... penser et de l'exprimer pour moi, sans qu'ils y prissent garde; et puis ils m'en donnaient tout l'honneur. Enfin ils me mettaient à mon aise; et moi qui m'imaginais qu'il y avait tant de mystère dans la politesse des gens du monde, et qui l'avais... Recollections of a Chaperon - Seite 188von Arabella Jane Sullivan - 1833 - 428 SeitenVollansicht - Über dieses Buch
| Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux - 1825 - 526 Seiten
...m'imaginais qu'il y avait tant de mystères dans la politesse des gens du monde , et qui l'avais regardée comme une science qui m'était totalement inconnue...qu'il n'y avait rien de si particulier dans la leur 1 , rien qui me fût si étranger ; mais seu1 J'étais bien surprise de voir qu'il n'y avait rien de... | |
| Arabella Jane Sullivan, Barbarina Brand (baroness Dacre) - 1833 - 1028 Seiten
...— just like me." " Pooh, child ! — he is a very well-bred man, and was too polite to let you fed you bored him. You must learn not to be led into pouring...quelque chose de liant, d'obligeant, et d'aimable. MARIVAIX. LUCY went to bed uneasy at having had such bad manners, and yet not altogether mortified... | |
| Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux - 1842 - 614 Seiten
...m'imaginais qu'il y avait tant de mystères dans la politesse des gens du monde , et qui l'avais regardée comme une science qui m'était totalement inconnue...quelque chose de liant, d'obligeant et d'aimable. Il me semblait que cette politesse était celle que toute âme honnête , que tout esprit bien fait... | |
| Gustave Larroumet - 1882 - 672 Seiten
...m'imaginais qu'il y avait tant de mystères dans la politesse des gens du monde, et qui l'avais regardée comme une science qui m'était totalement inconnue...seulement quelque chose de liant, d'obligeant et d'aimable '. Cette page est l'une des meilleures de Marivaux et l'une des plus heureuses définitions de la bonne... | |
| Gustave Larroumet - 1882 - 672 Seiten
...m'imaginais qu'il y avait tant de mystères dans la politesse des gens du monde, et qui l'avais regardée comme une science qui m'était totalement inconnue...me fût si étranger; mais seulement quelque chose déliant, d'obligeant et d'aimable '. Cette page est l'une des meilleures de Marivaux et l'une des... | |
| Gustave Larroumet - 1894 - 554 Seiten
...la politesse des gens du monde, ct qui l'avais regardée comme une science qui m'était totalemenl inconnue et dont je n'avais nul principe, j'étais...me fût si étranger; mais seulement quelque chose deliant, d'obligeant et d'aimable '. Celte page, l'une des meilleures de Marivaux, est aussi l'une... | |
| Victor Du Bled - 1905 - 344 Seiten
...m'imaginais qu'il y avait tant de mystères dans la politesse des gens du monde, et qui l'avais regardée comme une science qui m'était totalement inconnue et dont je n'avais nul principe, j'étais bien surpris de voir qu'il n'y avait rien de si particulier dans la leur, rien qui me fût si étranger,... | |
| Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux, Francisque Vial - 1908 - 434 Seiten
...m'imaginais qu'il y avait tant de mystères dans la politesse des gens du monde, et qui l'avais regardée comme une science qui m'était totalement inconnue...quelque chose de liant, d'obligeant et d'aimable. Il me semblait que cette politesse était celle que toute âme honnête, que tout esprit bien fait... | |
| Musée Carnavalet - 1928 - 308 Seiten
...une science qui m'était totalement inconnue, l'étais bien surprise de voir qu'il n'y avait rien de particulier dans la leur, rien qui me fût si étranger,...quelque chose de liant, d'obligeant et d'aimable. » Je vous cite ce passage, car il nous donne mieux que tout autre l'impression de la vie de société... | |
| Peter France - 1992 - 268 Seiten
...m'imaginais qu'il y avait tant de mystère dans la politesse des gens du monde, et qui l'avait regardée comme une science qui m'était totalement inconnue...quelque chose de liant, d'obligeant et d'aimable. Il me semblait que cette politesse était celle de toute âme honnête, que tout esprit bien fait trouve... | |
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