Wc la JproMtoncf. Les calamités sont impuissantes pour corriger les Romains. — Ils se Il ne faut jamais flatter les pécheurs. — Nier la Providence, c'est blas- phémer contre Dieu. — Nos adversités sont une preuve de la Pro- vidence. — Nos crimes sont la cause de nos maux. — On a fait en Afrique un coupable mélange du Christianisme et du Paganisme. — Mépriser les hommes de bien, c'est outrager Dieu lui-même. — lujures faites aux prêtres et aux religieux.— Les malheurs des Afri- Contre VRvavke. Maux que l'Avarice cause à l'Église de J.-C. — Parallèle des premiers — — Deux sortes de trésors, l'un qui regarde les pères, et l'autre les — La satisfaction doit être proportionnée aux fautes. Résumé du livre précédent.— Les justes sont dans l'obligation de faire l'aumône, eux aussi. — Motifs qui doivent les y porter. — Les bien- faits généraux de Dieu deviennent particuliers pour chacun des hommes.—Parce qu'on est moins criminel que d'autres, il ne faut pas dire qu'on est juste. — L'aumône doit accompagner les autres vertus dans ceux qui veulent être parfaits. — Il en coûte plus sous l'Evan- gile pour être parfait, qu'il n'en coûtait sous la loi. — Devoirs des Chrétiens sous l'Évangile. — Devoirs d'une véritable veuve. — De- voirs des Vierges. — Devoirs des Prêtres. — Différens motifs qui doivent animer lejuste et le pécheur. — Avantages de l'aumône. — La foi semble éteinte en un grand nombre de personnes. — Vains prétextes des gens de bien pour conserver leurs richesses. Dessein de l'auteur dans ce livre. — Objection contre le devoir de Il faut mépriser l'approbation des impies , et ne chercher que celle des justes. — On doit toujours agir dans la vue de plaire à Dieu. — Les justes et les pécheurs ont un égal besoin de finir leur vie par de bon- nes œuvres. — Dans tous les temps nous devons préférer Dieu à toutes choses. — C'est le mépriser que de commettre un péché. — Plus on a reçu de bienfaits de lui, plus on est obligé de faire l'au- mône. — Jésus-Christ souffre dans la personne des pauvres. —On sera traité en l'autre vie, comme on aura traité le Christ en celle-ci. — Injustice de ceux qui ne font pas l'aumône. —- Dieu oubliera dans le siècle futur ceux qui l'oublient au siècle présent. — Nous devons obéir à la loi, et ne pas nous plaindre de sa sévérité. FIN LIE LA TABI.P. DU TOMI SECOND. |