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TABLE DES MATIÈRES

CHAPITRE I

LES ORIGINES

Position de la question.

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I. La théorie de la justice dans l'Ancien Testament les
rapports de l'homme et de Dieu; les rapports des hommes
entre eux.
Les droits de l'individu. L'homme et la
terre. La propriété de famille et la propriété indivi-
duelle. L'expropriation. — La richesse et la pauvreté.
En quoi il confirme

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II. Le Nouveau Testament.

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l'Ancien. La propriété du père de famille.

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Jésus refu-

sant d'être juge des partages temporels. Les deux degrés

-

de la vertu le droit et l'esprit de sacrifice.
priété devant les apôtres.

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Conclusion sur l'esprit des

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L'Église en tant que société. - I. Le préjugé sur les Pères de
l'Eglise. L'Eglise primitive de Jérusalem en quoi elle
se comportait comme la plupart des minorités proscrites.
- Comment pourtant on y respectait la liberté. - La vie
chrétienne se mêlant à la vie sociale sans la détruire et en
s'en accommodant. La charité toujours libre dans
l'Église. La tradition de la Bible et de l'Evangile main-

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tenue.

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-

La propriété ecclésiastique. — II. Vrai sens des
prédications des Pères sur la richesse et la pauvreté.
Par essence, les richesses ne sont ni bonnes ni mauvaises.
La richesse et la santé. Textes de Clément d'Alexan-
dric, d'Origène, de saint Basile, etc.

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-

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Le prêt à intérêt.
· III. Le problème de l'inégalité des conditions. — Les
divers sens de l'expression état de nature. L'égalité
spirituelle et l'égalité du droit, les seules auxquelles tienne
le christianisme. Doctrine des Pères sur la loi natu-
relle, la loi positive, la loi divine et leurs rapports.
- Les
Pères n'ont pas méconnu le droit naturel. Texte de
saint Augustin sur la mobilité inévitable du droit positif.
IV. Opinions des Pères sur le communisme de Platon.
Textes décisifs. Platonisme et manichéisme. Mani-
chéisme et gnosticisme. Gnosticisme et socialisme.
Carpocrate et Proudhon. Fond de ces hérésies: la con-
damnation des richesses liée au mépris du corps et de la
nature. Marcionites, ébionites. Suite de ces hérésies
dans la secte des cathares et des albigeois. Les vaudois.
Les fratricelles. Les anabaptistes. Dans l'Église,
le socialisme n'est représenté que par les hérésies...

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36

CHAPITRE III

THÉOLOGIENS.

tion.

-

Prédicateurs.

-

MISSIONNAIRES

Efforts de concilia

Sa

-

I. Doctrine sociale de saint Thomas.
La loi naturelle, participation de la loi éternelle.
La loi positive, adaptation des principes de la loi natu-
relle. La loi naturelle modifiée par addition ou par
soustraction. La liberté, la propriété saint Thomas
les a-t-il fondées assez solidement sur la nature?
théorie plus empirique que rationnelle de la propriété.
Le superflu des riches et les nécessités des pauvres.
Ce que l'impôt progressif serait pour saint Thomas dans
sa théorie aristotélique du juste milieu. II. Suarez.
Il fait plutôt de la loi un acte de volonté, un commande-
ment. Il dissipe les malentendus de certaines théories
sur l'état de nature, mais il admet bien aisément les varia-
tions du droit naturel. Les objections d'un contempo-
rain. - III. Le socialisme de la Renaissance n'est pas chré-
tien. —- Idée commune aux théologiens et aux prédicateurs
de l'ancien régime : il n'y a de justice que dans l'Eglise.

-

Le schisme de la puissance et de la raison d'après Port-

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CHAPITRE IV

LA CRISE DE 1848

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I. L'esprit révolutionnaire et l'esprit communiste. . Ils sont
distincts, mais l'un a aidé l'autre. - Action politique des
catholiques sous le gouvernement de Juillet; elle les con-
duit à des revendications sociales. Buchez, Lamennais,
Chevé, etc. II. Le 24 février 1848. Illusions générales.
L'Ere nouvelle. III. Les avances du socialisme au

christianisme. Le socialisme chrétien dans le peuple :

les banquets socialistes et religieux. Pression exercée

par ces manifestations sur les anciens socialistes. - Le

Christ républicain. IV. Avances faites aux socialistes par

des écrivains religieux. — V. Rupture de l'accord. — L'Ere

nouvelle et le Correspondant. Proudhon et Veuillot.

LES DERNIÈRES ÉCOLES

I. Retour sur les vraies et sur les fausses définitions du
socialisme. Socialisme révolutionnaire, socialisme d'État,
socialisme chrétien. Les inconséquences de ce dernier.
II. Aux États-Unis : les socialistes n'y sont pas aussi
chrétiens, ni les chrétiens aussi socialistes qu'on l'a pré-
tendu. Un sermon de Mgr Ireland. III. En Angle-

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hawe. IV. Dans l'Allemagne du Nord.-
teler et Lassalle. - Les œuvres de liberté.

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Mgr de Ket-
Les appels

-

à la protection de l'État. Contradictions de ces deux
tendances. Le socialisme protestant et le socialisme
catholique. V. En Autriche. Les attaques d'un parti
catholique contre le capital et son appel à l'omnipotence
de l'Etat. De quelle façon il veut l'union du capital et
du travail.. Comment il entend la corporation. - Pre-
miers résultats du rétablissement des corporations en
Autriche. VI. En France l'Euvre des Cercles et l'As-
sociation catholique jugées par les socialistes.
- En quoi
elles différent du nouveau socialisme ouvrier. - En quoi

-

--

elles continuent l'ancien socialisme. Le titre de socia-
listes chrétiens avoué par quelques-uns des chefs, répudié
par les autres....

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CHAPITRE VI

CONCLUSIONS

LES DERNIÈRES ÉCOLES (SUITE).

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I. Après avoir demandé la corporation libre, les nouveaux
socialistes chrétiens demandent la corporation obligatoire
et privilégiée. Comment ils entendent les rapports des
classes dans la corporation. — II. Comment la logique les
amène à demander une réglementation internationale du
travail sous l'hégémonie de la Papauté. — III. Décisions
pontificales antérieures à la dernière encyclique. La
dernière encyclique de Léon XIII. Les huit genres de
services ou modes de concours qu'elle demande à l'Etat.
La loi doit se borner à réprimer les abus et à écarter
les dangers. L'État ne doit point s'immiscer dans le
régime intérieur des industries. Résistances mal dis-
simulées de quelques socialistes chrétiens.
sion.

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Conclu-

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Coulommiers. Imp. PAUL BRODARD.

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