y verse de l'eau qui a séjourné sur de la chaux vive et qui a repris sa première limpidité , ou...
Seite 67 - J'entends gronder la foudre et mugir les autans. L'horison m'épouvante , et je suis si timide ! Le calme est si trompeur , et l'orage est si près , Que je n'ose livrer à l'élément perfide Ma nacelle fragile et ses faibles agrès. Où me conduirait-elle, et sur quelle autre rive Irais-je demander un breuvage sans fiel?. . . Quel ange soutiendrait ma démarche craintive, Où, priant près de moi, m'inviterait au ciel? Oh ! ce monde inconnu qui fourmille d'étoiles , Comme il doit être grand!...
Seite 109 - Un jour peut-être On y viendra chercher l'empreinte de mes pas... Terre de mes aïeux, je ne te maudis pas ! Mais que mon cœur se glace avant que je t'oublie, Pays aimé du ciel, noble et belle Italie!... Que j'ai versé de pleurs sur ta captivité. Vieux berceau de la gloire et de la liberté ! Ah ! des grands souvenirs mère auguste et féconde, Ton histoire fatale est l'histoire du monde : La liberté se lève, elle règne ! ... Sa voix...
Seite 310 - ... Gardez-vous d'en douter , on ne nous soutient pas ; si seulement les femmes voulaient prendre des chapeaux et se mettre derrière nous, nous ferions fuir tous les alliés par-delà le Rhin ; mais tout le monde nous abandonne. Comme il finissait de parler , j'entendis sonner un coup violent à la porte , et je m'écriai , en me levant : « Ah ! mon Dieu! que je suis malheureuse ! ma maison va être envahie ! » Le commandant vint à moi , me prit les mains, et me dit avec beaucoup de douceur :...
Seite 66 - Je voudrais ressembler à ces femmes légères Qui passent, en jouant, sans comprendre les pleurs ; Souriant à la vie , oubliant ses misères : Pour elles nos vallons sont parsemés de fleurs. Sur un sable argenté, dans leur joyeux voyage, Le flot qui les soutient roule limpide et pur, La terre est sans venin, le soleil sans nuage : Au ciel leurs yeux n'ont vu que sa voûte d'azur.
Seite 310 - Dieu ! que je suis malheureuse! nia maison va être envahie! » Le commandant vint à moi , me prit les mains et me dit avec beaucoup de douceur : « Tranquillisez-vous, calmez-vous, madame ; c'est sûrement quelqu'un qui veut me parler. » Effectivement , le domestique vint annoncer deux chirurgiensmajors qui demandaient le commandant, et je vis entrer deux messieurs, dont l'un était d'une taille remarquable, et qui, tous deux, laissaient voir, sous leur redingote, l'uniforme d'officier-général....
Seite 162 - Ce fluide ayant une pesanteur spécifique qui eft près du double de celle de l'air atmosphérique, doit nécessairement se rassembler dans les lieux bas , et y séjourner , toutes les fois qu'une cause extraordinaire n'est pas venue l'en expulser. Aussi le trouve-t-on dans presque toutes les mines , dans beaucoup de cavités souterraines, et dans la plupart des excavations •$1ie l'on ouvre à une certaine profondeur.