Revue des Pyrénées, Band 181906 |
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Seite 550 - Que me servirait de te faire une description exacte de leur habillement et de leurs parures? une mode nouvelle viendrait détruire tout mon ouvrage , comme celui de leurs ouvriers; et, avant que tu eusses reçu ma lettre, tout serait change.
Seite 174 - C'est que je te regarde . . . Pourquoi me regardes-tu si gravement ? — Nous sommes déjà dans l'ombre. — Il fait trop noir sous cet arbre. Viens dans la lumière. Nous ne pouvons pas voir combien nous sommes heureux. Viens, viens ; il nous reste si peu de temps . . . MÉLISANDE Non, non ; restons ici ... Je suis plus près de toi dans l'obscurité ... PELLÉAS Où sont tes yeux ? — Tu ne vas pas me fuir ? — Tu ne songes pas à moi en ce moment. MÉLISANDE Mais si, mais si, je ne songe qu'à...
Seite 173 - Oh! oh! qu'est-ce que c'est?... Tes cheveux, tes cheveux descendent vers moi!... Toute ta chevelure, Mélisande, toute ta chevelure est tombée de la tour!... Je la tiens dans les mains, je la touche des lèvres...
Seite 160 - LE PÈRE Tu ne vois personne? LA FILLE Personne, mon père. LE PÈRE Mais cependant l'étang est dans le clair de lune... LA FILLE Oui ; je vois que les cygnes ont peur. L'ONCLE Je suis sûr que c'est ma sœur qui les effraie. Elle sera entrée par la petite porte. LE PÈRE Je ne m'explique pas pourquoi les chiens n'aboient point. LA FILLE Je vois le chien de garde tout au fond de sa niche.
Seite 173 - PELLÉAS. Non, non, non;... je n'ai jamais vu de cheveux comme les tiens, Mélisande!... Vois, vois; ils viennent de si haut et m'inondent jusqu'au cœur...
Seite 494 - ... l'art de démêler les nuances de la pensée, de la décomposer, d'en former le tissu, d'en saisir avec précision les caractères et les rapports; qu'avec les mots autant de nouvelles idées s'introduisaient et se développaient dans la tête des jeunes gens; et qu'ainsi les premières classes étaient un cours de philosophie élémentaire bien plus riche, plus étendu et plus réellement utile qu'on ne pense, lorsqu'on se plaint que, dans les colléges, on n'apprenne que du latin.
Seite 550 - Je trouve les caprices de la mode, chez les Français, étonnants. Ils ont oublié comment ils étaient habillés cet été ; ils ignorent encore plus comment ils le seront cet hiver ; mais surtout on ne saurait croire combien il en coûte à un mari pour mettre sa femme à la mode.
Seite 451 - CHEMINS DE FER D'ORLÉANS Billets d'excursioni en Touraine, aux châteaux des bords de la Loire et aux stations balnéaires de la ligne de Saint-Nazaire au Croisic et à Guérande. 1" itinéraire : 1» classe 86 fr., 2