Nouvelle encyclopédie poétique: ou, Choix de poésies dans tous les genres, Band 5Capelle (M., Pierre Adolphe) Ferra, 1818 |
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... Dieu le console . Dans le fond d'un désert ce Dieu consolateur , Malgré tes vains efforts , rend le calme à son cœur . De la chair et du sang , esclaves mercenaires , Traîtres religieux , qui vous dites ses frères , Pour ternir sa vertu ...
... Dieu le console . Dans le fond d'un désert ce Dieu consolateur , Malgré tes vains efforts , rend le calme à son cœur . De la chair et du sang , esclaves mercenaires , Traîtres religieux , qui vous dites ses frères , Pour ternir sa vertu ...
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... Dieu , qui fut sur vous si puissant autrefois , Vous a - t - il fait sitôt méconnaître ses droits ? Et cédant , sans combattre , au pouvoir de l'absence , N'osait - il vous blesser qu'armé de ma présence ? Ne m'abandonnez pas à ce ...
... Dieu , qui fut sur vous si puissant autrefois , Vous a - t - il fait sitôt méconnaître ses droits ? Et cédant , sans combattre , au pouvoir de l'absence , N'osait - il vous blesser qu'armé de ma présence ? Ne m'abandonnez pas à ce ...
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... Dieu même est témoin de leur reconnaissance . Ce cloître , ces jardins , ce temple , ces autels , De votre piété monumens immortels , A nos derniers neveux portant votre mémoire , ' Des horreurs de l'oubli sauveront votre gloire : On ...
... Dieu même est témoin de leur reconnaissance . Ce cloître , ces jardins , ce temple , ces autels , De votre piété monumens immortels , A nos derniers neveux portant votre mémoire , ' Des horreurs de l'oubli sauveront votre gloire : On ...
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... Dieu , par ta toute - puissance , Attacher nos désirs , fixer notre inconstance , Et des feux de ta grâce allumant notre foi , Nous faire détester tout ce qui n'est pas toi . Imitez , Abeilard , le zèle de l'apôtre ; Dieu bénit son ...
... Dieu , par ta toute - puissance , Attacher nos désirs , fixer notre inconstance , Et des feux de ta grâce allumant notre foi , Nous faire détester tout ce qui n'est pas toi . Imitez , Abeilard , le zèle de l'apôtre ; Dieu bénit son ...
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... Dieu ! souffres - tu tant d'horreur ? Que n'étais - je avec vous quand on vint vous surprendre ! Contre un lâche assassin j'aurais su vous défendre . Aux dépens de mes jours j'aurais paré ses coups ; Il m'aurait immolée , ou j'aurais un ...
... Dieu ! souffres - tu tant d'horreur ? Que n'étais - je avec vous quand on vint vous surprendre ! Contre un lâche assassin j'aurais su vous défendre . Aux dépens de mes jours j'aurais paré ses coups ; Il m'aurait immolée , ou j'aurais un ...
Inhalt
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Häufige Begriffe und Wortgruppen
Adieu Adonis affreux aimable aime amans âme amour appas aquilons attraits beauté beaux jours belle bonheur bras brillant brûle calme Calypso cesse charmes cher Abeilard Cher amant cheveux ciel cieux cilices cœur couler mes larmes crime cruel danses éternelles désirs destin Didon Dieu dieux douce douce illusion douleur doux DUAULT Énée époux esclavage Eucharis feux fidèle flambeau flamme fleurs flots front funeste fureur gémir gloire hélas Héloïse Héroïdes heureux infortunés ingrat ivresse j'ai j'aime j'embrasse jaloux jamais jeunesse l'amant l'amour l'aurore l'ombre l'univers langueur larmes lieux loin long-temps main maîtresse malheureux maux mort mortel mourir myrtes nuit Oronte pardonne parure paupière Phaon plaintive plaire plaisir plaisirs pleurs poëte pourpre de Tyr qu'un regrets rival rose sacré Sapho sermens seul sombre sommeil sort soupirs t'aimer tendre tendresse Tibulle tombeau tourment tranquille transports tremblant trépas triste Vénus verdure veux Viens violette odorante vœux vois voix yeux Zéphir
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Seite 192 - Thétis, doux alcyons, pleurez ! Elle a vécu, Myrto, la jeune Tarentine ! Un vaisseau la portait aux bords de Camarine : Là, l'hymen, les chansons, les flûtes, lentement Devaient la reconduire au seuil de son amant.
Seite 159 - Qu'il pouvait doucement laisser couler son âge ! Vous n'avez pas chez vous ce brillant équipage, Cette foule de gens qui s'en vont chaque jour Saluer à longs flots le soleil de la cour : Mais la faveur du ciel vous donne en récompense Du repos, du loisir, de l'ombre et du silence, Un tranquille sommeil, d'innocents entretiens ; Et jamais à la cour on ne trouve ces biens.
Seite 192 - L'enveloppe : étonnée et loin des matelots, Elle crie, elle tombe, elle est au sein des flots.
Seite 183 - Quel sensible mortel des scènes de l'automne N'a chéri quelquefois la beauté monotone ! Oh ! comme avec plaisir la rêveuse douleur , Le soir, foule à pas lents ces vallons sans couleur, Cherche les bois jaunis, et se plaît au murmure Du vent qui fait tomber leur dernière verdure ! Ce bruit sourd a pour moi je ne sais quel attrait. Tout à coup si j'entends s'agiter la forêt , D'un ami qui n'est plus la voix long-temps chérie Me semble murmurer dans la feuille flétrie.
Seite 159 - Recevoit des honneurs qu'on ne doit qu'aux autels. Hélas ! qu'il est déchu de ce bonheur suprême ! Que vous le trouveriez différent de lui-même ! Pour lui les plus beaux jours sont de secondes nuits ; Les soucis dévorants, les regrets, les ennuis, Hôtes infortunés de sa triste demeure, En des gouffres de maux le plongent à toute heure.
Seite 193 - L'ont au cap du Zéphyr déposé mollement; Puis de loin à grands cris appelant leurs compagnes, Et les nymphes des bois, des sources, des montagnes, Toutes, frappant leur sein et traînant un long deuil, Répétèrent, hélas! autour de son cercueil: 'Hélas ! chez ton amant tu n'es point ramenée ; Tu n'as point revêtu ta robe d'hyménée; L'or autour de tes bras n'a point serré de nœuds; Les doux parfums n'ont point coulé sur tes cheveux.
Seite 193 - Puis de loin à grands cris appelant leurs compagnes, Et les Nymphes des bois, des sources, des montagnes, Toutes, frappant leur sein et traînant un long deuil, Répétèrent: «Hélas!» autour de son cercueil. Hélas ! chez ton amant tu n'es point ramenée. Tu n'as point revêtu ta robe d'hyménée. L'or autour de tes bras n'a point serré de nœuds. Les doux parfums n'ont point coulé sur tes cheveux.
Seite 183 - L'invisible union de la terre et des cieux, Tout enflamme, agrandit, émeut l'homme sensible...
Seite 133 - D'un ton un peu plus haut, mais pourtant sans audace, La plaintive élégie, en longs habits de deuil, Sait, les cheveux épars, gémir sur un cercueil.
Seite 160 - Nymphes, qui lui devez vos plus charmants appas. Si le long de vos bords Louis porte ses pas, Tâchez de l'adoucir, fléchissez son courage...