... jaillissaient, pour ainsi dire, au-dessus des plis nombreux d'une robe violette à deux jupes; la finesse et les flots du tissu soyeux l'enveloppaient avec grâce ; son buste était appuyé et cambré contre le dossier d'un fauteuil en fer creux,... Eux et elles: histoire d'un scandale - Seite 50von Mathurin Lescure - 1860 - 137 SeitenVollansicht - Über dieses Buch
| Louise Colet - 1863 - 426 Seiten
...le dossier d'un fauteuil en fer creux, tandis que ses deux petites mains croisées soutenaient son genou ployé. Dans cette attitude de la Sapho de Pradier,...et je me disais : — On devrait encore l'adorer. Elle sembla deviner ma pensée, car elle s'écria tout à coup : — Mieux vaut ne pas être aimée... | |
| Alfred-Auguste Cuvillier-Fleury - 1863 - 388 Seiten
...cambré contrôle dossier d'un fauteuil, tandis que ses deux petites mains croisées soutenaient son genou ployé. Dans cette attitude de la Sapho de Pradier,...modelé parfait et d'une blancheur éblouissante... » Je vous fais grâce du témoignage de la marquise sur elle-même, II me faudrait reproduire, dans... | |
| Alfred-Auguste Cuvillier-Fleury - 1863 - 402 Seiten
...cambré contre le dossier d'un fauteuil, tandis que ses deux petites mains croisées soutenaient son genou ployé. Dans cette attitude de la Sapho de Pradier,...pendantes laissaient à découvert jusqu'au coude deux brus d'un modelé parfait et d'une blancheur éblouissante... » Je vous fais grâce du témoignage... | |
| Louise Colet - 1880 - 452 Seiten
...Sapho de Pradier, ses larges manches pendantes laissaient à découvert jusqu'au coude deux brasd'un modelé parfait et d'une blancheur éblouissante;...et je me disais : — On devrait encore l'adorer. Elle sembla deviner ma pensée, car elle s'écria tout à coup : — Mieux vaut ne pas être aimée... | |
| Louise Colet - 1880 - 446 Seiten
...le dossier d'un fauteuil en fer creux, tandis que ses deux petites mains croisées soutenaient son genou' ployé. Dans cette attitude de la Sapho de...et d'une blancheur éblouissante ; l'haleine chaude decette magnifique soirée de printemps colorait ses joues d'un rosé nacré ; je la contemplais avec... | |
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