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nibus carnium beatitudo spirituum non interpolatur. Illud itaque, illud inexpiabile malum est, illud æstimari omnino non potest, quod totum omnino hominem sine fine damnabit. Et ideo leviores vobis inimici vestri sunt, quam vos ipsi. Omnis siquidem inimicitia morte dissolvitur. Vos contra vos ita agitis, ut inimicitias vestras nec post mortem evadatis.

mort; celle que vous avez contre vous-mêmes, Vous

vous efforcez de l'étendre au de-là du tombeau.

LIVRE TROISIÈME.

Argument.

Dessein de l'auteur dans ce livre.

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Objection contre le devoir de l'aumône; réponse. Ceux qui, n'ayant point d'enfans, se dispensent de faire l'aumône, sont inexcusables. L'ame au tribunal de Dieu. Nous devons préférer le salut à toute autre chose. - C'est être cruel, que d'être avare envers des enfans, parce qu'ils sont dans l'état religieux. Suites funestes de l'inégalité de partage entre les enfans. Laisser les revenus à ses enfans, et leur ôter le fond, parce qu'ils sont de l'Église, c'est une injustice. - Excuses frivoles et inutiles. Les exemples des saints doivent nous porter à tout donner pour le salut. - Il faut faire l'aumône pendant que l'on est dans ce monde. Lazare et le mauvais Riche. Excès où l'on se porte pour enrichir des héritiers. vanité ridicule devient le motif de beaucoup de testamens. assurer son salut par de bonnes œuvres, c'est manquer de foi. — L'aumône et le détachement des biens de la terre, indispensables pour les riches. Souvent l'aumône est l'unique ressource qui nous reste à Dieu, par ses exhortations, prend soin de notre salut, et nous le négligeons. Il n'y a que mauvaise foi dans les témoignages d'amitié que les riches reçoivent à l'heure de la mort.

la mort.

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Une

Ne pas

Liber Tertius.

DUOBUS Superioribus libris, cum duabus filiorum tuorum partibus, id est, una mundi amatrice, alia religionis imaginem præferente, o domina mi, Ecclesia Dei, quasi separatim locuti sumus. In hoc autem, si Deus annuerit, ad utramque, prout causa ac ratio postulaverint, loqui cupimus, nunc divisim alterutram, nunc ambas pariter adloquentes. Superest ut ab utraque earum agnoscente in lectionis serie partes suas, quicquid pro affectu Dei a nobis dicitur, cum affectu Dei recipiatur. Igitur, quia in cunctis quæ jam locuti sumus, speciale Christianorum omnium bonum misericordiam ac largitatem esse memoravimus, præcipuaque in eis et merita sanctorum, et peccatorum remedia contineri idoneis, ut reor, ac

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