...dans les plus formidables mystères. Il semble que jusque-là l'Eglise eut bégayé et qu'Âbailard parlait. Tout devenait doux et facile, il traitait...dans la main. Rien n'embarrassait ce beau diseur; il menait la religion à la philosophie, la morale à l'humanité. Le crime n'était pas dans l'acte,...

...dogmatique de l'enseignement clérical, sous la rude enveloppe du latin du moyen-âge, apparut dans l'élégance antique, qu'Abailard avait retrouvée....religion, la maniait doucement, mais elle lui fondait ' Liber Calam ., p. 4. Et quoniam dialecticorum rationum armaturanv omnibus pbilosopbix documentis...

...dogmatique de l'enseignement clérical, sous la rude enveloppe du latin du inoyen-âge , apparut dans l'élégance antique, qu'Abailard avait retrouvée....simplifiait , expliquait, popularisait , humanisait. À peine laissaitil quelque chose d'obscur et de divin dans les plus formidables mystères. Il semblait...

...dans l'élégance antique qu'A bailard avait retrouvée. Le hardi jeune homme expliquait, simplifiait, popularisait, humanisait. A peine laissaitil quelque chose d'obscur et de divin dans les formidables .mystères. Il semblait que jusque-là l'Église eût bégayé, et qu Abailard parlait....

...dogmatique de l'enseignement clérical , sous la rude enveloppe du latin du moyen âge , apparut dans l'élégance antique , qu'Abailard avait retrouvée....d'obscur et de divin dans les plus formidables mystères, 1l semblait que jusque là l'Église eût bégayé, et qu'Abailard parlait. Tout devenait doux et facile;...

...dans l'élégance antique qu'Abailard avait retrouvée. Le hardi jeune homme expliquait, simplifiait, popularisait, humanisait. A peine laissaitil quelque chose d'obscur et de divin dans les formidables , mystères. Ij semblait que jusque-là l'Église eût bégayé, et qu'Abailard parlait....

...clérical, sous la rude enveloppe du latin du moyen âge, apparut dans l'élégance antique qu' Abailard avait retrouvée. Le hardi jeune homme simplifiait,...semblait que jusque-là l'église eût bégayé et qu'Abaiîard parlait. Tout devenait doux et facile ; il traitait poliment la religion', la maniait...

...les plus formidables mystères. Il semblait que jusque-là l'église eût bégayé et qu' Abailard parlait. Tout devenait doux et facile ; il traitait...main. Rien n'embarrassait ce beau diseur; il ramenait » •< 1 Pasquier, Recherches, liv. VI, d. 17, la religion à la philosophie, la morale à l'humanité1....

...doctrines, écoutons-le : « Le hardi jeune homme simplifiait, expliquait, popularisait, humanisait, à peine laissait-il quelque chose d'obscur et de divin dans les plus formidables mystères. Il semble que jusque-là l'Église eut bégayé et qu'Abailard parlait. Tout devenait doux et facile,...

...qu'Abélard avait retrouvée. Le hardi jeune homme simplifiait , expliquait, popularisait, harmonisait. A peine laissait-il quelque chose d'obscur et de divin...dans les plus formidables mystères. Il semblait que jusque là l'Eglise eût bégayé, et qu'Abélard parlait. Rien n'embarrassait ce beau diseur ; il...