Merope,: tragedie, en cinq actes,Dans l'imprimerie de Ghelen., 1765 - 84 Seiten |
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
affaffin affez affreux affurée ainfi augufte Autels ayeux barbare bras C'eft mon fils c'en eft C'eſt cher Ciel cœur conferve courage craint Cresfonte crime cris cruel d'Egifte défefpoir déferts deffein deftin déja Dieu Dieux dumoins efclave efprits eft fans Eft-ce eft-il EGIST Elide enfanglanté éperduë époux EROX eſt étoit Etranger EURICLES facré faibleffe falut fanglant fans doute fauver fecret fein fens fervir feul feur foins foit foldats fon fang fon fils font foupçons fous fuis funefte grace hazard Hélas Héraclide horrible hymen Ifmenie infortuné ISMENIE j'ai joye jufqu'à jufte juftice l'affaffin l'Autel l'Elide laiffe lieux loix Madame main maître malheurs Meffène mère MERO MERO PE MEROPE meure mifère monftre mort n'eft NARBA père Peuple pitié pleurs Policlete Polifonte eft préfent preffe puni refpect refte Reine reux Rois SCENE tems tendreffe trifte Trône Tyran venger vengeur verfe veux Vieillard vois voix yeux
Beliebte Passagen
Seite 26 - J'ai voulu dans la guerre exercer ma jeunesse, Servir sous vos drapeaux, et vous offrir mon bras : Voilà le seul dessein qui conduisit mes pas.
Seite 79 - S'avançant tristement, tremblante entre mes bras, Au lieu de l'hyménée invoquait le trépas. Le peuple observait tout dans un profond silence. Dans l'enceinte sacrée en ce moment s'avance Un jeune homme, un héros, semblable aux immortels : II court ; c'était Égisthe ; il s'élance aux autels ; II monte, il y saisit d'une main assurée Pour les fêtes des dieux la hache préparée. .Les éclairs sont moins prompts ; je l'ai vu de mes yeux, Je l'ai vu qui frappait ce monstre audacieux. Meurs,...
Seite 21 - Vous me demandez que l'intérêt furmonte Cette invincible horreur que j'ai pour Polifonte ! Vous, qui me l'avez peint de fi noires couleurs!
Seite 35 - ... fceptre étranger au fceptre de mes pères , Et les flambeaux d'hymen aux flambeaux funéraires? Moi vivre , moi lever mes regards éperdus Vers ce ciel outragé que mon fils ne voit plus ! Sous un maître odieux , dévorant ma triftefle , Attendre dans les pleurs une affreufe vieillefle ! Quand on a tout perdu , quand on n'a plus d'efpoir , La vie eft un opprobre , & la mort un devoir.