 | Molière - 1704 - 482 Seiten
...lent ¡meus humains , mon frère , que voilà t ORG О N. На , fi vous aviez veit comme ¡'en fis rencontre , Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'Eglife il veno it d'un air doux , Tout*is-à vis de moi, fé mettre à deux genoux. 11 attirait les... | |
 | Molière - 1725 - 560 Seiten
...CLEANTE. Les fentimens humains, mon frère -, que voilà! . ORGON. Hï , fi vous aviez vu comme j'en fis rencontre.' Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'Eglife il venoit d'un air doux , Tout vis-à-vis de moi fe mettre à deux genoux. Il attiroit les... | |
 | Molière - 1734 - 452 Seiten
...CLEANTE. Les fentimens humains, mon frere, que voilà 1 OR G ON. Ah ! Si vous aviez vû comme j'en fis rencontre, Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour, à l'églife il venoit, d'un air doux, Tout vis-à-vis de moi, fe mettre à deux genoux. Il attirait les... | |
 | Molière - 1739 - 418 Seiten
...TE. Les fentimens humains , mon frere , que voilà ! ORGO N. Ah ! Si vous aviez vû comme j'en fis rencontre , Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour , à l'églife il venoit , d'un air doux , Tout vis-à-vis de moi , Ce mettre à deux genoux. Il attiroit... | |
 | Pons Augustin Alletz - 1751 - 420 Seiten
...CLEANTE. Les fentimens humains ; mori frere que voilâ« ORGO N. Ah ! fi vous aviez vu comme j'en fis rencontre) Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre * Chaque jour à l'Ëglife il venoit d'un air doux , Tout vis-à-vis de moi fe mettre à deux genoux. II attiroit les... | |
 | Molière - 1773 - 590 Seiten
...E. Les fentimens humains , mon frère , que voilà ! ORG o N. Ah ! fi vous aviez vu comme j'en fis rencontre , Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'églife, il venoit, d'un air doux , Tout vis-à-vis de moi fe mettre à deux genoux. 11 attirait... | |
 | Molière - 1799 - 264 Seiten
...CLEANTE. Les fentimens humains, mon frere, que voilà ! O.RGON. Ah ! fi vous aviez vu comme j'en fis rencontre, Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'églife, il venoit, d'un air doux, Tout vis-à-vis de moi fe mettre à deux genoux. H attiroit les... | |
 | François Moysant - 1803 - 438 Seiten
...CLÉANTE. Les sentimens humains, mon frère, que voilà! ORGON. Ah ! si vous aviez vu comme j'en fis rencontre, Vous auriez pris pour lui l'amitié que...d'un air doux, Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux. Il attirait les yeux de l'assemblée entière, Par l'ardeur dont au ciel il poussoit sa... | |
 | Molière - 1813 - 278 Seiten
...sentiments humains , mon frere , que voilà ! o * GG N. Ah ' si vous aviez vu comme j'en fis rencontre 4 Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre....d'un air doux, ' Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux. II attiroit les yeux de l'assemblée entiere Par l'ardeur dont au ciel il podssoit sa... | |
 | Molière - 1821 - 488 Seiten
...CLÉANTE. Les sentimens humains, mon frère, que voilà! ORGON. Ah ! si vous aviez vu comme j'en fis rencontre, Vous auriez pris pour lui l'amitié que...d'un air doux , Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux. Il attiroit les yeux de l'assemblée entière, Par l'ardeur dont au ciel il poussoit sa... | |
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Ah! si vous aviez vu comme j'en fis rencontre, Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église il venait, d'un air doux, Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux. 
