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الة

1 ou o Eldhon, et vulgairement, Elah ou Hlah. On l'emploie plus communé– ment avec l'article en élidant la première radicale, Allaho, vulgairement Allah. Ce mot vient de la même racine que l'hébreu Eloah, et a été imposé par les musulmans à tous les peuples soumis au joug de l'islamisme; il a même fait oublier à la plupart d'entre eux l'ancienne appellation en usage an temps où ils étaient idolâtres. Le mot Allah cependant est bien antérieur chez les Arabes à la prédication de Mahomet; car les tribus qui habitaient cette vaste péniasule s'étaient toujours servies de cette expression pour désigner le souveraia Seigneur, du temps même où ils étaient sabéens.

Les Arabes modernes se vantent de posséder dans leur langue, la plus riche et la plus répandue de l'univers, quatre-vingt-dix-neuf noms de Dieu, sans compter le mot Allah ; mais les autres langues pourraient en avoir presque autant, car ce sont moins des noms que des qualifications ou attribu's. Cependint, comme ils sont très-propres à nous apprendre l'idée que les nations musulmanes sforment de l'Etre souverain, et que d'ail

urs les ouvrages où ils sont consignés sont r.res, nous allons les rapporter ici avec 1 ur signification. Is consistent tous en un sent mot, à l'exception du quatre-vingtquatrien eet du quatre-vingt-cinquième; c'est pourquoi nous les traduisons aussi par un Seul mot français; mais si quelqu'un trouvait quelqu'une de ces expressions obscure, il Courrait recourir au chapelet musulman que ous avons inséré dans le premier volume, i nous avons donné un peu plus d'extension x vocables. Si quelques expressions avaient un autre sens que dans le chapelet sus61, c'est qu'en effet le terme arabe peut

1 Ces deux attributs entrent dans la composition - cette célèbre formule aussi fréquente chez les mens que le signe de la croix chez les catho

quelquefois se traduire de plusieurs ma

nières différentes.

2 El-Rahman, le Clément.

3 El-Rahim, le Miséricordieux (1).
4 El-Melik, le Roi.

5 El-Coddous, le Saint.
6 El-Selam, la Paix.
7 El-Moumen, le Fidèle.
8 El-Mohaimen, le Tuteur.
9 El-Aziz, Excellent.
10 E-Djebbar, le Puissant.
11 El-Motukabber, l'Auguste.
12 El-Khalec, le Créateur.
13 El-Bari, le Fondateur.
14 El-Mocawwer, le Formateur.
13 El-Ghaffar, ladulgent.
16 El-Cahhar, le Victorieux.
17 El-Wahhab, le Donateur.
18 El-Razzac, le Conservateur.
19 El-Fattah, le Vainqueur.
20 El-Alim, le Savant.

21 El-Cabedh, Celui qui contient tout.

22 El-Baset, l'Immense.

23 El-Hafedh, Abaissant (les superbes). 2' El-Rafé, Exaltant (les humbles).

25 El-Moczz, le Glorifiant. 26 El-Mazell, l'Humiliant. 27 El-Sami, l'Ecoutant. 28 El-Bacir, le Voyant. 29 El-Hakem, le Juge. 50 El-Adl, le Juste. 31 El-Latif, l'Aimable. 32 El-Khabir, l'Habile. 33 El-Halim, le Doux. 34 El-Azim, le Très-Haut. 35 El-Ghafour, le Propice. 36 El-Schekour, le Reconnaissant. 37 El-A, V'Elevé. 58 El Kebir, le Grand. 89 El-Hafiz, le Gardien. 40 El-Mog it, le Nourrissant. 41 El-Hasib, le Computateur. 42 El-Djelil, le Glorieux. 43 El-Kerim, le Généreux. 44 El-Raquib, l'Observateur. 45 El-Modjib, l'Exauçant. 46 El-Wasé, le Vaste. 47 El-Hakim, le Sage. 48 El-Wédoud, l'Aimant. 49 El-Medjid, le Glorifié. 50 El-Baeth, le Producteur. 51 El-Schehid, le Témoin. 52 El-Hace, la Vérité. 53 El-Wakil, l'Administrateur. 5' El-Cawi, le fort. 55 El-Metin, le Stable. 36 El-W ́éli, le Patron. 57 El-Hamid, le Loué. 58 El Mohci, le Numérateur. 59 El-Mobdi, le Procréateur. 69 El-Mord, le Ressuscitant. 61 El-Mohyi, le Viviliant. 62 El-Momit, Donnant la mort. 63 El-Hayy, le Vivant.

64 El-Cayoum, le Perpétuel.

liques: Bism Illah ir-rahman ir-rahim; ‹ Au Bont de Dieu clément et miséricordieux. ›

65 El-Wadjed, l'Inventeur.
66 El-Madjed, le Glorificateur.
67 El-Waked, l'Unique.
68 El-Cemed, l'Eternel.

69 El-Cader, le Prédestinant.

70 El-Caser, le Puissant.

7 El-Caddem, le Préexistant.

72 El-Wakkher, Existant après (tous les temps).

13 El-Awal, le Premier. El-Akher, le Dernier.

75 El-Zaher, le Manifeste. 76 El-Baten, le Caché.

77 El-Wali, le Président.

78 El-Motaala, le Très-Élevé. 79 El-Barr, le Pur.

80 El-Thawwab, le Rémunérateur.

81 El-Montaquem, le Vengeur. 82 El-Afou, I Pardon.

83 El-Rawwaf, l'Indulgent.

8 Malek-el-Moulk, Souverain du monde. 85 Zoul-djelal wal-ikram, Possesseur de la gloire et de la magnificence.

86 El-Casal, l'Equitable.

87 El-Djamé, Assemblant (les hommes au jour du jugement).

88 El-Ghani, le Riche.

89 El-Moghni, l'Enrichissant.

90 El-Mané, le Défenseur.

91 El-Dharr, le Contraignant.
92 El-Nafé, le Salutaire.
93 El-Nour, la Lumière.
94 El-Hadi, le Directeur.
95 El-Bedi, l'Admirable.
96 El-Baqui, le Permanent.
97 El-Wareth, l'héritier.
98 El-Raschid, le Guide.
99 El-Cabour, le Patient.

Les Arabes n'ont point inséré dans cette longue nomenclature le mot El-Rabb, le Segneur, dont ils se servent très-fréquemment, ans doute parce qu'il ne se trouve jamais isolément dans le Coran, mais complété par un régime, comme Rabb-i, mon Seigneur, Rabb el-alemin, Seigneur de l'univers.

On peut y joindre encore le pronom Hou, lui, c'est-à-dire il est, il existe, fréquemment employé à la place du nom de Dieu, et qui est ainsi corrélatif de l'hébreu Jéhova.

Les musulmans citent rarement le nom de Dieu sans le faire suivre de la formule Taala, c'est-à-dire qu'il soit exalté!

II GROUPE. LANGUES ARIENNES.

VII. En Zend.

Les anciens habitants des régions ariennes étaient monothéistes. Voisins des temps et des lieux où avaient vécu les patriarches, ils avaient reçu d'eux la notion d'un seul Dieu. Mais plus tard, lorsque les traditions primiives commencèrent à s'effacer, ils crurent pouvoir expliquer la coexistence du bien et du mal sur la terre en admettant deux principes, l'un bon et l'autre mauvais. Le pre

(1) Il ne faut pas confondre asu-ra, un des noms de Brahma, ainsi que le démontre un petit lexique relique que possède M. Burnouf, avec a-sura, les

mier était la lumière, ils le nommaient Ormuzd, l'Oromuzes des Grecs; le second, appelé Ahriman (Arimanes), était les ténèbres. Longtemps en lutte l'un contre l'autre, ils en étaient enfin venus à une espèce de compromis, qui était l'origine de tout ce qu'il y avait de bien et de mal en ce monde. Or, comme ces deux génies marchaient chacun à la tête d'une multitude d'autres esprits, il est certain qu'i's puisèrent cette conception dans la connaissance qu'ils avaient de la chute des mauvais anges. Mais quand on élcsdie à fond leur religion, on acquiert la certitude qu'au-dessus d'Ormuzd et d'Ahriman, ils reconnaissaient un Dieu suprême et indépendant de l'un et de l'autre; c'est donc à tort qu'on a donné à ceux-là le nom de principes; ou bien il faut admettre qu'ils ne s considéraient comme principes que par rapport à l'influence qu'on leur prêtait sur la terre. Mais ils attribuaient tant de pouvoir à ces prétendus principes, qu'ils laissaient peu de chose à faire au Dieu suprême, auquel ils donnaient le nom de Yezd ou l'adorable. Enfin Zoroastre parut avec éclat sons le règne de Darius fils d'Hystaspe, et il donna à la religion des Perses les formes qu'elle a conservées jusqu'à présent.

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1. Daéva, ce mot, corrélatif du sanscrit déva, sera expliqué plus loin.

2.56 Whew Ahura-Mazdao; c'est le Vocable connu depuis longtemps sous la forme Ormuzd. Les anciens Perses donnaient ce nom au premier des Amchaspand (les sept premiers bons esprits créés), mais il a dà originairement s'appliquer uniquement à la divinité ou bon principe; car Ahura est le correspondant exact du sanscrit usu-ra (1), un des noms de Brahmâ en tant que possédant la vie; mazdão se décompose en mazdao, grandement savant (magniscius) (2). Je hasarderai donc de traduire cette expression par le possesseur de la vie, souveraine

ment savant.

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x. En Pehlvi.

1. KпоDA; ce mot est venu par contraction du zend qa-data (à se datus), donné de luimême; de là est dérivé le Gott et God des langues germaniques, vocables dont le son ne rappelle plus à l'esprit la signification première, mais qui, dans l'origine, désignaient l'être incréé, celui que la mythologie indienne nomme Swayam-bhou, existant par lui-même, ou Swayam-datta, donné de soimême. « Tel qu'il est, toutefois, dit M. Burnouf, le mot Khoda et Gott a encore étymologiquement un sens plus élevé que le dévas,

ds, deus, des Indiens, des Grecs et des Latins, lequel ne désigne que l'être qui réside dans le ciel; et l'avantage d'avoir gardé pour l'idée de Dieu une expression plus grande et plus philosophique est incontestablement acquis aux peuples d'origine persane (Nouv. Journal asiatique, tome III, p. 345.). » Cette expression néanmoins le cède encore, ce semble, à celle qui nous est offerte dans Thebreu yéhova, qui joint à l'idée d'exis

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2. Se lezd, Syl Ized, ye Tezdan; ces mots sont des altérations très-légères du zend Yazata, lequel est exactement le sanserit yadjata, adjectif védique composé de yadj, honorer par le sacritice, et du suffixe ata, qui, ajouté au radical, a la valeur de l'adjectif latin en bilis, capable ou digne de... Yezd, yazata ou yadjata, doit donc se traduire littéralement par digne d'être honoré du sacrifice, ou plus simplement par alorable, et se trouve ainsi corrélatif de l'hébreu Eloah (Voyez Commentaire sur le Yaçna, t. 1, p. 218 et 219. Journal asiat. 3 série. t. X. p. 325). Les Perses donnèrent aussi ce nom à un grand nombre de génies, objet de leur culte.

3. tout.

4.

Perverdigar, celui qui nourrit

Djéhanban, le protecteur, le

gardien du monde.

3. slyl> Darad ous Dawer, le souve

rain.

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Au-dessus de la multitude prodigieuse de divinités qui peuplent le panthéon hindou, les plus instruits d'entre les Indiens admettent un Dieu « auteur et principe de toutes choses, éternel, immatériel, présent partout, indépendant, infiniment heureux, exempt de peines et de soucis; vérité pure, source de toute justice; qui gouverne tout, qui dispose de tout, qui règle tout; infiniment éclairé, parfaitement sage; sans forme, sans figure, sans étendue, sans nature, sans nom, sans caste, sans parenté; d'une pureté qui exclut toute passion, toute inclination, toute composition.» On voit par cette définition que les anciens Hindous étaient essentiellement monothéistes, et que ce n'est qu'à une époque postérieure que le poly théisme et l'idolâtrie sont venus souiller et presque effacer une croyance aussi pure.

XIV. Sanscrit.

Parmi les langues indiennes, je mets au premier rang le sanscrit, idiome dont la connaissance a été longtemps un puits scellé pour l'Europe savante, et dont l'origine est encore un mystère ; c'est à cette langue que Ton rattaché les principales familles des langues de l'Europe et de l'Asie; quelquesuns même veulent y trouver la source de tous les idiomes de l'univers.

Pour nommer la divinité, on s'y sert des vocables suivants :

1. za Déva, mot tiré de la racine div, le ciel, qui vient elle-même du primitif dir, briller la terminaison a désigne l'adjectif possessif; il exprime donc celui qui possède la splendeur, où celui qui hobite le ciel. C'est de ce mot que les Grecs ont tiré les vocables 65, 75 ou 1:55, génit. siò;; les Latins Deus, Divus, etc. (2).

- Dadger, le distri دادگر Dadar ou دادار ..

bateur ou l'administrateur de la justice.

(1) Anquetil. Zend-avesta. tome. III. Dictionnaires; mais ce savant se trompe en traduisant Anhuma, ainsi que Ahura-mazda, par la grande lumière.

(2) Comme c'est au sanscrit qu'un très-grand

nombre de langues ont emprunté le vocable qui dénomme la divinité, il est important de bien constater ce fait; c'est pourquoi nous allons transcrire ici

2. BHAGAVAN; ce mot signifie proprement adorable; il est ainsi corrélatif du sémitiques éloah, qui offre la même idée: il vient de la racine bhag, pouvoir divin, Souveraine félicité, qui a fourni bогь, Bog, nom de Dieu dans les langues slaves, ainsi qu'on le verra en son lieu.

3. BHAVANA: ce mot dérivé de la forme causale de bhou, être, signifie celui qui fait subsister, ou par qui tout eriste (Nouv. journ. asiat., tome III, page

231).

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ISWARA; maître, gouverneur; du

verbe is, gouverner.

6. BRAHMA; les lexicographes hindous dérivent ce mot de la racine vrih, accroitre; il représente le pouvoir créateur. Il ne faut pas confondre ce vocable avec Brahmd, première personne de la trimourti ou trinité indienne; car il exprime Dieu suprême, l'Etre souverain (Nour. Journ. asiat., 1. VIII, p. 232).

7. SWAYAMBHOU; mot formé du verbe substantif et du pronom réfléchi: Celui qui triste par lui-même.

8. PARABRAHVA, le Brahma suprême, ou le Dieu souverain.

9. PARAMATMA, l'âme ou l'intelligence suprême, primitive.

10. AM. « Ce mot, dit Klaproth, est chez les Hindous le nom mystique de la divinité, par lequel commencent toutes les prières. On le dit composé de A, le nom de Viehnou, 3 U, celui de Siva, et «M, celui de Brahmâ. » Il est ainsi le compendium de la trimourti indienne (Ibid., 1. VII, p. 183).

11. SOURA, Dicu ou esprit, dans l'acception de lumineux, du radical sour, triller.

12. AMARA OU AMARTYA, l'immortel, formé de a privatif et de mara, mourir.

13. DEVATA OU DAIVATA, le céleste, l'habitant du ciel.

une note de M. Kurz, qui établit clairement les procelés généraux de dérivation.

‹ En sanserit, dit- 1, l'i de div, ciel, se change en e par Gouna, et en ajoutant a de l'adjectif possessif, in a au nominatif devas, celui qui demeure dans le CA, Dieu. Devas=Deus, où le v a été changé en u Crononcez ou) comme dans uvâtcha_pour vavâtcha, pratio el concutio, solvo et solutus, avispex et auspex, gasus et gaudere, etc. Comparez encore avec div et datanus, le mot divus où se retrouve la racine div dans toute sa pureté.

Zeus, que les Crétois nommaient Aeus, génitif di;, est le même que Deus, et on y retrouve encore la racine div ainsi que dans esós, où le digamma primitif s'est changé en o. Le mot Diespiter est de la

14. NIRDJARA, exempt d'infirmité

13. TRIDASHA, de tri, trois, et dasha, état. Les Hindous supposent que les divinités secondaires sont, comme les humains, soumises à la triple nécessité de naître, de vivre et de mourir.

16. TRIDIVÉSHA, qui réside dans les trois cieux.

17. VIBOUDHA, le vigilant, celui qui veille. 18. SOUPARVANA, qui remplit tout. 19. SOUMANAS, excellente intelligence. 20. DIVAÏKAS, celui qui fait son séjour dans le ciel (cœlicola).

21. DIVICHAT, celui qui habite dans le ciel.

22. BARHIMOUKHA, qui a le visage étincelant.

23. KRATOUBOUDJA, qui se nourrit de sacrifices.

Les onze derniers vocables, tirés de l'Amarakocha, s'attribuent plus spécialement aux divinités secondaires. Souvent même les Hindous, dans leur monstrueuse théogonie, donnent aux dieux inférieurs qu'ils adoquels cependant appartiennent essentiellerent quelques-uns des douze premiers, lesment à la divinité suprême, à l'essence sans bornes qu'ils admettent au-dessus de tous les êtres.

xv. En lindoui, Bradj-Bhakha, Mahratti, Goudjarati, Kanara, Orissa, Vikanera, etc.

Toutes ces langues de l'Inde moderne, étant dérivées du sanscrit, ou du moins ayant beaucoup d'affinité avec cet idiome, offrent, pour exprimer la divinité, les mêmes dénominations qu'en sanscrit, et principale

ment:

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même origine et veut dire père du ciel et non père du jour, et Jupiter n'est pas autre chose. Le d est trèssouvent supprimé au commencement des mots (dvi et vinsati; duo et viginti: zwei et beide; is et dieJu-piter de iv ou Div, comme on a fait solutus de solro. ser, etc., peut-être aussi Diónê et Juno); on a fait La racine div se trouve encore dans teüfel; bas allemand, düwel; anglais, devil; persan, dew; peut-êtro même dans tien et ti chinois. (Nouveau Journal asial., tome v, page 407.)

donne M. Kurz de Jupiter, que nous sommes fondé Nous n'admettons pas cependant l'étymologie que à croire dérivé du Jou, Jéhova hébreu, ainsi qu'on le verra en son lieu.

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1.

2.

XVIII. En bengali.

ISWAR, le souverain de l'univers.

TRIDACH, de tri, trois, et dach, état; parce que, suivant le système hindon, la divinité se trouve comme les mortels dans le triple état de naissance, d'existence et de destruction. (Wilson, A dictionary sanscrit and english.)

(1) Note communiquée par M. Gorcin de Tassy. (2) Cette expression est depuis longtemps comite en Europe sous la forme altérée transmise par les Portugais, c'est le Zamorin de Calicut, un des prin

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1. CL COLOOST Deven, le céleste, du sanscrit déva.

2. LST TOOOr Piran, Dieu, prince: met dérivé aussi d'une racine sanscrite qui signifie parfait.

3.5 LOST Tambirán ou Tambou ran; M. Burnouf fait dériver ce terme du pronom tan, lui, eux, et de piran, Dieu. Il peut donc signifier leur Dieu, comme Nambiran, notre Dieu (2). Mais ne serait-il pas plus naturel de l'entendre dans le sens de Il est Dicu, ou en le rapprochant de l'étymologie sanscrite, celui qui est parfait ? Appliqué aux hommes, ce mot veut dire roi, prince, seigneur.

4. CELOLST Chembirán, de chem, juste, et Pirán, Dieu, Dieu juste. 5. SOLVAMI, maître, seigneur; titre bonorifique dérivé du sanscrit.

6. PARAVASTOUu, de para, premier, el vastou, être le premier étre.

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XXII. En telougou.

1. SS Dévata, Dieu, mot sanscrit.

ces établis par le dernier roi du Malabar, après le partage de son empire. (Nouveau journal asiat., . I p. 275.)

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