Bibliothèque françoise ou Histoire de la littérature françoise: dans laquelle on montre l'utilité que l'on peut retirer des livres publiés en françois depuis l'origine de l'imprimerie pour la connaissance des belles lettres, de l'histoire, des sciences et des arts : et où l'on rapporte les jugemens des critiques sur les principaux ouvrages en chaque genre écrits dans la même langue, Band 11

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chez Pierre-Jean Mariette, aux colonnes d'Hercules, 1747
 

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Seite 69 - de cent pas à la ronde, Au demeurant, le meilleur fils du monde...
Seite 68 - Vostre cueur noble en sçauroit bien que dire; « Et moy, chetif, qui ne suis Roy ne rien, L'ay esprouvé. Et vous compteray bien. Si vous voulez, comment vint la besongne. J'avois...
Seite 48 - Villon sut le premier, dans ces siècles grossiers, Débrouiller l'art confus de nos vieux romanciers. Marot bientôt après fit fleurir les ballades, Tourna des triolets, rima des mascarades, A des refrains réglés asservit les rondeaux Et montra pour rimer des chemins tout nouveaux.
Seite 463 - II leur déploie, et leur dit : « Gens de bien, Ouvrez vos yeux ! Voyez ! Y at-il rien ? — Non, dit quelqu'un des plus près regardants.
Seite 462 - Tu te plains, ami, grandement Qu'en mes vers j'ai loué Clément, Et que je n'ai rien dit de toi. Comment veux-tu que je m'amuse A louer ni toi, ni ta Muse?
Seite 41 - Que ces paillards me voulussent lâcher. Sur mes deux bras ils ont la main posée, Et m'ont mené ainsi qu'une épousée, Non pas ainsi, mais plus roide un petit. Et toutefois j'ai plus grand appétit De pardonner à leur folle fureur Qu'à celle-là de mon beau procureur : Que male mort les deux jambes lui casse!
Seite 196 - Trop fin je suys, et trop fin on me tient, Pour mon nom mettre en cela qui contient Quelque reproche. Et pas ne le feroit, Qui de cerveau une bonne once auroit.
Seite 456 - De toute langue ennemie, Et de tout efprit malin : Et fais que devant mon Prince, Déformais plus ne me pince La tenaille de Melin. Il paroît fort étonnant que Mellin de S. Gelais, à qui les Vers dévoient coûter peu, ayant entrepris une Tragé» mourut à Tournon ) »i(Tude la très.noble& » très-ancienne Maifou
Seite 40 - Si vous dirai comment je fus surpris, Et me déplaît qu'il faut que je le die; Trois grands pendards vinrent à l'étourdie, En ce palais, me dire en désarroi : « Nous vous faisons prisonnier par le roi. » Incontinent qui fut bien étonné ? Ce fut Marot, plus que s'il eût tonné; Puis m'ont montré un parchemin écrit, Où n'y avait...
Seite 70 - Et vous ferai encores un bon tour. » A celle fin qu'il n'y ait faute nulle , » Je vous ferai une belle cédule , » A vous payer ( fans ufure il s'entend ) » Qi.ind on verra tout le monde content.

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