Revue de l'histoire des religions, Band 19

Cover
Maurice Vernes, Jean Réville, Léon Marillier, René Dussaud, Paul Alphandéry
Presses Universitaires de France, 1889
Includes "Notices bibliographiques."
 

Ausgewählte Seiten

Andere Ausgaben - Alle anzeigen

Häufige Begriffe und Wortgruppen

Beliebte Passagen

Seite 8 - Les textes des Pyramides sont pour la plupart antérieurs à Menés: les idées qu'ils renferment remontent plus haut encore. Elles nous reportent si loin dans le passé que je n'ai aucun moyen de les dater que de dire qu'elles étaient déjà vieilles cinq mille ans avant notre ère.
Seite 237 - Alors, au lieu d'annoncer la résurrection, il hésite comme les disciples de l'évangile. Il sort de l'église avec son clergé, à la recherche du Sauveur disparu ; puis, rentrant dans le temple, il annonce aux fidèles que le Christ est ressuscité et entonne un hymne de triomphe. Certes, ce symbolisme ne peut être toujours aussi transparent; le peuple ne le comprend pas toujours ; il n'en prend pas moins part à l'allégresse et au deuil de l'église, pleurant et se réjouissant avec elle. Le...
Seite 1 - La déesse est alors représentée debout dans le feuillage d'un sycomore, d'où sort parfois sa main seule ', parfois sa tête et son buste, parfois son corps entier. Elle porte un plateau chargé de pains et un flacon d'eau fraîche : le mort ou son âme, debout devant elle, reçoit l'eau dans le creux de ses mains et s'en désaltère '. L'origine de cette scène est tellement évidente à qui a visité l'Egypte que je m'étonne de ne l'avoir vue indiquée nulle part.
Seite 313 - , que nous retrouvons dans les documents du septième et du sixième siècles, purent être alors de simples figures de langage, mais elles furent certainement, à l'origine, prises au pied de la leltre. Or leur sens est assez clair. La manifestation la plus ordinaire de Yahveh est l'orage avec tous les phénomènes qui l'accompagnent. Le tonnerre est sa voix qui fait battre de frayeur le cœur des hommes et des animaux. Il tue ses ennemis par la foudre. La croyance populaire d'après laquelle quiconque...
Seite 28 - Les religions locales présentaient donc forcément beaucoup d'idées communes et de pratiques qu'on retrouvait sur l'étendue du territoire occupé par les gens de race égyptienne; mais, somme toute, on peut dire que les différences...
Seite 314 - Il a fait de son propre dieu, du dieu qu'il avait appris à connaître et à adorer dans le désert, le dieu protecteur du peuple qu'il réunit et qui lui dut son premier caractère national. Ce n'est qu'à ce titre qu'on peut l'appeler réformateur ou fondateur de religion. Il fut, à proprement parler, ce qu'on appellerait aujourd'hui un homme d'état. Or, l'homme d'état à cette époque, le fondateur d'une unité nationale, devait avant tout donner à son œuvre la garantie d'une religion commune....
Seite 266 - Tamil and Sanskrit Inscriptions, with some notes on village antiquities collected chiefly in the south of the Madras Presidency . . . With translations by SM Natesa Sâstrï.
Seite 377 - CONGRÈS DES SOCIÉTÉS SAVANTES Le Congrès des Sociétés savantes de Paris et des départements s'est réuni à la Sorbonne, le 27 mai 1890, sous la présidence de M.
Seite 4 - ... leurs vertus et leur longévité. Tout l'ensemble de la description nous prouve que l'auteur considérait le ciel comme une immense prairie de chasse. A l'arrivée du héros, « le ciel fond en eau, les étoiles se battent, les sagittaires courent en rond, les os des dieux Akîrou tremblent et les vassaux se sauvent », car ils ont peur d'être saisis par lui. Ils ont beau se sauver, ils sont pris et dévorés, car « la vertu magique d'Ounas est supérieure à toutes les formes maîtresses de...
Seite 111 - DELOCHE (M.) : La procession dite de la lunade et les feux de la Saint-Jean à Tulle. Mém. Acad. Inscrip. et BL, XXXII, 2

Bibliografische Informationen