Storia del metodo sperimentale in Italia, Band 6

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G. Civelli, 1900
 

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Seite 182 - D'où il paraît qu'un vaisseau plein d'eau est un nouveau principe de mécanique, et une machine nouvelle pour multiplier les forces à tel degré qu'on voudra, puisqu'un homme par ce moyen pourra enlever tel fardeau qu'on lui proposera. Et l'on doit admirer qu'il se rencontre en cette machine nouvelle cet ordre constant qui se trouve en toutes les anciennes, savoir le levier, le tour, la vis sans fin, etc., qui est que le chemin est augmenté en même proportion que la force.
Seite 233 - ... une âme capable de les ressentir ; et j'incline bien plus à imputer tous ces effets à la pesanteur et pression de l'air, parce que je ne les considère que comme des cas particuliers d'une proposition universelle de l'Équilibre des liqueurs, qui doit faire la plus- grande partie du Traité que j'ai promis.
Seite 183 - Voici encore une preuve qui ne pourra être entendue que par les seuls géomètres, et peut être passée par les autres. Je prends pour principe, que jamais un corps ne se meut par son poids, sans que son centre de gravité descende.
Seite 353 - ... conclus ce théorème général : Dans toutes les lois qui rendent l'attraction insensible à des distances sensibles, l'action d'un corps terminé par une surface courbe sur un canal intérieur infiniment étroit, perpendiculaire à cette surface dans un point quelconque, est égale à la demi-somme des actions sur le même canal de deux sphères qui auraient pour rayons le plus grand et le. plus petit des rayons osculateurs de la surface à ce point. Au moyen de ce théorème et des lois de...
Seite 107 - Cuius quanta magnitude in vase depressa est, tantum aquae effluxit. Ita exempta massa quanto minus factum fuerat refudit, sextario mensus, ut eodem modo quo prius fuerat ad labra aequaretur. Ita ex eo invenit quantum, ad certum pondus argent!, certa aquae mensura responderet.
Seite 184 - ... doubler la force nécessaire pour soutenir le piston double: d'où l'on voit que la force nécessaire pour empêcher l'eau de couler par une ouverture est proportionnée à la hauteur de l'eau, et non pas à sa largeur; et que la mesure de cette force est toujours le poids de toute l'eau qui serait contenue dans une colonne de la hauteur de l'eau, et de la grosseur de l'ouverture. Ce que j'ai dit de l'eau se doit entendre de toute autre sorte de liqueurs.
Seite 107 - TUM vero ex eo inventionis ingressu duas dicitur fecisse massas aequo pondere, quo etiam fuerat corona, unam ex auro alteram ex argento. Cum ita fecisset, vas amplum ad summa labra implevit aqua ; in quo demisit argenteam massam : cuius quanta magnitudo in vase depressa est, tantum aquae effluxit.
Seite 13 - Grave autem et levé est, non aestimatione nostra, sed comparatione eius quo vehi 7 débet. Itaque, ubi aqua gravior est hominis corpore aut saxo, non sinit id quo non vincitur mergi; sic evenit ut in quibusdam stagnis ne lapides quidem pessum eant. De solidis et duris loquor. Sunt enim multi pumicosi et levis, ex quibus quae constant insulae in Lydia natant ; Theophrastus est auctor.
Seite 107 - ... minus, quanto minus magno corpore eodem pondere auri massa esset quam argenti. Postea vero repleto vase in eadem aqua ipsa corona demissa, invenit plus aquae defluxisse in coronam, quam in auream eodem pondere massam : et ita ex eo, quod plus defluxerat aquae in corona quam in massa, ratiocinatus deprehendit argenti in auro mixtionem et manifestum furtum redemptoris.

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