Revue de Bretagne, de Vendée & d'Anjou, Band 2;Band 7Arthur La Broderie, Émile Grimaud J. Forest, aîné, 1865 |
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2e SÉRIE âme Anne de Rohan assez aulnes beau Boileau Bouffay Bretons c'était cathédrale chanoine chants chapelle Charles Martel charmant chasteau Châteaubriant cher Childebrand choses chrétien Clisson cœur comte Corlais Corlay d'Eugénie d'or Dieu diocèse dire donner duchesse enfants Eugénie eûz évêque de Vannes femme fille François François Ier Françoise d'Amboise gens Gétigné Guémené Guérin Guiraudet Hent heureux homme j'ai Jacques de Rohan Jean jeune jour Julienne l'abbaye l'année suivante l'auteur l'église l'évêque l'histoire ledit Lettres livre Louis ment Mlle Mme de Maistre monde monsieur Montmartin Morice mort mourut Nantes nommé onces parler paroisse passé pauvre pensée père peuple philosophie Pierre Ploërmel poème poésie poète Pontivy poys premier prince Prosper Proux Quimper Quimperlé raison Redon religieux Renan Rennes reste Revue de Bretagne rien saint Sainte-Garde Savenay seigneur seul siècle siége sieur Théodore Muret tribun triste trouve vicaire vicomte de Rohan vieux voilà
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Seite 308 - La fable offre à l'esprit mille agréments divers : Là tous les noms heureux semblent nés pour les vers, Ulysse, Agamemnon, Oreste, Idoménée, Hélène, Ménélas, Paris, Hector, Ënée. 0 le plaisant projet d'un poète ignorant, Qui de tant de héros va choisir Childebrand*! D'un seul nom quelquefois le son dur ou bizarre- -, Rend un poème entier ou burlesque ou barbare.
Seite 363 - S'avance, soutenu des regards du héros. Son coursier, écumant sous un maître intrépide, Nage tout orgueilleux de la main qui le guide. Revel le suit de près; sous ce chef redouté Marche des cuirassiers l'escadron indompté. Mais déjà devant eux une chaleur guerrière...
Seite 54 - ... c'est un métier de faire un livre, comme de faire une pendule » : il n'ya pas d'autre théorie vraie pour rendre compte des ouvrages de l'esprit.
Seite 54 - Du reste, renversant, détruisant, foulant aux pieds tout ce que les hommes respectent, ils ôtent aux affligés la dernière consolation de leur misère, aux puissants et aux riches le seul frein de leurs passions; ils arrachent du fond des cœurs le remords du crime, l'espoir de la vertu, et se vantent encore d'être les bienfaiteurs du genre humain.
Seite 43 - Mon fils, tenez votre âme en état de désirer toujours qu'il y ait un Dieu, et vous n'en douterez jamais.
Seite 54 - Fuyez ceux qui, sous prétexte d'expliquer la nature, sèment dans les cœurs des hommes de désolantes doctrines, et dont le scepticisme apparent est cent fois plus affirmatif et plus dogmatique que le ton décidé de leurs adversaires. Sous le hautain prétexte qu'eux seuls sont éclairés, vrais, de bonne foi, ils nous soumettent impérieusement à leurs décisions tranchantes, et prétendent nous donner pour les vrais principes des choses les inintelligibles systèmes qu'ils ont bâtis dans leur...
Seite 332 - , entre mille roseaux, Le Rhin tranquille, et fier du progrès de ses eaux. Appuyé d'une main sur son urne penchante, Dormait au bruit flatteur de son onde naissante, Lorsqu'un cri, tout à coup suivi de mille cris, Vient d'un calme si doux retirer ses esprits.
Seite 47 - ... 6° Période de l'humanité inconsciente, qui nous est révélée par la philologie et la mythologie comparée, s'étendant depuis le jour où il ya eu sur la terre des êtres méritant le nom d'hommes jusqu'aux temps historiques ; 7°...
Seite 356 - ... j'ai tout exterminé... Les routes sont semées de cadavres, écrivait-il encore, il y en a tant que sur plusieurs points ils forment pyramide. On fusille sans cesse à Savenay; car, à chaque instant , il arrive des brigands qui prétendent se rendre prisonniers. Kléber et Marceau ne sont plus là ; nous ne faisons plus de prisonniers. Il faudrait leur donner le pain de la liberté et la pitié n'est pas révolutionnaire.
Seite 309 - Que jamais un faquin n'y tint un rang auguste ; Et que mon cœur, toujours conduisant mon esprit, Ne dit rien aux lecteurs, qu'à soi-même il n'ait dit. Ma pensée au grand jour partout s'offre et s'expose, Et mon vers, bien ou mal, dit toujours quelque chose.