A New Progressive and Practical Method of Learning the French Language1873 |
Häufige Begriffe und Wortgruppen
able adjective adverb agrees aimé avez Avez-vous become believe better books brother children cold conjugated conjugation cousin daughter drink ending English êtes-vous evening EXAMPLES EXERCISE father first followed following French friend give given going good great happy hard words Have you he has heard her lesson house INDICATIF PRÉSENT infinitive J'ai know know nothing last last winter learn LEÇON left LESSON letter letters little love loved made make money month morning mother N'avez-vous necessary never night noun o'clock one's participle past placed play PLUS-QUE-PARFAIT preceded pretty pronoun pronounced read received reflective rule seen sister sisters sœur sometimes soon speak spend Study and conjugate subjonctif take taken tenses thank thing think three time to-day to-morrow used verb Voulez-vous want watch week whist wine wish words work write year yesterday you have you not young your house
Beliebte Passagen
Seite 159 - Je dis, tu dis, il dit, nous disons, vous dites, ils disent. —Je disais. — Je dis, tu dis, il dit, nous dîmes, vous dîtes, ils dirent.
Seite 215 - Quand il fut à l'échelle, il monte, son couteau entre les dents, et venu à la hauteur du lit , ce pauvre jeune homme étendu offrant sa gorge découverte, d'une main il prend son couteau, et de l'autre.... Ah ! cousine.... il saisit un jambon qui pendait au plancher, en coupe une tranche , et se retire comme il était venu. La porte se referme, la lampe s'en va, et je reste seul à mes réflexions. Dès que le jour parut , toute la famille , à grand bruit, vient nous éveiller, comme nous l'avions...
Seite 214 - ... élevée de sept à huit pieds, où l'on montait par une échelle, c'était là le coucher qui nous attendait, espèce de nid, dans lequel on s'introduisait en rampant sous des solives chargées de provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse valise.
Seite 214 - ... nous étions; Français, imaginez un peu! chez nos plus mortels ennemis , seuls, égarés , si loin de tout secours humain! et puis pour ne rien omettre de ce qui pouvait nous perdre , il fit le riche , promit à ces gens pour la dépense, et pour nos guides le lendemain, ce qu'ils voulurent.
Seite 215 - Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'osais ; m'échapper tout seul, je ne pouvais ; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je me trouvais, imaginez-le si vous pouvez.
Seite 165 - ... je suis. tu suis, il suit, nous suivons, vous suivez, ils suivent. je trais, tu trais, il trait, nous trayons, vous trayez, ils traient.
Seite 212 - Il s'attache cependant à son maître, quoiqu'il en soit ordinairement maltraité ; il le sent de loin et le distingue de tous les autres hommes ; il reconnaît aussi les lieux 'qu'il a coutume d'habiter, les chemins qu'il a fréquentés. Il a les yeux bons, l'odorat admirable, l'oreille excellente...
Seite 214 - Nous cherchâmes, tant qu'il fit jour, notre chemin à travers ces bois; mais plus nous cherchions, plus nous nous perdions, et il était nuit noire quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. Nous y entrâmes, non sans soupçon , mais comment faire ? Là nous trouvons toute une famille de charbonniers à table, où du premier mot on nous invita.
Seite 209 - Saint-Bernard , monté sur un mulet , revêtu de cette enveloppe grise qu'il a toujours portée , conduit par un guide du pays , montrant dans les passages difficiles la distraction d'un esprit occupé ailleurs , entretenant les officiers répandus sur la route, et puis , par intervalles, interrogeant le conducteur qui l'accompagnait, se faisant conter sa vie, ses plaisirs , ses peines, comme un voyageur oisif qui n'a pas mieux à faire. Ce conducteur, qui était tout jeune , lui exposa naïvement...
Seite 215 - Au bout d'un quart d'heure, qui fut long, j'entends sur l'escalier quelqu'un, et, par les fentes de la porte, je vis le père, sa lampe dans une main, dans l'autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui, moi derrière la porte; il ouvrit, mais avant d'entrer, il posa la lampe que sa femme vint prendre; puis il entra pieds nus, et elle, de dehors, lui disait à voix basse, masquant avec ses doigts le trop de lumière de la lampe: «Doucement! va doucement!