œuvres de M. J. Chénier ...: précédés d'une notice sur Chénier, Band 3Guillaume, 1824 |
Im Buch
Ergebnisse 1-5 von 27
Seite 56
... vrai mérite , elle est modeste et fière ; Elle cède à l'Intrigue , à l'Ignorance altière ; Jamais la Calomnie , habitante des cours , D'homicides poisons n'infecta ses discours . Si pour toi les destins gardant leur inclémence Ont trahi ...
... vrai mérite , elle est modeste et fière ; Elle cède à l'Intrigue , à l'Ignorance altière ; Jamais la Calomnie , habitante des cours , D'homicides poisons n'infecta ses discours . Si pour toi les destins gardant leur inclémence Ont trahi ...
Seite 77
... vrai talent la justice qu'il méritait . Ainsi le traducteur des Géorgiques reçut le titre glorieux de Classique des mêmes mains qui naguère n'avaient pas craint de lui faire une blessure aussi profonde . ( Note de l'éditeur . ) ÉPITRE D ...
... vrai talent la justice qu'il méritait . Ainsi le traducteur des Géorgiques reçut le titre glorieux de Classique des mêmes mains qui naguère n'avaient pas craint de lui faire une blessure aussi profonde . ( Note de l'éditeur . ) ÉPITRE D ...
Seite 80
... vrai , sur votre front allie Les palmes de l'Égypte aux lauriers d'Italie ; Déjà Vienne deux fois , devant vos étendards , A vu s'humilier l'orgueil de ses Césars ; En vain , bravant encor la foudre qui s'apprête , Albion à vos coups ...
... vrai , sur votre front allie Les palmes de l'Égypte aux lauriers d'Italie ; Déjà Vienne deux fois , devant vos étendards , A vu s'humilier l'orgueil de ses Césars ; En vain , bravant encor la foudre qui s'apprête , Albion à vos coups ...
Seite 87
... vrai toutefois que , le sabre à la main , On savait convertir les enfans de Calvin ; Mais des tribus en pleurs qui fuyaient leur patrie Vingt peuples accueillaient l'hérétique industrie . Chaque jour la Sorbonne admirait sur ses bancs D ...
... vrai toutefois que , le sabre à la main , On savait convertir les enfans de Calvin ; Mais des tribus en pleurs qui fuyaient leur patrie Vingt peuples accueillaient l'hérétique industrie . Chaque jour la Sorbonne admirait sur ses bancs D ...
Seite 101
... vrai mérite ; A l'esclave oppresseur , à l'infâme hypocrite ; Sans cesse il faut armer contre leur souvenir Un inflexible vers , que lira l'avenir . Voilà donc le parti qui veut par des outrages A la publique estime arracher tes ...
... vrai mérite ; A l'esclave oppresseur , à l'infâme hypocrite ; Sans cesse il faut armer contre leur souvenir Un inflexible vers , que lira l'avenir . Voilà donc le parti qui veut par des outrages A la publique estime arracher tes ...
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
accens aïeux arts autels beau bravant brillans brillant calomnie célèbre cercueil champs chants Charles IX charmes Charnois Chénier cher CHOEUR ciel cieux citoyen cœur combats courage crime déja dévot Dieu dieux discours divin DOCTEUR PANCRACE doux écrits éditions précédentes enfans esprit éternel fille fils Fingal flétrie flots François Ier front gascon génie Geoffroi glaive gloire guerriers Harpe héros homme Hugon humains HYMNE immortelle imposteur j'ai jour journal l'abbé l'amour L'ANONYME lauriers Lémerer liberté loin lois long-tems Louis Louis XIII lyre madame de Genlis mains Melpomène Molière Montesquieu mort Muiron noble nuit OEuvres anciennes Olivier Ossian PANCRACE patrie père peuple philosophie Pindare pleurs poète prose public raison rivage rivaux rois Rousseau Ryno sacrés sage saint satire seul siècle siffler Souriguière Suard succès suivans talent tems THUSNELDA Tibre tombe tombeau tragédie Turpin tyrans Ullin vainqueur vante vertus victoire Vittorio Alfiéri vois voix Voltaire yeux zéphyr
Beliebte Passagen
Seite 200 - How bow'd the woods beneath their sturdy stroke! Let not Ambition mock their useful toil, Their homely joys, and destiny obscure ; Nor Grandeur hear with a disdainful smile The short and simple annals of the poor. The boast of heraldry, the pomp of power. And all that beauty, all that wealth e'er gave, Awaits alike th
Seite 202 - Perhaps in this neglected spot Is laid Some heart once pregnant with celestial fire; Hands that the rod of empire might have sway'd, Or waked to ecstasy the living lyre...
Seite 204 - With uncouth rhymes and shapeless sculpture decked, Implores the passing tribute of a sigh. Their name, their years, spelt by the unlettered muse, The place of fame and elegy supply : And many a holy text around she strews, That teach the rustic moralist to die.
Seite 206 - Some kindred spirit shall inquire thy fate, — Haply some hoary-headed swain may say, 'Oft have we seen him at the peep of dawn Brushing with hasty steps the dews away To meet the sun upon the...
Seite 368 - La victoire en chantant nous ouvre la barrière ; La liberté guide nos pas, Et du nord au midi la trompette guerrière A sonné l'heure des combats. Tremblez, ennemis de la France, Rois ivres de sang et d'orgueil ! Le peuple souverain s'avance ; Tyrans, descendez au cercueil.
Seite 208 - One morn I missed him on the customed hill, Along the heath, and near his favourite tree; Another came; nor yet beside the rill, Nor up the lawn, nor at the wood was he. 'The next with dirges due in sad array Slow through the church-way path we saw him borne. Approach and read (for thou canst read) the lay, Graved on the stone beneath yon aged thorn.
Seite 208 - Heaven ('twas all he wished) a friend. No farther seek his merits to disclose, Or draw his frailties from their dread abode (There they alike in trembling hope repose), The bosom of his Father and his God.
Seite 202 - But Knowledge to their eyes her ample page Rich with the spoils of time did ne'er unroll ; Chill Penury repress'd their noble rage, And froze the genial current of the soul. Full many a gem of purest ray serene, The dark unfathom'd caves of ocean bear : Full many a flower is born to blush unseen, And waste its sweetness on the desert air. Some village-Hampden, that with dauntless breast The little tyrant of his fields withstood ; Some mute inglorious Milton here may rest, Some Cromwell guiltless...
Seite 198 - THE curfew tolls the knell of parting day, The lowing herd winds slowly o'er the lea, The ploughman homeward plods his weary way, And leaves the world to darkness and to me.
Seite 200 - For them no more the blazing hearth shall burn. Or busy housewife ply her evening care; No children run to lisp their sire's return, Or climb his knees the envied kiss to share.