œuvres de M. J. Chénier ...: précédés d'une notice sur Chénier, Band 3Guillaume, 1824 |
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... fleurs ; Et ton jeune laurier grandira sous mes pleurs . Ah ! laissons là nos jours mêlés de noirs orages : Voulons - nous remonter le long fleuve des âges ? Partout la calomnie a de traits imposteurs Du genre humain trompé noirci les ...
... fleurs ; Et ton jeune laurier grandira sous mes pleurs . Ah ! laissons là nos jours mêlés de noirs orages : Voulons - nous remonter le long fleuve des âges ? Partout la calomnie a de traits imposteurs Du genre humain trompé noirci les ...
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... fleurs , Et du fond de sa tombe accueillant mon hommage , Dictait mes vers empreints de sa fidèle image ! Les nombreux ennemis contre moi conjurés Affermiront mes pas , déja plus assurés . Je laisse à mes écrits le soin de ma défense ...
... fleurs , Et du fond de sa tombe accueillant mon hommage , Dictait mes vers empreints de sa fidèle image ! Les nombreux ennemis contre moi conjurés Affermiront mes pas , déja plus assurés . Je laisse à mes écrits le soin de ma défense ...
Seite 34
... fleurs , Sur la scène attendrie a fait couler des pleurs ; Si j'ai vengé Calas et célébré Voltaire , Je n'ai pas prétendu , malignement austère , Envieux avec art , dans mes dégoûts savans , De la gloire des morts accabler les vivans ...
... fleurs , Sur la scène attendrie a fait couler des pleurs ; Si j'ai vengé Calas et célébré Voltaire , Je n'ai pas prétendu , malignement austère , Envieux avec art , dans mes dégoûts savans , De la gloire des morts accabler les vivans ...
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... fleurs . L'autre , d'un air niais qu'il prend pour de la grâce , En pleine basse - cour établit son Parnasse , Ronfle avec l'animal aux Hébreux défendu , Nasille avec l'oison dans sa mare étendu , Et , toujours au bon goût alliant l ...
... fleurs . L'autre , d'un air niais qu'il prend pour de la grâce , En pleine basse - cour établit son Parnasse , Ronfle avec l'animal aux Hébreux défendu , Nasille avec l'oison dans sa mare étendu , Et , toujours au bon goût alliant l ...
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... fleurs il se pare aujourd'hui : De plus beaux tems viendront , qui seront votre ouvrage ; Je veux un jour vous voir , assis sous son ombrage , Quand l'ardent Sirius enflammera les cieux , Goûter avec transport ses fruits délicieux ...
... fleurs il se pare aujourd'hui : De plus beaux tems viendront , qui seront votre ouvrage ; Je veux un jour vous voir , assis sous son ombrage , Quand l'ardent Sirius enflammera les cieux , Goûter avec transport ses fruits délicieux ...
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Beliebte Passagen
Seite 200 - How bow'd the woods beneath their sturdy stroke! Let not Ambition mock their useful toil, Their homely joys, and destiny obscure ; Nor Grandeur hear with a disdainful smile The short and simple annals of the poor. The boast of heraldry, the pomp of power. And all that beauty, all that wealth e'er gave, Awaits alike th
Seite 202 - Perhaps in this neglected spot Is laid Some heart once pregnant with celestial fire; Hands that the rod of empire might have sway'd, Or waked to ecstasy the living lyre...
Seite 204 - With uncouth rhymes and shapeless sculpture decked, Implores the passing tribute of a sigh. Their name, their years, spelt by the unlettered muse, The place of fame and elegy supply : And many a holy text around she strews, That teach the rustic moralist to die.
Seite 206 - Some kindred spirit shall inquire thy fate, — Haply some hoary-headed swain may say, 'Oft have we seen him at the peep of dawn Brushing with hasty steps the dews away To meet the sun upon the...
Seite 368 - La victoire en chantant nous ouvre la barrière ; La liberté guide nos pas, Et du nord au midi la trompette guerrière A sonné l'heure des combats. Tremblez, ennemis de la France, Rois ivres de sang et d'orgueil ! Le peuple souverain s'avance ; Tyrans, descendez au cercueil.
Seite 208 - One morn I missed him on the customed hill, Along the heath, and near his favourite tree; Another came; nor yet beside the rill, Nor up the lawn, nor at the wood was he. 'The next with dirges due in sad array Slow through the church-way path we saw him borne. Approach and read (for thou canst read) the lay, Graved on the stone beneath yon aged thorn.
Seite 208 - Heaven ('twas all he wished) a friend. No farther seek his merits to disclose, Or draw his frailties from their dread abode (There they alike in trembling hope repose), The bosom of his Father and his God.
Seite 202 - But Knowledge to their eyes her ample page Rich with the spoils of time did ne'er unroll ; Chill Penury repress'd their noble rage, And froze the genial current of the soul. Full many a gem of purest ray serene, The dark unfathom'd caves of ocean bear : Full many a flower is born to blush unseen, And waste its sweetness on the desert air. Some village-Hampden, that with dauntless breast The little tyrant of his fields withstood ; Some mute inglorious Milton here may rest, Some Cromwell guiltless...
Seite 198 - THE curfew tolls the knell of parting day, The lowing herd winds slowly o'er the lea, The ploughman homeward plods his weary way, And leaves the world to darkness and to me.
Seite 200 - For them no more the blazing hearth shall burn. Or busy housewife ply her evening care; No children run to lisp their sire's return, Or climb his knees the envied kiss to share.