Nouvelle encyclopédie poétique: ou, Choix de poésies dans tous les genres, Band 5Capelle (M., Pierre Adolphe) Ferra, 1818 |
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... mortel présomptueux , Je couvrais ma douleur d'un dehors vertueux ; Et quand je paraissais te faire un sacrifice , Je me vengeais du monde et de son injustice . Caché dans un désert , je nourris le poison Dont le charme imposteur ...
... mortel présomptueux , Je couvrais ma douleur d'un dehors vertueux ; Et quand je paraissais te faire un sacrifice , Je me vengeais du monde et de son injustice . Caché dans un désert , je nourris le poison Dont le charme imposteur ...
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... mortel présomptueux , Je couvrais ma douleur d'un dehors vertueux ; Et quand je paraissais te faire un sacrifice , Je me vengeais du monde et de son injustice . Caché dans un désert , je nourris le poison Dont le charme imposteur ...
... mortel présomptueux , Je couvrais ma douleur d'un dehors vertueux ; Et quand je paraissais te faire un sacrifice , Je me vengeais du monde et de son injustice . Caché dans un désert , je nourris le poison Dont le charme imposteur ...
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... mortel dont l'ardeur dévorante Se rallumait sans cesse aux feux de son amante , Et qui , plein d'un amour accru par les désirs , Sut t'en prouver l'excès par l'excès des plaisirs . Hélas ! tu le sais trop ! le ciel dans sa vengeance ...
... mortel dont l'ardeur dévorante Se rallumait sans cesse aux feux de son amante , Et qui , plein d'un amour accru par les désirs , Sut t'en prouver l'excès par l'excès des plaisirs . Hélas ! tu le sais trop ! le ciel dans sa vengeance ...
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... mortel qui t'offense . Toi dont la voix forma tous ces êtres divers , Et du sein du chaos appela l'univers , Accorde à mes soupirs la grâce que j'implore : Qui m'a déjà créé peut bien le faire encore : Brise ces fers honteux dont mes ...
... mortel qui t'offense . Toi dont la voix forma tous ces êtres divers , Et du sein du chaos appela l'univers , Accorde à mes soupirs la grâce que j'implore : Qui m'a déjà créé peut bien le faire encore : Brise ces fers honteux dont mes ...
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... mortel déplorable Que le désir dévore , et que son être accable : Et toi - même , évitant la trace de mes pas , Tu maudirais l'amour expirant dans mes bras . Sous un chêne brisé par les coups du tonnerre Voit - on se reposer la timide ...
... mortel déplorable Que le désir dévore , et que son être accable : Et toi - même , évitant la trace de mes pas , Tu maudirais l'amour expirant dans mes bras . Sous un chêne brisé par les coups du tonnerre Voit - on se reposer la timide ...
Inhalt
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Häufige Begriffe und Wortgruppen
Adieu Adonis affreux aimable aime amans âme amour appas aquilons attraits beauté beaux jours belle bonheur bras brillant brûle calme Calypso cesse charmes cher Abeilard Cher amant cheveux ciel cieux cilices cœur couler mes larmes crime cruel danses éternelles désirs destin Didon Dieu dieux douce douce illusion douleur doux DUAULT Énée époux esclavage Eucharis feux fidèle flambeau flamme fleurs flots front funeste fureur gémir gloire hélas Héloïse Héroïdes heureux infortunés ingrat ivresse j'ai j'aime j'embrasse jaloux jamais jeunesse l'amant l'amour l'aurore l'ombre l'univers langueur larmes lieux loin long-temps main maîtresse malheureux maux mort mortel mourir myrtes nuit Oronte pardonne parure paupière Phaon plaintive plaire plaisir plaisirs pleurs poëte pourpre de Tyr qu'un regrets rival rose sacré Sapho sermens seul sombre sommeil sort soupirs t'aimer tendre tendresse Tibulle tombeau tourment tranquille transports tremblant trépas triste Vénus verdure veux Viens violette odorante vœux vois voix yeux Zéphir
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Seite 192 - Thétis, doux alcyons, pleurez ! Elle a vécu, Myrto, la jeune Tarentine ! Un vaisseau la portait aux bords de Camarine : Là, l'hymen, les chansons, les flûtes, lentement Devaient la reconduire au seuil de son amant.
Seite 159 - Qu'il pouvait doucement laisser couler son âge ! Vous n'avez pas chez vous ce brillant équipage, Cette foule de gens qui s'en vont chaque jour Saluer à longs flots le soleil de la cour : Mais la faveur du ciel vous donne en récompense Du repos, du loisir, de l'ombre et du silence, Un tranquille sommeil, d'innocents entretiens ; Et jamais à la cour on ne trouve ces biens.
Seite 192 - L'enveloppe : étonnée et loin des matelots, Elle crie, elle tombe, elle est au sein des flots.
Seite 183 - Quel sensible mortel des scènes de l'automne N'a chéri quelquefois la beauté monotone ! Oh ! comme avec plaisir la rêveuse douleur , Le soir, foule à pas lents ces vallons sans couleur, Cherche les bois jaunis, et se plaît au murmure Du vent qui fait tomber leur dernière verdure ! Ce bruit sourd a pour moi je ne sais quel attrait. Tout à coup si j'entends s'agiter la forêt , D'un ami qui n'est plus la voix long-temps chérie Me semble murmurer dans la feuille flétrie.
Seite 159 - Recevoit des honneurs qu'on ne doit qu'aux autels. Hélas ! qu'il est déchu de ce bonheur suprême ! Que vous le trouveriez différent de lui-même ! Pour lui les plus beaux jours sont de secondes nuits ; Les soucis dévorants, les regrets, les ennuis, Hôtes infortunés de sa triste demeure, En des gouffres de maux le plongent à toute heure.
Seite 193 - L'ont au cap du Zéphyr déposé mollement; Puis de loin à grands cris appelant leurs compagnes, Et les nymphes des bois, des sources, des montagnes, Toutes, frappant leur sein et traînant un long deuil, Répétèrent, hélas! autour de son cercueil: 'Hélas ! chez ton amant tu n'es point ramenée ; Tu n'as point revêtu ta robe d'hyménée; L'or autour de tes bras n'a point serré de nœuds; Les doux parfums n'ont point coulé sur tes cheveux.
Seite 193 - Puis de loin à grands cris appelant leurs compagnes, Et les Nymphes des bois, des sources, des montagnes, Toutes, frappant leur sein et traînant un long deuil, Répétèrent: «Hélas!» autour de son cercueil. Hélas ! chez ton amant tu n'es point ramenée. Tu n'as point revêtu ta robe d'hyménée. L'or autour de tes bras n'a point serré de nœuds. Les doux parfums n'ont point coulé sur tes cheveux.
Seite 183 - L'invisible union de la terre et des cieux, Tout enflamme, agrandit, émeut l'homme sensible...
Seite 133 - D'un ton un peu plus haut, mais pourtant sans audace, La plaintive élégie, en longs habits de deuil, Sait, les cheveux épars, gémir sur un cercueil.
Seite 160 - Nymphes, qui lui devez vos plus charmants appas. Si le long de vos bords Louis porte ses pas, Tâchez de l'adoucir, fléchissez son courage...