...19, à Paris là nouvelle de sa convalescence, fut embrassé et presque étuiijfé par le peuple j on baisait son cheval, on le menait en triomphe. Toutes...retentissaient d'un cri de joie: le roi est guéri .' Çuand on rendit compte à ce monarque des transports' inouïs de joie qui avaient succédé à...

...qui apporta , le 19 , à Paris la nouvelle desn convalescence fut eoibras-sé et presque étoulfé par le peuple ; on baisait son cheval ; on le menait...retentissaient d'un cri de joie: «Le roi est guéri». Quand ou rendit compte à ce monarque des transports inouis de joie qui avaient succédé à ceux de la désolation...

...le chant par ses pleurs , et le peuple lui répondit par des cris. Le courier qui apporta , le 19 , à Paris la nouvelle de sa convalescence fut embrassé et presque étouffé parle peuple ; ou baisait son cheval ; on le menait en triomphe ; toutes les rues retentissaient d'un...

...courier qui apporta , le i0 , à Paris la nouvelle de sa convalescence fut embrassé et presque étoulfé par le peuple ; on baisait son cheval ; on le menait en triomphe ; toutes les mes retentissaient d'un cri de joie: « Le roi est gnéri ». Quand on rendit compte à ce monarque...

...conrier qui apporta , le ip , à Paris la nonvelle de sa convalescence fut embrassé et presque étonffé par le peuple ; on baisait son cheval ; on le menait en triomphe ; tontes les rues retentissaient d'un cri de joie: «Le roi est gnéri ». Quand on rendit compte à...

...ses pleurs , et le peuple lui répondit par des cris de désespoir. Le courrier qui apporta, le 19, à Paris, la nouvelle de sa convalescence, fut embrassé et presque étouffé par le peuple; on baisait sou cheval; on le menait en triomphe. Toutes les rues retentissaient d'un cri de joie : le Roi est...

...« le peuple : on baisoitson cheval; on le menoit « en triomphe. Toutes les rues retentissoient « d'un cri de joie : — Le roi est guéri ! — Quand « on rendit compte à ce monarque des trans« ports inouïs de joie qui avoient succédé à ceux « de la désolation, il en fut attendri...

...Guicliard était intime. (S) N». 3 de décembre 1833, page 410. » cris. Le courrier qui apporta le 19, à Paris» la nouvelle de » sa convalescence, fut...: on baisait son cheval, on le menait en triomphe; « tontes les rues retentissaient du cri de joie : Le Roi eut » guéri ! ! » Les poètes ne furent...

...« le peuple : on baisoitson cheval; on le menoit « en triomphe. Toutes les rues retentissoient « d'un cri de joie : — Le roi est guéri ! — . Quand « on rendit compte à ce monarque des trans« ports inouïs de joie qui avoient succédé à ceux « de la désolation, il en fut attendri...

...pleurs, » et le peuple lui répondit par des sanglots et par des cris. Le cour» rier qni apporta le i9, à Paris, la nouvelle de sa convalescence, fut »...baisait son cheval ; on » le menait en triomphe. Tontes les rues retentissaient d'un cri de » joie : — Le roi est guéri ! — Quand on rendit compte...