Le dernier jour: poèmeDelloye, 1841 - 201 Seiten |
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1er décembre abîme affreux aigles décapités âme amour ange ardent Babylone béni bonheur bras brûlant céleste cendre Châteaubriand châtiment chose ciel cieux cœur consumé coupable crime cristal brille damnés débris délire désert Dieu Diogène Laerce divine don surnaturel douleur enfants esprits éternelle Évangile faim faisait fête L'amertume feux flammes flots frappé front globe gloire hélas humaine j'ai Jéhova jour l'abîme L'amertume du lendemain l'ange l'enfer l'esprit l'éternelle l'éternité l'homme l'univers lèvres Lisbonne main malheureux mêle au vin Memphis mère Misène misère monde mort Ninive NOTE Ire NOTES DU CHANT nuit nul ne mêle océan oncle pable pâle parole passé peine peuple pleurs Pline le jeune purgatoire qu'un remord reste rien ruine s'offre saint Saint-Pétersbourg Satan Seigneur sentiment sera seul silence soleil Solyme sommeil sort suprême ténèbres terre théiste tomber tourment tragédie grecque trépas triste prophète vaste Vésuve vision vision divine voilà voix Volney voluptés yeux
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Seite 136 - Sylla et Marius se baignent alors avec délices dans le sang de leurs concitoyens ; Auguste, Antoine et Lépide surpassent les fureurs de Sylla; Néron ordonne de sang-froid le meurtre de sa mère.
Seite 102 - C'est donc une sainte et salutaire pensée de prier pour les morts, afin qu'ils soient délivrés de leurs péchés...
Seite 137 - Le despotisme tyrannique des souverains est un attentat sur les droits de la fraternité humaine : c'est renverser la grande et sage loi de la nature, dont ils ne doivent être que les conservateurs.
Seite 137 - L'amour du peuple, le bien public, l'intérêt général de la société, est donc la loi immuable et universelle des souverains. Cette loi est antérieure à tout contrat; elle est fondée sur la nature même ; elle est la source et la règle sûre de toutes les autres lois.
Seite 17 - Il ne changea pas de dessein, et poursuivit avec un courage héroïque ce qu'il n'avait d'abord. entrepris que par simple curiosité. Il fait venir des galères, monte lui-même...
Seite 20 - Tite-Live; je me mis à le lire, et je continuai à l'extraire ainsi que j'aurais pu faire dans le plus grand calme. Un ami de mon oncle survient; il était nouvellement arrivé d'Espagne pour le voir. Dès qu'il nous aperçoit, ma mère et moi, assis, moi un livre à la main, il nous reproche, à elle sa tranquillité, à moi ma confiance. Je n'en levai pas les yeux de dessus mon livre.
Seite 25 - Il est possible que la cause de tous ces désastres soit venue du fond de l'océan occidental ; car je viens de converser avec un capitaine de vaisseau qui paraît un homme de grand sens , et qui m'a dit qu'étant à cinquante lieues au large, il éprouva une secousse si violente , que le pont de son vaisseau eu fut très-endommagé.
Seite 20 - Alors les bâtiments furent ébranlés avec de si fortes secousses, qu'il n'y eut plus de sûreté à demeurer dans un lieu à la vérité découvert, mais fort étroit. Nous prenons le parti de quitter la ville : le peuple épouvanté nous suit en foule, nous presse, nous pousse ; et ce qui dans la frayeur tient lieu de prudence , chacun ne croit rien de plus sûr que ce qu'il voit faire aux autres. Après que nous fûmes sortis de la ville, nous nous arrêtons; et là, nouveaux prodiges, nouvelles...
Seite 65 - Jean écoutant les trompettes, ne laissent rien désirer à l'imagination tout à la fois la plus brillante et la plus sage. La beauté mâle dans sa fleur respire sur la figure des anges ; en eux se réunit la grâce sans mollesse et la vigueur sans rudesse ; ils n'ont pas les deux sexes comme le dégoûtant Hermaphrodite ; ils ont la beauté des deux sexes , et cependant ils n'ont point de sexe.
Seite 65 - Les premiers essais et les plus grands efforts de la peinture et de la sculpture représentèrent jadis les héros et les dieux. A la renaissance des arts, le Christ et ses héros s'offrirent à l'imagination des artistes, et lui demandèrent des chefs-d'œuvre d'un ordre supérieur. L'art antique avait senti et rendu le beau idéal; le christianisme exigea un beau céleste...