Commentaires therapeutiques du codex medicamentariusJ.B. Bailliere et Fils, 1874 - 980 Seiten |
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30 grammes 50 centigrammes acide malique acides âcre ACTION PHYSIOLOGIQUE affections albumine alcalins alcaloïde alcoolique amer amidon analogues Angl aromatique astringents Belladone Bromure Bromure de Potassium carbonate carbonique caustique chaux chimique Chlorure Cinchonine composé COMPOSITION convulsions Copahu cutanées D'ADMINISTRATION ET DOSES d'Ammoniaque décoction diarrhée diathèse digestif diurétique effets employé excite fièvre gastrique gomme gouttes grammes grammes d'eau Gubler huile volatile injections irritant l'acide l'action l'alcool l'Atropine l'essence l'estomac l'éther l'huile l'Iodure l'Opium liquide maladies matière médicament MODES D'ADMINISTRATION Morphine muqueuse nerveux Nitrate odeur officinale organes oxyde paralysie peau phénomènes phosphore PHYSIOLOGIQUE ET USAGES pilules plante poison potasse Potassium potion poudre préparations prescrit principe actif proportion propriétés purgatif quantité Quinine Quinquina racine résine respiratoires sang sanguine saveur sécrétion sédation sert sirop solution Soude Soufre stimulants diffusibles Strychnine SUBSTANCES ANTAGONISTES SUBSTANCES SYNERGIQUES sucre Sulfate Sulfate de Quinine sulfurique symptômes tannin teinture Térébenthine thérapeutique tion tonique ulcères usité Valériane vomissements Zinc
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Seite xvi - Engagée désormais dans la voie féconde de l'expérimentation, vers laquelle la main puissante de M. Claude Bernard guide toutes les sciences biologiques, la thérapeutique actuelle ne saurait cependant, sous peine de s'annihiler, répudier l'héritage dupasse. Les notions empiriques et rationnelles, laborieusement acquises à travers les siècles par l'observation médicale, resteront longtemps encore ses principales richesses , et le travail de l'avenir consistera moins à découvrir des faits...
Seite 424 - D'après les expériences tentées sur lui-même, V. Guibert conclut que la propylamine est pour la peau un léger excitant, pour la" muqueuse un caustique, et pour le système artériel un hyposthénisant. Le fait est qu'elle fait un peu rougir le tégument externe, qu'elle cause une sensation de chaleur ou de brûlure dans les premières voies et qu'elle ralentit le pouls. .Seulement, de nouvelles expériences sont nécessaires pour permettre d'assigner à ce ralentissement sa véritable signification....
Seite 769 - Cit. torpeur peut devenir excessivement pénible et les malades essayent d'en donner une idée en disant que leur peau rétractée, exerce une forte constriction sur les parties sousjacentes et immobilise les membres aussi bien que les traits du visage, comme sous l'influence d'un froid rigoureux ou bien sous l'effort d'une couche de collodion. d'une bande de caoutchouc étroitement appliquée. Cette sensation générale est surtout sensible dans les parties innervées par le trijumeau. A dose toxique,...
Seite 426 - Mon expérience, bien restreinte encore, mais fortifiée de celle de Pidoux et d'autres praticiens des hôpitaux ou de la ville, réduit le rôle de la propylamine à celui d'un palliatif de la phlogose articulaire et de la pyrexie rhumatismale, qui n'empêche pas les rechutes et n'a pas la puissance héroïque que nous aurions souhaitée. Comme topique à appliquer sur la peau, Guibert conseille de se servir de la propylamine pure. Pour les muqueuses, elle doit être plus ou moins diluée. A l'intérieur,...
Seite 843 - Dans cette forme, qui se résume en ces deux mots : perversion fonctionnelle , et qui tend à î'adynamie, les alcooliques peuvent rendre des services considérables, soit en apportant un aliment respiratoire et ralentissant la dénutrition , soit en rendant agissantes des forces radicales à l'état latent, soit en cédant à chaque instant au système nerveux la force qui lui manque. Ainsi, les alcooliques sont inutiles ou dangereux dans la vigueur du rhumatisme articulaire aigu, surtout lorsqu'il...
Seite xii - ... à la préface de mes Commentaires thérapeutiques du Codex publiés il ya plus d'un an. Après avoir déclaré qu'il n'ya que des actions physiologiques suivies ou non de résultats thérapeutiques, j'ajoutais : « D'abord, il n'ya que des actions physiologiques en ce sens que, d'une part, les médicaments sont uniquement des modificateurs d'organes ou de fonctions et nullement des antagonistes d'entités morbides, et que, d'autre part, ils agissent en santé comme en maladie. En second lieu,...
Seite 759 - Hygrocrocis, on doit en suspecter l'efficacité, attendu que l'Algue microscopique, née dans un milieu composé d'atropine et d'eau distillée, n'a pu se développer qu'aux dépens de l'alcaloïde auquel elle est certainement redevable de sa matière azotée. L'expérience m'a appris que la solution de sulfate neutre d'Atropine, de même que les solutions analogues, a perdu la majeure partie de sa puissance pharmaco-dynamique lorsqu'elle est ancienne et remplie de conferves.
Seite 843 - L'Alcool, en effet, ne peut que nuire dans la fièvre inflammatoire franche et intense, caractérisée non-seulement par l'accélération du pouls et l'exaltation de la température, mais encore par l'excès de la combustion respiratoire, la dénutrition rapide et l'extrême abondance de l'urée et des produits de la dénutrition, dans la sécrétion rénale.
Seite 424 - ... et la seconde à -(-5°, et peut-être même à une température un peu inférieure. Ce n'est donc, à vrai dire, ni de la propylamine ni de la triméthylamine pure qui ont été administrées par les thérapeutistes. Dès lors on comprend quels doutes et quelles objections soulèvent les résultats annoncés, quand il s'agit de les attribuer à l'un quelconque des alcaloïdes artificiels supposés actifs dans les liqueurs complexes, employées à diverses reprises, depuis une vingtaine d'années,...