Histoire de France : depuis les Gaulois jusqu'à la fin de la monarchie. 5 (1805)Garnery, 1805 |
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Seite 402 - Louvre, sous prétexte d'un conseil, les princes de Condé et de Conti, et le duc de Longueville, etils furent arrêtés le 18 janvier.
Seite 279 - ... je m'appelle Louis de Bourbon, et je ne veux pas ébranler la couronne. La reine me presse de seconder sa...
Seite 356 - Mole se contenta de lui dire : « Quand vous m'aurez tué, il ne me faudra que six pieds de terre ; » et il n'en alla pas un pas plus vite.
Seite 355 - Si j'étais assuré de périr, je ne commettrais pas cette lâcheté, qui, de plus, ne servirait qu'à donner de la hardiesse aux séditieux. Ils me trouveraient bien dans ma maison, si ils croyaient que je les eusse appréhendés ici.
Seite 343 - Vous me permettrez , monsieur , de ne pas traiter de « frivoles des motifs qui ont été consacrés par un arrêt.
Seite 305 - cardinal Mazarin est notoirement auteur des désordres de l'état, » la cour le déclare perturbateur du repos public, ennemi du roi et • de son état; lui enjoint de se retirer de la cour dans le jour, et...
Seite 457 - Je demande pardon à la Compagnie de la liberté que j'ai prise de sortir, par ce peu de paroles, du sujet de la délibération. Mon avis est, Messieurs, de faire...
Seite 422 - princes ne sont plus à la vue de Paris : il ne faut « pas que le coadjuteur parle si haut.
Seite 41 - Louis, ordinairement si retenu , lui fît un jour la proposition délicate de lui donner à Versailles , château de plaisir alors, un appartement, où il iroit la voir librement, et qu'il mit dans ses offres une vivacité qui la surprit. La Fayette ne dit pas si elle partagea l'émotion du prince : mais ———elle nous apprend qu'elle l'aimoit.
Seite 243 - Je suis un fou, je suis un brutal, j'ai failli à perdre l'État, et vous l'avez sauvé. Venez, parlons à la Reine en Français véritables et en gens de bien; et prenons des dates pour faire pendre à notre témoignage, à la majorité du Roi, ces pestes de l'État, ces flatteurs infâmes, qui font croire à la Reine que cette affaire n'est rien.