 ... jour après moi. Plus je te ferai souffrir, moins tu me voudras quitter ; non, tu ne t'en iras pas, quand je te jetterais des pierres, ayant éprouvé que c'est de la douceur de mon baume. Tu nourriras ta blessure ; toujours requérant médecine,...  Bibliothèque Latine-Française - Seite 2891835Vollansicht - Über dieses Buch
 | Paul-Louis Courier - 1828 - 460 Seiten
...guériras de la brûlure. Et n'est physicien tant expert, qui te sçût alléger ce mal, fors moi seule , ce qui est de plus admirable , moi cause de ta douleur....je t'approche, m'entrant par les yeux, me cuit et me brûle jusqu'à la moelle ; pourtant si tu ne me veux laisser mourir de mon mal , baille-moi , ma... | |
 | Paul-Louis Courier - 1834 - 898 Seiten
...ta blessure; toujours requérant médecine, jamais ne voudras guérison. Qu'as-tu à rire? Sais-tu bien que je fais cuisine d'hommes? qu'autant que j'en...t'approche, m'entrant par les yeux, me cuit et brûle jusII. 2 qu'à la moelle; pourtant si tu ne me veux laisser mourir de mon mal , baille-moi . ma mie... | |
 | Paul-Louis Courier - 1834 - 448 Seiten
...ta blessure; toujours requérant médecine , jamais ne voudras guérjson. Qu'as-tu à rire? Sais-tu bien que je fais cuisine d'hommes? qu'autant que j'en...écorche comme beaux petits lapins, les désosse, les f ri casse, n'épargnant foie, ni courée? Je te crois, lui répondis-je; car de t'avoir vue seulement,... | |
 | Paul-Louis Courier - 1834 - 446 Seiten
...ta blessure; toujours requérant médecine, jamais ne voudras guérison. Qu'as-tu à rire? Sais-tu bien que je fais cuisine d'hommes? qu'autant que j'en...écorche comme beaux petits lapins, les désosse, les f ri casse, n'épargnant foie, ni courée? Je te crois, lui répondis-je; car de t'avoir vue seulement,... | |
 | Apuleius - 1835 - 454 Seiten
...friande , et heureux qui peut tremper un doigt en ta sauce! Elle (car c'étoit la plus frisque et genie femelle) me repart de bonne grâce : Fuis, jeune homme,...tu ne veux me laisser mourir de mon mal , bailleI. i9 moi, ma mie, tout-à-1'heure celte tant douce médecine; ou bien, puisque tu me tiens et m'as pris,... | |
 | Paul-Louis Courier - 1845 - 482 Seiten
...ta blessure; toujours requérant médecine , jamais ne voudras guérison. Qu'as-tu à rire? Sais-tu bien que je fais cuisine d'hommes ? qu'autant que...seulement, je suis déjà sur la braise. Ton feu, sans queje t'approche, m'entrant par les yeux, me cuit et brûle jusqu'à la moelle; pourtant si tu ne me... | |
 | Paul-Louis Courier - 1861 - 478 Seiten
...ta blessure; toujours requérant médecine, jamais ne voudras guérison. Qu'as-tu à rire ? Sais-tu bien que je fais cuisine d'hommes ? qu'autant que...cuit et brûle jusqu'à la moelle; pourtant si tu ne me veux laisser mourir de mon mal , baille-moi, ma mie, tout à l'heure cette tant douce médecine;... | |
 | Paul-Louis Courier - 1861 - 476 Seiten
...ta blessure; toujours requérant médecine, jamais ne voudras guérisori. Qu'as-tu à rire ? Sais-tu bien que je fais cuisine d'hommes ? qu'autant que...écorche comme beaux petits lapins, les désosse, lesfricasse, n'épargnant foie , ni courée ? Je te crois , lui répondis-je ;. car de t'avoir vue... | |
 | Longus, Lucianus (Samosatensis.) - 1883 - 384 Seiten
...la blessure ; toujours requérant médecine, jamais ne voudras guérisou. Qu'as-tu à rire? Sais tu bien que je fais cuisine d'hommes? qu'autant que j'en...cuit et brûle jusqu'à la moelle; pourtant si tu ne me veux laisser mourir de mon mal, baille-moi, ma mie, tout à l'heure cette tant douce médecine ;... | |
 | Lucien de Samosate - 1996 - 102 Seiten
...ta blessure ; toujours requérant médecine, jamais ne voudras guérison. Qu'as-tu à rire ? Sais-tu bien que je fais cuisine d'hommes ? Qu'autant que...cuit et brûle jusqu'à la moelle ; pourtant si tu ne me veux laisser mourir de mon mal, baille-moi, ma mie, tout à l'heure cette tant douce médecine ;... | |
| |
