 | André Marie de Chénier - 1826 - 364 Seiten
...quelques Romains, la république vivrait encore. « De deux factions qui régnaient à Cartilage, « dit un grand homme, peu estimé dans les clubs, «...impossible d'y «jouir de l'une, et d'y bien faire Vautre '. » Un parleur, connu par sa féroce démence et par une inexplicable haine contre un général... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1838 - 826 Seiten
...richesses des rois. De deux factions qui régnaient à Carthage, l'une voulait toujours la paix, et ccessivement contre tous les peuples , ils ont toujours renoncé à leurs usages ni d'y bien faire l'autre. Pendant qu'à Rome la guerre réunissait d'abord tous les intérêts, elle... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1843 - 574 Seiten
...richesses des rois. De deux factions qui régnaient à Carthage, l'une voulait toujours la paix , et l'autre toujours la guerre ; de façon qu'il était impossible d'y jouir de l'une ni d'y bien faire l'autre. Pendant qu'à Rome la guerre réunissait d'ahord tous les intérêts, elle... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1846 - 602 Seiten
...richesses des rois. De deux factions qui régnaient à Carthage , l'une voulait toujours la paix , et l'autre toujours la guerre ; de façon qu'il était impossible d'y jouir de l'une ni d'y bien taire l'autre. Pendant qu'à Rome la guerre réunissait d'abord tous les intérêts , elle... | |
 | David Eugène Levi Alvarès - 1848 - 586 Seiten
...Carthage , les particuliers avaient les richesses des rois. 3° Deux factions régnaient à Cartilage : l'une voulait toujours la paix , l'autre toujours...façon qu'il était impossible d'y jouir de l'une , ni d'y bien faire l'autre. 4° Pendant qu'à Rome la guerre réunissait tous les intérêts, elle... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1851 - 580 Seiten
...richesses des rois. De deux factions qui régnaient à Carthage , l'une voulait toujours la paix , et l'autre toujours la guerre ; de façon qu'il était impossible d'y jouir de l'une ni d'y bien faire l'autre. Pendant qu'à Rome la guerre réunissait d'abord tous les intérêts, elle... | |
 | Jean Jacques Guillemin - 1858 - 670 Seiten
...richesses des rois._ — De deux factions qui régnaient à Carthage , l'une voulait toujours la paix et l'autre toujours la guerre ; de façon qu'il était impossible d'y jouir de l'une ni d'y bien faire l'autre. — Pendant qu'à Rome la guerre réunissait d'abord tous les intérêts,... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1866 - 582 Seiten
...des rois. De deux factions qui régnaient à Carthage , l'une voulait toujours la paix , et l'antre toujours la guerre ; de façon qu'il était impossible d'y jouir de l'une ni d'y bien faire l'autre. Pendant qu'à Rome la guerre réunissait d'abord tous les intérêts, elle... | |
 | Jean Jacques Guillemin - 1867 - 740 Seiten
...richesses des rois. — De deux factions qui régnaient à Carthage, l'une voulait toujours la paix et l'autre toujours la guerre ; de façon qu'il était impossible d'y jouir de l'une ni d'y bien faire l'autre. — Peu dont qu'à Rome la guerre réunissait d'abord tous les intérêts,... | |
 | Edward Hicks Magill - 1870 - 472 Seiten
...richesses des rois. De deux factions qui régnaient à Carthage, l'une voulait toujours la paix, et l'autre toujours la guerre ; de façon qu'il était impossible d'y jouir de l'une ni d'y bien faire l'autre. Pendant qu'à Homo la guerre réunissait d'abord tous les intérêts, elle... | |
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Carthage des particuliers avaient les richesses des rois. De deux factions qui régnaient à Carthage, l'une voulait toujours la paix, et l'autre toujours la guerre ; de façon qu'il était impossible d'y jouir de l'une ni d'y bien faire l'autre. 
