Causeries du lundi, Band 4

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Garnier, 1859
 

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Beliebte Passagen

Seite 93 - Caton, ny exemple, ny précepte; de ceux là tire nature tous les jours des effects de constance et de patience, plus purs et plus roides que ne sont ceux que nous estudions si curieusement en l'escole.
Seite 509 - Si je pouvais faire en sorte que tout le monde eût de nouvelles raisons pour aimer ses devoirs, son prince, sa patrie, ses lois...
Seite 360 - ... besoin des autres, il ne peut leur être à charge : occupé continuellement à exercer les facultés de son âme, il perfectionne son entendement, il cultive son esprit, il acquiert de nouvelles...
Seite 243 - Vevey, visitez le pays, examinez les sites, promenez-vous sur le lac, et dites si la nature n'a pas fait ce beau pays pour une Julie, pour une Claire, et pour un Saint-Preux; mais ne les y cherchez pas.
Seite 83 - A voir nos guerres civiles, qui ne crie que cette machine se bouleverse, et que le jour du jugement nous prend au collet...
Seite 93 - Celui-là qui fouit mon jardin, il a, ce matin, enterré son père ou son fils. Les noms même de quoy ils appellent les maladies en adoucissent et amollissent l'âpreté.
Seite 79 - Mesrne ruisseau, et toujours eau diverse 686. ya plus affaire à interpréter les interprétations qu'à interpréter les choses, et plus de livres sur les livres que sur autre subject : nous ne faisons que nous entregloser.
Seite 151 - Vertu , craignant de les compromettre elles-mêmes par tout ce qui pourrait ressembler à des moyens indignes d'elles ; ennemis de tout ce qui peut avoir l'air de violence; se reposant sur la bonté de leur cause ; espérant trop des hommes, parce qu'ils savent que, tôt ou tard, ils reviennent à la raison; espérant trop du...
Seite 64 - Seigneur, faites-moi croire ! » Quand soudain sur mon front passa ce vent glacé Qui sur le front de Job autrefois a passé. Le vent d'hiver pleura sous le parvis sonore, Et soudain je sentis que je gardais encore Dans le fond de mon cœur, de moi-même ignoré, Un peu de vieille foi, parfum évaporé.
Seite 122 - ... dire de louable, elle apprit d'elle-même les choses qui dépendent de l'agriculture, du jardinage, du ménage de la campagne, de la cuisine; les causes et les effets des maladies, la composition d'une infinité de remèdes, de parfums, d'eaux de senteur, et de distillations utiles ou galantes, pour la nécessité ou pour le plaisir. Elle eut envie de savoir jouer du luth, et elle en prit quelques leçons avec assez de succès; mais comme...

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