...Je voulus pressentir le grand homme, je parus avide de ses instructions. « Donnez-moi, me dit-il , deux » cents Napolitains armés de poignards et portant » à leur bras gauche un manchon en guise de bou» clier ; avec eux je parcourrai la France, et je » ferai la révolution. » Tout ce qu'il ajouta...

...Je voulus pressentir le grand homme , je parus avide de ses instructions. « Donnez-moi, me dit-il, deux " cents Napolitains armés de poignards et portant » à leur bras gauche un manchon en guise de bou» clier, avec eux je parcourrai la France, et je » ferai la revolution. » Tout ce qu'il ajouta...

...Je voulus pressentir le grand homme, je parus avide de ses instructions. « Donnez-moi, me dit-il , deux » cents Napolitains armés de poignards et portant » à leur bras gauche un manchon en guise de bou» clier / avec eux je -parcourrai la France , et je « ferai la révolution. » Tout ce qu'il ajouta...

...il leur serait si facile d'être libres. — Donnez-moi deux cents Napolitains, dit-il à Barbaroux, armés de poignards et portant à leur bras gauche...bouclier ; avec eux. je parcourrai la France et je ferai une révolution. Le pays ne sortira de l'anarchie, que lorsqu'on aura fait tomber deux cent soixante...

...il leur serait si facile d'être libres. — Donnez-moi deux cents Napolitains, dit-il à Barbaroux, armés de poignards et portant à leur bras gauche...bouclier ; avec eux . je parcourrai la France et je forai une révolution. Le pays ne sortira de l'anarchie, que lorsqu'on aura fait tomber deux cent soixante...

...circonstance pour réaliser ses plans. Il écrivit à Barbaroux qui alla le voir. «Donnez-moi, lui dit-il, deux cents Napolitains armés de poignards et portant...je parcourrai la France, et je ferai la Révolution (3). » Quant aux objections que soulevait ce système, Marat ne s'y arrêtait pas. On tuerait sans...

...le voir. « Donnez-moi, lui dit-il, deux cents Napolitains armés de poignards et portant à leurs bras gauche un manchon en guise de bouclier. Avec...je parcourrai la France, et je ferai la Révolution 6. » Quant aux objections que soulevait ce système, Marat ne s'y arrêtait pas. On tuerait sans doute...

...circonstance pour réaliser ses plans. Il écrivit à Barbaroux qui alla le voir. v Donnez-moi, lui dit-il, deux cents Napolitains armés de poignards et portant à leur bras gauche un manchon en^jse de bouclier. Avec eux, je parcourrai la France, e,t je ferai la révolution. »• Quant aux...

...Donnez-moi, disait-il, deux cents Napolitains armés de poignards et portant au bras un manchon en (jubé de bouclier; avec eux je parcourrai la France, et je ferai la révolution. » — « Petit homme! » disait-il de Robespierre, « incapable de sauver l'État. » Ce fut alors...

...maître; mais, L 24 quand je l'entendis, je crus qu'il avait perdu la tête... Donnezmoi , me dit-il, deux cents Napolitains armés de poignards et portant...parcourrai la France, et je ferai la Révolution. » En eflfet, si l'Ami du peuple avait tenu ce langage, il aurait été fou ; mais nous avons lieu...