 | Louis Mayeul Chaudon, Antoine François Delandine - 1804 - 644 Seiten
...supérieure les déplorables suites de sa foiblesse. Fléchier apprit que cette supérieure l'en avoit punie de la manière la plus cruelle, en la faisant enfermer dans un cachot, où-, couchée sur de la paille , et réduite à un peu de pain qu'on lui donnoit à peine, elle atten— doit la mort... | |
 | Louis Mayeul Chaudon - 1804 - 642 Seiten
...supérieure les déplorables suites de sa foiblesse. Fléchier apprit que cette supérieure l'en avoit punie de la manière la plus cruelle, en la faisant enfermer dans un cachot, où, couchée sur de la paille, et réduite à un peu de pain qu'on lui donnoit à peine, elle attendoit la mort comme... | |
 | Louis Mayeul Chaudon - 1804 - 648 Seiten
...supérieure les déplorables suites de safoiblesse. Fléchier apprit que cette supérieure l'en avoit punie de la manière la plus cruelle , en la faisant enfermer dans un cachot , .où, couchée sur de la paille, et réduite à un peu de pain qu'on lui donnoit à peine, elle atten¿oit la mort comme... | |
 | Louis Mayeul Chaudon - 1810 - 582 Seiten
...supérieu rc les suites de sa foihlesse. Fléchier apprit que cette supérieure l'en avoit punie delà manière la plus cruelle, en la faisant enfermer dans un cachot , où , couchée sur de la paille , et rédnile à un peu de pain qu'on lui donnoil à peine , elle attendoit la mort comme... | |
 | Louis Mayeul Chaudon - 1810 - 584 Seiten
...supérieure les (uitesdesa foiblesse. Fléchier apprit que cette supérieure l'en avoit punie de la uiauière la plus cruelle , en la faisant enfermer dans un cachot , où , couchée sur de la paille , et réâuite à un peu de pain qu'on lui donnoit à peine , elle allendoit la mort comme... | |
 | François Noel - 1812 - 716 Seiten
...supérieure les déplorables suites de sa foiblesse. Fléchier apprit que cette supérieure l'en avoit punie de la manière la plus cruelle , en la faisant enfermer dans un cachot , où couchée sur la0 paille , et réduite à un peu de pain qu'on lui donnoit à peine , elle attendoit la mort comme... | |
 | Jean Le Rond d' Alembert - 1821 - 638 Seiten
...pouvoir cacher à sa supérieure les déplorables suites de sa faiblesse. Fléchier apprit que cette supérieure l'en avait punie de la manière la plus...attendait et invoquait la mort , comme le terme de ses maux. L'évêquede Nîmes se transporta dans le couvent, et, après beaucoup de résistance, se fit... | |
 | Jean Le Rond d' Alembert - 1821 - 704 Seiten
...pouvoir cacher à sa supérieure les déplorables suites de sa faiblesse. Fléchier apprit que cette supérieure l'en avait punie de la manière la plus...attendait et invoquait la mort , comme le terme de ses maux. LYvêquede Nîmes se transporta dans le couvent, et, après beaucoup de résistance , se fit... | |
 | Jean Le Rond d' Alembert - 1821 - 688 Seiten
...pouvoir cacher à sa supérieure les déplorables suites de sa faiblesse. Fléchier apprit que cette supérieure l'en avait punie de la manière la plus...attendait et invoquait la mort, comme le terme de s« maux. L'cvêquede Nîmes se transporta dans le couvent, et, après beaucoup de résistance, se... | |
 | Jean Le Rond d' Alembert - 1821 - 642 Seiten
...supérieure les déplorables suites de sa faiblesse. Fléchier apprit que cette supérieure l'en avait puuie de la manière la plus cruelle, en la faisant enfermer...attendait et invoquait la mort , comme le terme de ses maux. L'évêquede Nîmes se transporta dans le couvent, et, après beaucoup de résistance , se fit... | |
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... le malheur plus grand d'y succomber, et celui de ne pouvoir cacher à sa supérieure les déplorables suites de sa faiblesse. Fléchier apprit que cette supérieure l'en avait punie de la manière la plus cruelle en la faisant enfermer dans un cachot,... 
