Oeuvres complètesGeorg Olms Verlag, 1979 |
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... Convention nationale Ouvrage imprimé à Lausanne 1793 Mili quidem scribendi causam attulit gravis casus civitatis ; quum nec tueri meo modo Rem- publicam , nec nihil agere poteram . ( Cicer . de Div . 1. 2. ) A M. le Marquis COSTA de ...
... Convention nationale Ouvrage imprimé à Lausanne 1793 Mili quidem scribendi causam attulit gravis casus civitatis ; quum nec tueri meo modo Rem- publicam , nec nihil agere poteram . ( Cicer . de Div . 1. 2. ) A M. le Marquis COSTA de ...
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... Convention nationale des Fran- çais . Cet ouvrage est une de ces productions qui ont des droits sur l'attention publique , parce qu'elles appar- tiennent à des circonstances extraordinaires , et à l'his- toire de l'esprit humain ...
... Convention nationale des Fran- çais . Cet ouvrage est une de ces productions qui ont des droits sur l'attention publique , parce qu'elles appar- tiennent à des circonstances extraordinaires , et à l'his- toire de l'esprit humain ...
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... Convention nationale . L'ou- vrage n'est réellement qu'un cadre dont l'auteur s'est servi pour développer quelques vérités importantes , et pour fixer des faits qui ne doivent point être oubliés . L'auteur avait encore un autre but : c ...
... Convention nationale . L'ou- vrage n'est réellement qu'un cadre dont l'auteur s'est servi pour développer quelques vérités importantes , et pour fixer des faits qui ne doivent point être oubliés . L'auteur avait encore un autre but : c ...
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... Convention nationale n'avait rien prononcé sur les prétendus émi- grés savoisiens . Son Comité de législation lui fit l'hiver dernier un rapport sur cet objet par l'organe du citoyen M ... , et ce rapport est encore une pièce tristement ...
... Convention nationale n'avait rien prononcé sur les prétendus émi- grés savoisiens . Son Comité de législation lui fit l'hiver dernier un rapport sur cet objet par l'organe du citoyen M ... , et ce rapport est encore une pièce tristement ...
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Joseph de Maistre. ADRESSE De quelques parents des militaires savoisiens A LA CONVENTION NATIONALE DES FRANÇAIS - Législateurs , Au moment où il ne fut plus permis de douter que l'armée française , campée sous le fort de Barreaux , se ...
Joseph de Maistre. ADRESSE De quelques parents des militaires savoisiens A LA CONVENTION NATIONALE DES FRANÇAIS - Législateurs , Au moment où il ne fut plus permis de douter que l'armée française , campée sous le fort de Barreaux , se ...
Inhalt
1 | |
Réflexions sur le Protestantisme dans ses rapports | 63 |
A M le comte Jean Potocki sur la chronologic biblique | 101 |
A une dame prostestante sur la maxime quun honnête | 129 |
A une dame russe sur la nature et les effets du schisme | 139 |
Cinq lettres sur léducation publique en Russie à M | 163 |
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Seite 511 - LE premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile...
Seite 308 - On reposait la nuit, on dormait tout le jour. Seulement au printemps, quand Flore dans les plaines Faisait taire des vents les bruyantes haleines, Quatre bœufs attelés, d'un pas tranquille et lent, Promenaient dans Paris le monarque indolent.
Seite 538 - La plus ancienne de toutes les sociétés, et la seule naturelle, est celle de la famille : encore les enfants ne restent-ils liés au père qu'aussi longtemps qu'ils ont besoin de lui pour se conserver. Sitôt que ce besoin cesse, le lien naturel se dissout.
Seite 80 - Vous aurez vu. sans doute, l'édit par lequel le roi révoque celui de Nantes. Rien n'est si beau que tout ce qu'il contient, et jamais aucun roi n'a fait et ne fera rien de plus mémorable
Seite 355 - Jean-Claude, mon ami, quand tu ne comprends pas quelque chose, fie-toi à celui qui a fait le manche des cerises. « La Savoie n'est pas à la France parce qu'il ne faut pas qu'elle soit à la France. Si les Français la possédaient, l'Italie serait flambée; ils bâtiraient dans notre pays des forteresses à tout bout de champ ; ils feraient des chemins larges comme la grande allée du Verney jusque sur nos ! plus hautes montagnes*.
Seite 512 - Mais il ya grande apparence qu'alors les choses en étaient déjà venues au point de ne pouvoir plus durer comme elles étaient : car cette idée de propriété, dépendant de beaucoup d'idées antérieures qui n'ont pu naître que successivement, ne se forma pas tout d'un coup dans l'esprit humain : il fallut faire bien des progrès, acquérir bien de l'industrie et.
Seite 517 - Plus on y réfléchit, plus on trouve que cet état était le moins sujet aux révolutions, le meilleur à l'homme, et qu'il n'en a dû sortir que par quelque funeste hasard, qui, pour l'utilité commune, eût dû ne jamais arriver.
Seite 364 - ... pas? Est-ce agir rondement de promettre une Église catholique, et de bannir les prêtres catholiques ? — Mais, dira-t-on, nous en avons en Savoie. — Oui, ils y sont à leurs périls et risques. On les a calomniés, insultés, emprisonnés, fusillés. On recommencera demain, aujourd'hui, quand on voudra. On n'a point révoqué la loi qui les déporte ni celle qui confisque leurs biens, après une loi solennelle qui leur permettait de les administrer par procureur. « Ne vous laissez donc...