Histoire universelle, Band 1Firmin-Didot, 1853 |
Im Buch
Ergebnisse 1-5 von 66
Seite 14
... femme , de la prin- cesse de Condé , et dans les Économies royales de Sully . Si Voltaire n'a pu faire du Siècle de Louis XIV qu'un livre de parti , madame de Motteville et la duchesse de Montpensier percent à jour le château et les ...
... femme , de la prin- cesse de Condé , et dans les Économies royales de Sully . Si Voltaire n'a pu faire du Siècle de Louis XIV qu'un livre de parti , madame de Motteville et la duchesse de Montpensier percent à jour le château et les ...
Seite 37
... femme , les cultes , souvent le luxe et le despotisme . Elles s'acheminaient cepen- dant à pas tardifs , mais assurés , vers une condition meilleure . La victoire faisait d'abord les esclaves et les maîtres , puis l'inté- rêt ou les ...
... femme , les cultes , souvent le luxe et le despotisme . Elles s'acheminaient cepen- dant à pas tardifs , mais assurés , vers une condition meilleure . La victoire faisait d'abord les esclaves et les maîtres , puis l'inté- rêt ou les ...
Seite 45
... femme . L'Afrique et l'Asie perdent ce qu'elles avaient emprunté à l'Europe ; mais heureusement le croissant rencontre les remparts de Constanti- nople à l'Orient ; à l'Occident , la francisque de Charles - Martel et l'épée du Cid ...
... femme . L'Afrique et l'Asie perdent ce qu'elles avaient emprunté à l'Europe ; mais heureusement le croissant rencontre les remparts de Constanti- nople à l'Orient ; à l'Occident , la francisque de Charles - Martel et l'épée du Cid ...
Seite 48
... femme , et en réveil- lant le sentiment de l'individualité , si faible chez les Romains et les Grecs . Elle se voit ... femmes et de so- lescommuncs . phistes , décline à tel point , que les Grecs même , répudiant leur nom , s'appellent ...
... femme , et en réveil- lant le sentiment de l'individualité , si faible chez les Romains et les Grecs . Elle se voit ... femmes et de so- lescommuncs . phistes , décline à tel point , que les Grecs même , répudiant leur nom , s'appellent ...
Seite 120
... femme ) . Pour les Thibétains , le règne des Lah ( génies ) remonte à l'infini ; suit une ère de 80,000 ans , puis une de 40,000 , une de 20,000 , une de 10 ans à peine , à laquelle succéda un autre de 80,000 ; tou- tes peuplées d'êtres ...
... femme ) . Pour les Thibétains , le règne des Lah ( génies ) remonte à l'infini ; suit une ère de 80,000 ans , puis une de 40,000 , une de 20,000 , une de 10 ans à peine , à laquelle succéda un autre de 80,000 ; tou- tes peuplées d'êtres ...
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
2º édition française anciens antique Arabes avaient avant J. C. Babylone Bouddha bouddhisme Brahma Brahmanes c'est-à-dire Cabires castes cent Chaldéens chants Chinois choses ciel civilisation commerce conservé Crichna croyances culte d'autres d'Israël Dieu dieux divinités doctrine Égypte Égyptiens élevé époque espèce famille femme fils fleuves forme Gange Grèce guerre habitants Hébreux Hérodote Histoire Homère hommes humaine idées Indiens Israël jour Jupiter jusqu'à l'antiquité l'Arabie l'Asie l'Égypte l'Euphrate l'Europe l'histoire l'homme l'Inde l'Orient langue lingam livres Manou ment mer Caspienne Mérou mille Moïse monde Mongols montagnes monuments morale mort mystères nations nature orientale passé pays Pélasges père persan Perse peuple Phénicie Phéniciens philosophie pieds poëmes poëte politique Pouranas premier prêtres primitive pyramides race Ramayan religieuses religion reste Rig-Véda rois Rome sacrée sacrifices sainte sanskrit Saül science Seigneur sentiment seul siècles Siva soleil Strabon symbole système Tartarie temple terre Thèbes tion traditions tribus trouve universelle Védas vérité Vichnou
Beliebte Passagen
Seite 129 - Ce génie créateur peut franchir les limites qui semblent prescrites au reste des mortels , et s'il est impossible de retracer sa marche, sa présence vivifiante n'en est pas moins manifeste. Plutôt que de renoncer, dans l'explication de l'origine des langues, à l'influence de cette cause puissante et première, et de leur assigner à toutes une marche uniforme et mécanique qui les traînerait pas à pas depuis le commencement le plus grossier jusqu'à leur perfectionnement, j'embrasserais l'opinion...
Seite 252 - et la lumière fut. Dieu vit que la lumière était bonne, et Dieu sépara la lumière et les ténèbres. Dieu appela la lumière « jour » et les ténèbres « nuit ». Il y eut un soir et il y eut un matin : premier jour.
Seite 406 - Observations critiques et archéologiques sur l'objet des représentations zodiacales qui nous restent de l'antiquité...
Seite 327 - L'homme qui reconnaît dans sa propre âme l'âme suprême présente dans toutes les créatures, se montre le même à l'égard de tous et obtient le sort le plus heureux, celui d'être à la fin absorbé dans Brahma.
Seite 427 - Philae , les troupes qui les accompagnent et le reste de leur suite, nous contraignent de leur fournir de l'argent; et qu'il résulte de tels abus que le temple est appauvri , et que nous courons le risque de n'avoir plus de quoi suffire aux dépenses , réglées par la loi...
Seite 83 - L'art de vérifier les dates des faits historiques, des inscriptions, des chroniques, et autres anciens monuments, avant l'ère chrétienne, etc.
Seite 256 - Lie-les a tes doigts, écris-les sur la table de ton cœur. 4 Dis à la sagesse : Tu es ma sœur ; et appelle la prudence ton amie ; 5 Afin qu'elles te préservent de la femme étrangère, et de la femme d' autrui, qui se sert de paroles flatteuses.
Seite 210 - Le Seigneur régnera dans l'éternité et au-delà de tous les siècles. Car Pharaon est entré dans la mer avec ses chariots et sa cavalerie; et le Seigneur a fait retourner sur eux les eaux de la mer : mais les enfants d'Israël ont passé au milieu d'elle à pied sec.
Seite 18 - J'étais très disposé, dit-il, à pardonner à Voltaire sa mauvaise politique, sa mauvaise morale, son ignorance et la hardiesse avec laquelle il tronque, défigure et altère la plupart des faits. Mais j'aurais désiré un écrivain qui eût assez de goût pour...
Seite 129 - Je crois avoir suffisamment développé jusqu'ici l'origine de la distinction des formes grammaticales dans les langues. Je ne les regarde point comme le fruit des progrès qu'une nation fait dans l'analyse de la pensée, mais plutôt comme un résultat de la manière dont une nation considère et traite sa langue.