Oeuvres complètes de Boileau accompagnées de notes historiques et littéraires et précédées d'une étude sur sa vie et ses ouvrages, Band 2Garnier frères, 1872 |
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... cite les vingt - six vers qu'on vient de lire , et il ajoute : « Est - ce là écrire froidement ? Remarquez ce dernier trait contre le fasti- dieux babil de la plaidoirie , qu'il met avec un sérieux si comique au - dessus de tous les ...
... cite les vingt - six vers qu'on vient de lire , et il ajoute : « Est - ce là écrire froidement ? Remarquez ce dernier trait contre le fasti- dieux babil de la plaidoirie , qu'il met avec un sérieux si comique au - dessus de tous les ...
Seite 80
... cite Courtois et Denyau comme les défenseurs des anciennes doctrines . Il étoit tout naturel d'appliquer l'adjectif énormes aux maximes de Fagon qui osa , peut - être le Au tombeau mérité la mettre dans les formes . Dieu 80 88 OEUVRES ...
... cite Courtois et Denyau comme les défenseurs des anciennes doctrines . Il étoit tout naturel d'appliquer l'adjectif énormes aux maximes de Fagon qui osa , peut - être le Au tombeau mérité la mettre dans les formes . Dieu 80 88 OEUVRES ...
Seite 84
... cite un Georges d'Entrague qui , s'étant enrichi dans la re- cette générale des aides de Paris , s'anoblit au moyen d'une charge de secrétaire du roi , pour épouser une demoiselle de condition . ( SAINT - SURIN . ) On peut voir dans les ...
... cite un Georges d'Entrague qui , s'étant enrichi dans la re- cette générale des aides de Paris , s'anoblit au moyen d'une charge de secrétaire du roi , pour épouser une demoiselle de condition . ( SAINT - SURIN . ) On peut voir dans les ...
Seite 91
... cite les jolis vers où il est parlé des ratafias et des confitures , ajoute ensuite : « Ces vers sont bons pour Brossette . Il y avait , ce me semble , quelque chose de mieux à nous dire . » Il n'avait donc pas lu les vers qui suivent ...
... cite les jolis vers où il est parlé des ratafias et des confitures , ajoute ensuite : « Ces vers sont bons pour Brossette . Il y avait , ce me semble , quelque chose de mieux à nous dire . » Il n'avait donc pas lu les vers qui suivent ...
Seite 95
... Né en 1602 , il mourut en 1673. On cite de lui un sonnet assez fameux , mais Voltaire prétend qu'il était de l'abbé de Lavau . ( Voir le Siècle de Louis XIV , tome I. ) B Tai - je tracé la vieille à morgue dominante , SATIRE X. 95.
... Né en 1602 , il mourut en 1673. On cite de lui un sonnet assez fameux , mais Voltaire prétend qu'il était de l'abbé de Lavau . ( Voir le Siècle de Louis XIV , tome I. ) B Tai - je tracé la vieille à morgue dominante , SATIRE X. 95.
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Seite 308 - Hâtez-vous lentement, et, sans perdre courage, Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage : Polissez-le sans cesse et le repolissez ; Ajoutez quelquefois, et souvent effacez.
Seite 239 - Qu'en plus d'un lieu le sens n'y gêne la mesure , Et qu'un mot quelquefois n'y brave la césure : Mais c'est qu'en eux le vrai, du mensonge vainqueur , Partout se montre aux yeux , et va saisir le cœur ; Que le bien et le mal y...
Seite 294 - Aimez donc la raison : que toujours vos écrits Empruntent d'elle seule et leur lustre et leur prix.
Seite 359 - Tout prend un corps, une âme, un esprit, un visage. Chaque vertu devient une divinité : Minerve est la prudence, et Vénus la beauté. Ce n'est plus la vapeur qui produit le tonnerre...
Seite 350 - Chez nos dévots aïeux le théâtre abhorré Fut longtemps dans la France un plaisir ignoré. De pèlerins, dit-on, une troupe grossière En public à Paris y monta la première ; Et, sottement zélée en sa simplicité, Joua les saints, la Vierge et Dieu, par piété.
Seite 340 - II n'est point de serpent ni de monstre odieux, Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux : D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Seite 160 - On dira quelque jour pour les rendre croyables : Boileau, qui, dans ses vers pleins de sincérité, Jadis à tout son siècle a dit la vérité, Qui mit à tout blâmer son étude et sa gloire, A pourtant de ce roi parlé comme l'histoire. II — Contre les procès (1669). A M. L'ABBÉ DES ROCHES 2.
Seite 12 - De tous les animaux qui s'élèvent dans l'air , Qui marchent sur la. terre , ou nagent dans la mer , De Paris au Pérou, du Japon jusqu'à Rome, Le plus sot animal, à mon avis, c'est l'homme.
Seite 367 - Laissons-les s'applaudir de leur pieuse erreur. Mais, pour nous, bannissons une vaine terreur, Et, fabuleux chrétiens, n'allons point, dans nos songes, Du Dieu de vérité faire un dieu de mensonges.
Seite 308 - N'offrit plus rien de rude à l'oreille épurée. Les stances avec grâce apprirent à tomber, Et le vers sur le vers n'osa plus enjamber. Tout reconnut ses lois, et ce guide fidèle Aux auteurs de ce temps sert encor de modèle. Marchez donc sur ses pas ; aimez sa pureté, Et de son tour heureux imitez la clarté.