L'esprit de la ligue: ou Histoire politique des troubles de France, pendant les XVIe. & XVIIe. siècles ...

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Chez Jean-Th. Hérissant fils, libraire, rue Saint Jacques, 1767 - 4 Seiten
 

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Seite xli - ADIEU, plaisant pays de France, O ma patrie La plus chérie, Qui as nourri ma jeune enfance ! Adieu, France, adieu mes beaux jours; La nef qui disjoint nos amours N'a c'y de moi que la moitié: Une part te reste , elle est tienne ; Je la fie à ton amitié Pour que de l'autre il te souvienne.
Seite 245 - On avançait hardiment ces maximes abominables : qu'il ne faut pas garder la foi aux hérétiques, et que c'est une action juste, pieuse, utile pou,r le salut, de les massacrer.
Seite xxiii - Recueil des chofes , jour par jour , avenues en l'armée, conduite d'Allemagne en France par M. le Prince de Condé...
Seite 13 - La reddition volontaire n'exemptoit ni les hommes du supplice, ni les femmes des plus affreuses violences; il étoit défendu, sous peine de mort, de leur accorder aucune retraite. A Cabrières, une des villes principales de ce canton, on égorgea plus de sept cents hommes de sangfroid, et toutes les femmes restées dans les maisons furent enfermées dans un grenier plein de paille auquel on mit le feu: celles qui tentoient de s'échapper par les fenêtres, étoient repoussées à coups de crocs...
Seite lii - Hiftoire de l'Etat de France , tant de la République que de la Religion, fous le règne de François II , 1574.
Seite xx - Stratagème de Charles IX, roi de France, contre les huguenots rebelles à Dieu et à luy; escrit par le seigneur Camille Capilupi.
Seite 81 - ... vaut moi ; taillez-moi en pièces tous ces marauds qui » ont voulu tenir ce clocher contre le roi ; brûlez-moi ce » village ; boutez-moi le feu partout à un quart de lieue
Seite 262 - Je jure de défendre la religion et de « persévérer dans la cause commune, jusqu'à « ce que la mort ou la victoire nous ait rendu « à tous la liberté que nous désirons. » Le parti de Genève n'était pas assez fort pour agir seul , et l'amiral Coligny, vieilli sous les armes, se plaça de lui-même sous les ordres du noble et valeureux enfant'.
Seite xxxviii - IV avec le saint Siège. Ses Lettres respirent la candeur , la probité , le zèle le plus vif pour le roi et la patrie. Il écrit en homme désintéressé et qui ne tire point vanité de ses service?.
Seite 87 - Châtillon et la principale noblesse menacèrent de quitter la cour, et d'aller à Paris faire déclarer par le parlement le roi de Navarre régent du royaume si l'on ne chassait les Lorrains. Les équipages défilaient déjà.

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