Mémoires pour l'histoire des sciences & des beaux arts. Jan. /févr. 1701-avril 1718, Band 401714 |
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affez affûre ainfi André Avellin auffi Augufte auroit Auteur avoient avoit c'eft à dire c'eſt Carinus caufe chofes Chrétiens compofé Concile de Trente conféquent confiderable connoître d'Erafme deffus Dieu difcours differentes differtation Diocletien efprit eftime Eglife enfuite Erafme eſt étoient étoit Evêque fainte fans fçait fçavant fçavoir fe font feconde felon femble fens fentiment feroit fervir feulement fiécle fimple foit fomme fous fouvent fuivant fujet fuppofe fyfteme Gallien general Grace Grecs Hebreux imprimé JESUS-CHRIST jufqu'à jufte l'Auteur l'Ecriture l'efprit l'Eglife l'hiftoire l'ufage laiffe lifez ligne 14 livre loix maniere matiere medailles Medecine ment Mont Ventoux n'eft n'étoit neceffaire neceffité nitre Northampton obfervations ouvrage paffages paffer païs parceque paroît penfe Pere perfonnes Philofophes phyfique plufieurs Poëte prefent premiere propofition raifon reflexions refte Romains s'eft Saint Tatien tems Tertullien teur tion traité troifiéme ufage verité دو
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Seite 1027 - Jamais les hommes n'ont eu un si pressant besoin de pénitence qu'en nos jours. L'iniquité abonde, la charité est refroidie. A peine peut-on croire que le Fils de l'homme, revenant pour juger le monde, trouvera quelque reste de foi sur la terre. Les hommes manquent autant à euxmêmes qu'à Dieu.
Seite 944 - Memoires pour l'Histoire des Sciences & des beaux Arts. Recueillis par l'ordre de Son Altesse Serenissime Monseigneur Prince Souverain de Dombes.
Seite 861 - A Paris, chez François Fournier, rue Saint Jacques , aux armes de la ville, 171^. J«8°. pages$oz. confiderer prefque tous les _ ouvrages des Poëtes,dk l'Au...
Seite 1032 - Ajoutez! cette difficulté une foule d'objeftions , qui font venues naturellement à l'efprit de quiconque a lu l'ouvrage de vôtre ami. Il paroît que l'on n'a point donné de folution plaufible à ces objections , & capable de fatisfaire ceux qui ont étudié les médailles. Je ne m'arrête qu'à trois ou quatre de ces difficultez , qui font celles qui font le plus à mon fujet. Les voici.
Seite 855 - Gimbdenplufieurs autres médailles , que l'on croit être de Cunobelin } il y en a d'or , d'argent & de bronze , elles font toutes convexes d'un côté & concaves de l'autre , comme le font prefque toutes les médailles que l'on croit Bretonnes. Pour ce qui eft de la médaille d'or dont parle Speod , & qu'il croit être de Cafibelan Prince Breton , il n'ya que peu d'Antiquaires qui ayent été de fon fentiment.
Seite 955 - Mais s'il s'eft trompé en quelques rencontres, il afouventjugéfainement des pièces douteufes , & nous a laiffé des conjectures qui ont depuis ouvert les yeux aux Critiques qui l'ont fuivi. Enfin , on ne peut nier qu'il n'ait eu un grand goût pour l'antiquité ; mais comme ce n'étoit pas celui de fon tems , fa critique , toute imparfaite qu'elle étoit , ne laifla pas de lui faire un fi grand nombre d'ennemis, que peu s'en fallut qu'il n'en fût accablé. Cependant la critique eft neceflaire...
Seite 1015 - nous répondront , qu'ils font très"fouvent lebien fansnul goût.qu'ils "le font même en fentant beaucoup » de peine à le faire ; que les tenta» tions font quelquefois fi violentes , » qu'ils font obligez de fe remettre » devant les yeux ce que l'Enfer a de » plus affreux , pour s'empêcher de » fuccomber. Ce font ces pénibles » états où les plus grands Saints fe » trouvent quelquefois , qu'on ap...
Seite 803 - ... à ce dont il s'agit , d'une manière » qui fût à la portée de tout le "monde. Il en eft de même des " rtfkxions , on ne va pas lescher» cher bien loin , elles naiflent du "fujet , elles coulent de fource.
Seite 1337 - Tournois, foit pour y aflîfter , & p°nr remplir toutes les fonctions de leur miniftere ,dont le détail eft amplement expliqué dans un manufcrit compofé par René d'Anjou Roi de Sicile b. La cérémonie de l'inftitution des pourfuivans d'armes étoic des plus folemnelles ; ils étoient préfentezpjf un Hérault d'armes à leur Seigneur & Maître , pour être nommez.
Seite 1000 - Arts. fifante , en ce qu'il ya une neceflité morale de confennr à celle-là > & une impuiflance morale de confentir à celle ci. Sur cela il a été dénoncé aux Evêques , comme ruinant le dogme du libre arbitre , & ramenant effectivement fous un (impie déguifement de mots toute l'herefie de Janfenius. Son .Approbateur s'eft crû interefle à le défendre contre cette accufation , & le Théologien lui même a fait fon apologie. L'Auteur de cette...