Collection complete des memoires relatifs a l'histoire de France, depuis le regne de Philippe Auguste jusqu'au commencement du dix-septieme siecleFoucault., 1825 |
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auroit ausquels averti avoient avoit ayant Blois Bussy capitaine cardinal de Bourbon cardinal de Guise cardinal de Lorraine catholique cent mil écus chambre chancelier Charles cheval Clerc comte conseil cour de parlement d'Aumale dame Dieu dimanche disoit duc d'Espernon duc de Guise duc de Joyeuse duc de Mayenne dudit envoyé Etats étoient étoit eût faisoit falloit femme fille fils firent François frere géneral gentilhomme Guyse Henri III heures homme huguenots incontinent Jean jeudy jour Journal de Henri l'edit l'Eglise L'Estoile l'hôtel ladite ledit lieutenant Ligue ligueurs logis Lorraine Louvre lundy madame main maison Majesté manda manuscrits mardy maréchal mercredy mignons mil livres mois Monsieur Montpensier mort mourut n'avoit n'étoit Pape peuple Pierre de L'Estoile pouvoit president prevôt prince de Condé prisonnier quoy Reine religion roy de Navarre Roy fit royaume ruës Saint samedy sçavoir seigneur seroit sieur tems toutesfois trouver trouverent vendredy Villequier vouloit
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Seite 121 - ... à colet renversé, à l'italienne. Il alloit ordinairement en coche , avec la Reine sa femme, par les rues et maisons de Paris, prendre les petits chiens damerets, se faisoit lire la grammaire, et apprenoit à décliner [ par Doron , qu'il fit depuis conseiller au grand conseil.
Seite 363 - Guyse accompagné de quatre-vingt chevaux, le cardinal de Bourbon précédé de cinquante archers de sa garde, vestus de casaques de velours cramoisy , bordées de passements d'or; l'archevêque de Lyon et plusieurs autres, partirent de Paris, et arriverent le lundy à Chartres, et furent bien recueillis par le Roy.
Seite 464 - Larchant qui lui présente la requête pour le payement de ses compagnons , le supplie de le favoriser. Le duc lui en promet du contentement. Il entre en la chambre du conseil; et le sieur de Larchant , selon le commandement du Roy...
Seite 398 - Roy prit son logis à Saint- Cloud, en la maison de Gondi , d'où il voyoit tout à son aise sa ville de Paris, qu'il disoit être le cœur de la Ligue; et que pour la faire mourir , il lui falloit donner le coup droit au cœur. Le lundy...
Seite 117 - Toute sa charge estoit que, s'estant trouvé en quelque compagnie , où on parloit de la querelle des escoliers et des Italiens , il avoit dit qu'il faloit se ranger du costé des escoliers , et saccager et couper la gorge à tous ces b....
Seite 422 - Reine sa femme pour gouverner en son absence. Et lors messieurs de la Ligue furent en délibération de se saisir de la ville de Paris...
Seite 20 - J'ay pres« té et consigné entre les mains de M. Despinelle mon « gros Journal in-folio, tout escrit de ma main, con« tenant les choses advenues sous le regne de Henri ni, « où le bon et le mauvais , le véritable et le médisant
Seite 70 - ... principalement le Roy , qui l'appelloit sa grande tante , son tout, sa mieux aimée, qu'il ne bougea jamais d'auprès d'elle à l'entretenir , avec tant d'honneur et de reverence que chacun en étoit etonné.
Seite 249 - Ah ! malheureux hypocrites, vous vous moquez donc de Dieu sous le masque, et portez par contenance un fouet à votre ceinture ? Ce n'est pas là, de par Dieu, où il vous le faudrait porter, c'est sur votre dos et sur vos épaules, et vous en étriller très bien...
Seite 465 - Monsieur de Morfontaine, je vous prie de dire à M. de Saint-Prix, premier valet de chambre du roy, que je le prie de me donner des raisins de Damas ou de la conserve de rosés... » Le duc de Guise met des prunes dans son drageoir, jette le demeurant sur le tapis. « Messieurs, dit-il, qui en veut ?