Nouvelle encyclopédie poétique: ou, Choix de poésies dans tous les genres, Band 5Capelle (M., Pierre Adolphe) Ferra, 1818 |
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Seite 18
... nuit et jour , le nom fut adoré : On saura que , pour vous , des filles pénitentes , Y poussaient vers le ciel des prières ardentes : On saura que ce temple , et ses superbes toits , Sont votre unique ouvrage , et non celui des rois ...
... nuit et jour , le nom fut adoré : On saura que , pour vous , des filles pénitentes , Y poussaient vers le ciel des prières ardentes : On saura que ce temple , et ses superbes toits , Sont votre unique ouvrage , et non celui des rois ...
Seite 40
... nuit et jour entendît mes soupirs ? N'était - ce pas assez , qu'à la fleur de mon âge Vous m'eussiez imposé le plus rude esclavage ? Pourquoi d'un doux espoir m'envier les douceurs , Et verser sur mes jours de nouvelles noirceurs ...
... nuit et jour entendît mes soupirs ? N'était - ce pas assez , qu'à la fleur de mon âge Vous m'eussiez imposé le plus rude esclavage ? Pourquoi d'un doux espoir m'envier les douceurs , Et verser sur mes jours de nouvelles noirceurs ...
Seite 47
... nuit et jour , Et je ne connaissais d'autre dieu que l'Amour . Mais qui peut avec toi balancer la victoire ? Nos forfaits les plus grands font éclater ta gloire ; Et le cœur le plus dur , quand tu veux l'attendrir , A tes impressions ...
... nuit et jour , Et je ne connaissais d'autre dieu que l'Amour . Mais qui peut avec toi balancer la victoire ? Nos forfaits les plus grands font éclater ta gloire ; Et le cœur le plus dur , quand tu veux l'attendrir , A tes impressions ...
Seite 56
... nuit les a couverts de ses voiles funèbres ; La tristesse nous suit dans l'horreur des ténèbres : On demande Abeilard , et je vois tous les cœurs , Privés de mon amant , partager mes douleurs . Des larmes de ses soeurs Héloïse attendrie ...
... nuit les a couverts de ses voiles funèbres ; La tristesse nous suit dans l'horreur des ténèbres : On demande Abeilard , et je vois tous les cœurs , Privés de mon amant , partager mes douleurs . Des larmes de ses soeurs Héloïse attendrie ...
Seite 61
... nuit ... je veillais à côté d'un tombeau , La torche funéraire , obscur et noir flambeau , Poussait par intervalle un feu mourant et sombre : A peine il s'éteignit et disparut dans l'ombre , Que du creux d'un cercueil des cris , de ...
... nuit ... je veillais à côté d'un tombeau , La torche funéraire , obscur et noir flambeau , Poussait par intervalle un feu mourant et sombre : A peine il s'éteignit et disparut dans l'ombre , Que du creux d'un cercueil des cris , de ...
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Häufige Begriffe und Wortgruppen
Adieu Adonis affreux aimable aime amans âme amour appas aquilons attraits beauté beaux jours belle bonheur bras brillant brûle calme Calypso cesse charmes cher Abeilard Cher amant cheveux ciel cieux cilices cœur couler mes larmes crime cruel danses éternelles désirs destin Didon Dieu dieux douce douce illusion douleur doux DUAULT Énée époux esclavage Eucharis feux fidèle flambeau flamme fleurs flots front funeste fureur gémir gloire hélas Héloïse Héroïdes heureux infortunés ingrat ivresse j'ai j'aime j'embrasse jaloux jamais jeunesse l'amant l'amour l'aurore l'ombre l'univers langueur larmes lieux loin long-temps main maîtresse malheureux maux mort mortel mourir myrtes nuit Oronte pardonne parure paupière Phaon plaintive plaire plaisir plaisirs pleurs poëte pourpre de Tyr qu'un regrets rival rose sacré Sapho sermens seul sombre sommeil sort soupirs t'aimer tendre tendresse Tibulle tombeau tourment tranquille transports tremblant trépas triste Vénus verdure veux Viens violette odorante vœux vois voix yeux Zéphir
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Seite 192 - Thétis, doux alcyons, pleurez ! Elle a vécu, Myrto, la jeune Tarentine ! Un vaisseau la portait aux bords de Camarine : Là, l'hymen, les chansons, les flûtes, lentement Devaient la reconduire au seuil de son amant.
Seite 159 - Qu'il pouvait doucement laisser couler son âge ! Vous n'avez pas chez vous ce brillant équipage, Cette foule de gens qui s'en vont chaque jour Saluer à longs flots le soleil de la cour : Mais la faveur du ciel vous donne en récompense Du repos, du loisir, de l'ombre et du silence, Un tranquille sommeil, d'innocents entretiens ; Et jamais à la cour on ne trouve ces biens.
Seite 192 - L'enveloppe : étonnée et loin des matelots, Elle crie, elle tombe, elle est au sein des flots.
Seite 183 - Quel sensible mortel des scènes de l'automne N'a chéri quelquefois la beauté monotone ! Oh ! comme avec plaisir la rêveuse douleur , Le soir, foule à pas lents ces vallons sans couleur, Cherche les bois jaunis, et se plaît au murmure Du vent qui fait tomber leur dernière verdure ! Ce bruit sourd a pour moi je ne sais quel attrait. Tout à coup si j'entends s'agiter la forêt , D'un ami qui n'est plus la voix long-temps chérie Me semble murmurer dans la feuille flétrie.
Seite 159 - Recevoit des honneurs qu'on ne doit qu'aux autels. Hélas ! qu'il est déchu de ce bonheur suprême ! Que vous le trouveriez différent de lui-même ! Pour lui les plus beaux jours sont de secondes nuits ; Les soucis dévorants, les regrets, les ennuis, Hôtes infortunés de sa triste demeure, En des gouffres de maux le plongent à toute heure.
Seite 193 - L'ont au cap du Zéphyr déposé mollement; Puis de loin à grands cris appelant leurs compagnes, Et les nymphes des bois, des sources, des montagnes, Toutes, frappant leur sein et traînant un long deuil, Répétèrent, hélas! autour de son cercueil: 'Hélas ! chez ton amant tu n'es point ramenée ; Tu n'as point revêtu ta robe d'hyménée; L'or autour de tes bras n'a point serré de nœuds; Les doux parfums n'ont point coulé sur tes cheveux.
Seite 193 - Puis de loin à grands cris appelant leurs compagnes, Et les Nymphes des bois, des sources, des montagnes, Toutes, frappant leur sein et traînant un long deuil, Répétèrent: «Hélas!» autour de son cercueil. Hélas ! chez ton amant tu n'es point ramenée. Tu n'as point revêtu ta robe d'hyménée. L'or autour de tes bras n'a point serré de nœuds. Les doux parfums n'ont point coulé sur tes cheveux.
Seite 183 - L'invisible union de la terre et des cieux, Tout enflamme, agrandit, émeut l'homme sensible...
Seite 133 - D'un ton un peu plus haut, mais pourtant sans audace, La plaintive élégie, en longs habits de deuil, Sait, les cheveux épars, gémir sur un cercueil.
Seite 160 - Nymphes, qui lui devez vos plus charmants appas. Si le long de vos bords Louis porte ses pas, Tâchez de l'adoucir, fléchissez son courage...