| Daniel Pétillet - 1801 - 486 Seiten
...d'attendrissement? Fénelon aimoit les cultivateurs & les habitans de Ja campagne. Un de ses curés se félicitoit en sa présence, d'avoir aboli les danses des paysans, les jours de dimanche & de fêtes ; M. le curé , lui dit l'archevêque de Cambrai, ne dansons point, mais permettons... | |
| Étienne François de Lantier - 1803 - 492 Seiten
...indulgent qui nous créa pour notre bonheur ! « Monsieur le curé, disoit Fénélon, ne dansons point; mais permettons à ces pauvres gens de danser : pourquoi les empêcher d'oublier un moment qu'ils sont malheureux » ? Après le départ du ministre , nous nous rendîmes à la salle du bal... | |
| Louis Mayeul Chaudon, Antoine François Delandine - 1804 - 644 Seiten
...pu abolir les danses les jours de fêtes. Monsieur le Curé , lui dit Fénélon , ne dansons point ; mais permettons à ces pauvres gens de danser : pourquoi les empêcher d'oublier un moment qu'ils sont malheureux ? Quoiqu'il eût beaucoup à se plaindre de Bossuet , il prit un jour le parti... | |
| Louis Mayeul Chaudon - 1804 - 642 Seiten
...abolir les danses les jours <}e fêtes. Mçnsifqr le Curé , lui dit Fénélon., ne dansons point.; nais permettons à ces pauvres gens de danser : pourquoi les empêcher d'oublier un. moment t; •'••-, sont malheureux ? Qnoi. qu'il eût beaucoup à se plaindre de Bossuet , il prit un.... | |
| Louis Mayeul Chaudon - 1810 - 628 Seiten
...abolir les danses les jours de fêtes. « Monsieur le curé , lui dit Fénélon , ne dansons point ; mais permettons à ces pauvres gens de danser : pourquoi les empêcher d'oublier un moment qu'ils sont malheureux? » Quoiqu'il eût beaucoup à se plaindre de Bossuel, il pril un jour le paru... | |
| Louis Mayeul Chaudon - 1810 - 622 Seiten
...abolir les danses les jours de l'êtes. «Monsieur le curé, lui dit Fénélon , ne dansons point; mais permettons à ces pauvres gens de danser : pourquoi les empêcher d'oublier un moment qu'ils sont malheureux?» Quoiqu'il eût beaucoup à se plaindre de Bossuet, il prit un jour le parti... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1811 - 414 Seiten
...l'archevêque de Cambrai savoit encore mieux pratiquer que définir. Un de ses curés se félicitoit en sa présence d'avoir aboli les danses des paysans...jours de dimanches et de fêtes. M. le curé, lui dit Fénelon , ne dansons point j mais permettons à ces pauvres gens de danser y pourquoi les empêcher... | |
| Aubin Louis Millin, François Noel, Israel Warens - 1798 - 610 Seiten
...les danses les jours de fêtes.» M. le r.uré, lui dit l'archevêque, » ne dansons point, priais permettons à ces pauvres •» gens de danser. Pourquoi les empêcher d'oublier » un, moment qu'ils sont malheureux ? » .. l ' ,, temps, sans s'affliger ni se plaindre. Une chose plus admirable... | |
| Jean Le Rond d' Alembert - 1821 - 638 Seiten
...l'archevêque de Cambrai savait encore mieux pratiquer que définir. Un de ses curés se félicitait en sa présence d'avoir aboli les danses des paysans...point j mais permettons à ces pauvres gens de danser ; ' Francois de Salignan de La Motte Fcnclon , archevêque de Qimbrai et précepteur do duc de Bourgogne... | |
| Jean Le Rond d' Alembert - 1821 - 642 Seiten
...l'archevêque de Cambrai savait encore mieux pratiquer que définir. Un de ses curés se félicitait en sa présence d'avoir aboli les danses des paysans...M. le curé , lui dit Fénélon , ne dansons point ; mais permettons à ces pauvres gens de danser ; ' François de S-.li. ..!.". de La Moite Fenélon,... | |
| |